Comme l’émission « Les femmes d’ici ». Actuellement en Europe nous n’avons même pas des émissions d’aussi bonne qualité ! Bravo la CIV pour ce que vous faites.
Le gars qui a fait rasta j'ai écouté ton histoire, ça m'a bouleversé je te souhaite du bonheur et je t'encourage dans la vie ton frère sénégalais qui vie en europ merci
Chers parents, écrivez vos testaments, mettez certains bien aux noms de vos enfants car la mort est le seul événement dont on est sûre et certains de voir passer dans nos vies
Vraiment yako le mannequin c'est la vie.la famille Akan est compliquée c'est pourquoi ma tête n'est pas sur héritage de mon père.en plus moi je suis femme donc je n'aurai aucune chance d'avoir un bic après sa mort.
Le plus simple : ouvrir des comptes au nom de chaque enfant. En gros leur léguer le maximum possible avant la mort. Affaire d’héritage là c’est n’importe quoi
Yako Jean- Martial, les orphelins déshérités se comptent par milliers en Afrique. Et certains arrivent à justifier leurs actes. Ils diront aux enfants que c'est leur tour de manger l'argent de leur défunt frère.
C'est vraiment une très belle émission je souhaite longue vie à l'émission et surtout aux deux supers animateurs Braising girl et Suspect 95 bon vent à vous.
Cest malheureux pour ce jeune homme! Et dire que ses parents eloignes qui ont pris leur heritage sont la a l'aise a se pavaner dans Abidjan et jusqua dilapider le dur labeur de ce fonctionnaire. Cest pathetic!
Ma cher tu travailles tu t'occupes de tes propres enfants,tu fais les choses pour eux a sans drap de quelqu'un . C'est quand ils voient qu'ils luttent.Moi je serai dans mon coin.
Les parents Africains ne savent pas fermer leurs bouches et sont méchants. Quand tu est vieux que tes enfants sont majeurs pourquoi attendre de mourir avant de leur donner quelque chose.
C'est certain. L'islam n'est pas la coutume. Et je ne dis pas que le Sénégal a choisi la coutume. Ce que je voulais présenter, c'est plutôt le choix donné aux sénégalais entre deux types de lois. Parce que le Sénégal est majoritairement musulman, ils ont laissé une place au droit musulman dans leur code de famille après les indépendances. Chez nous, en Côte d'Ivoire, nous avons choisi la seule loi civile, sans tenir compte de nos lois traditionnelles qui avaient vraiment du poids. Chez eux, ces deux lois sont étrangères certes, mais plusieurs se sont appropriés la loi musulmane. Et le plaidoyer a porté. C'est peut-être ce que nous aurions dû faire en Côte d'Ivoire, pour que peut-être tout le monde se sente légitime à appliquer la loi en question.
@@ayawa5321 c'est pour cela que j'ai dit la loi musulmane. Je n'ai pas dit la coutume sénégalaise. Pour bien marquer la différence. Et je n'ai pas dit que l'islam est la coutume de base au Sénégal. Je dis que les sénégalais ont le choix. Et c'est le choix que les ivoiriens n'ont pas. Et puis, le débat ne portait pas vraiment sur le Sénégal. C'est un exemple que j'ai pris pour montrer que c'est l'un des pays qui su donner le choix.
@@sandryadon7250, je l'entends mais comme dit dans mon commentaire initial, tout comme la Côte d'Ivoire, le Sénégal exerce des lois qui ne sont pas les siennes, car extérieures. Et je précise juste que l'islam n'est pas la coutume endogène du pays. J'ai relevé cet exemple en particulier car vous avez parlé de colons. C'est tout. Bonne journée.
@@sandryadon7250 à titre personnel j’ai compris votre exemple. Mais je ne suis pas tout à fait d’accord avec la conclusion que vous en tirez, à savoir qu’il aurait peut-être fallu que les lois ivoiriennes (et ailleurs en Afrique de l’Ouest) fassent une place à la coutume. Parce que le problème récurrent avec les coutumes en matière matrimoniale et successorale, c’est qu’elles sont des instruments pour léser les parties fragiles. (Femmes, enfants). C’est quand même très différent de la loi musulmane qui peut être très très équilibrée… Je pense que la solution, quel que soit les dispositions légales existantes, est que le législateur mette en place des instruments permettant de s’assurer de l’application de ces dispositions et surtout de la protection des parties fragiles. Je ne connais aucun pays qui dispose d’un tel instrument, et donc ce serait innover, mais je pense que c’est la seule voie. Bon après, l’africain doit aussi faire la culture du testament, vous l’avez souligné. Voilà c’était un avis!👏🏾