La rési de Momo (Paul Jenft, Romaric Geffroy, Nao Monchois, Louison Burtin) | Relais Vertical  

ahah merci beaucoup, c'est vrai que c'est un peu un défi ;)

Merci pour l'info, ça sonnerait pas mal pour un nom de voie je trouve ;)

@@RelaisVertical Aha super idée ! Glisse là aux oreilles de Paulo !!

tkt Paulo, ça me fait la même quand je me lève très vite, moi aussi jsuis trop grand pour que ça monte jusqu'au cerveau xD

Idem pour moi, je ne suis pas particulièrement grand, mais il m'arrive d'avoir les mêmes symptômes parfois lorsque je bosse des projets sur des efforts longs ;)

C'est juste que Louison doit aller moins loin dans l'effort que Paul pour pas ressentir de tels symptômes...

mais enfin c'est un plaisir d'être torturé comme ca ! :p

merci ! content que ca plaise !

On est d’accord 🤩

oh quel beau compliment ! merci :)

Merci 😀

Merci à toi 😊

Thanks :)

Merci 😁

thanks !! :)

Merci 😊

😂😂😂

eh ben ! c'est qu'il doit vraiment forcer le Paulo ^^

Cette réponse n'est qu'un RÉSUMÉ de ce que je PENSE avoir compris... donc ca peut être imparfait ;) . Gros disclaimer aussi, on est dans le cadre d'un entraînement "professionnel", à ne pas reproduire par tout le monde et surtout pas n'importe comment au risque de se faire beaucoup plus de mal que de bien. Je ne peux pas expliquer ici l'importance de l'échauffement, de l'écoute de son corps, de la progressivité, de l'accompagnement etc etc. Ces grimpeurs "pro" sont suivis par toute sorte de coachs, medecins ... On est dans une logique d'entraînement bien particulière de recherche du dernier effort possible d'effectuer, celui qu'on ne pense pas possible de faire ni même de tenter, mais c'est celui qui va chercher à employer les dernières fibres musculaires encore inutilisées. C'est la qu'on gagne le plus en rési. Si tu t'arrêtes simplement quand tu te sens fatigué tu as fait beaucoup d'efforts mais tu n'a pas tant gagné que ca. Ce sont justement ces derniers exploits, ces quelques instants en plus tenus sur le mur, après tout ce qu'on a fait pour en arriver là, qui sont les plus efficaces pour progresser en resi. Si on adhère à cette logique, dommage de se priver de cet effort supplémentaire quand on est dans la recherche de la performance, même si ce n'est pas agréable. D'après moi ca fonctionne aussi pour le mental, lui "apprendre" que ce qu'il croit etre la limite ne l'es pas vraiment et qu'on peut encore avancer. L'exemple le plus facile pour illustrer ca c'est l'encouragement des copains. Tu n'as jamais remarqué ces fois où tu es allé plus loin dans ta voie parce que les encouragements te disaient, pour de multiples raisons, que ca valait le coup de continuer d'essayer ? Là où tout seul tu aurais capitulé ou alors tu y aurais mis moins de conviction ? Ici ils essaient de créer cette petite voie en eux-même "continue, tu crois que c'est fini, c'est dur, mais ca peut encore avancer". Dans leur cas, il s'agit en plus de continuer à avancer dans des mouvements très durs en étant fatigués (d'où la recherche de cet état le plus rapidement possible avec la pre fatigue sur pan gullich) car c'est ce qui va faire la différence en compétition, être capable de gagner une prise quand on n'y crois plus. Cet entraînement entraine le corps et l'esprit à aller chercher cette prise en allant plus loin que ce qui leur semble possible. C'est pas dépasser ses limites, c'est petit à petit, au prix de cet effort supplémentaire, de les repousser le plus possible. Et d'en prendre l'habitude pour pouvoir le declencher plus facilement le jour J. Évidemment, ce n'est pas à appliquer lors de chaque entraînement, loin de là... et ce n'est qu'une des (très) nombreuses pistes de travail ... mais l'idee c'est que quand ils le font, ils le font vraiment, pour que ce soit justement le plus utile possible. Encore une fois, c'est une facette particulière du sport, l'escalade est un sport extrêmement varié. Tu peux en faire toute ta vie sans pratiquement jamais avoir à forcer et c'est heureux !

merci il doit commencer à se sentir moins seul ;)