La Zone #27 Fritz Lang ou toute la noirceur de notre siècle 

Merci beaucoup pour ce retour ! Content que ça plaise

Merci beaucoup ! Ce n'était pas une mince affaire ;-)

​@@zoanima9583 Oui, on a cru comprendre que c'était le crédo de cette chaîne, du gros taf pour creuser les sujets ! ;)

C'est gentil, merci ! Mais ce n'est pas vrai tout le temps ;-)

Merci beaucoup !

Merci beaucoup ! Content que ça t'ait plu

Merci beaucoup !

Merci !

Merci beaucoup Eric !

Merci beaucoup ! Content que ça plaise, ça fait chaud au cœur

Merci beaucoup ! Content que ça plaise...

Avec plaisir !

Oui, c'est un des raisons pour lesquelles j'ai eu envie de faire cette vidéo

Content qu'elle ait été utile, elle a été faite pour ça. D'où la petite dédicace à la fin du générique ;)

Merci beaucoup !

Merci beaucoup !

Avec plaisir ! Merci pour ce message

Merci beaucoup !

Merci

Merci !

Merci !

Avec plaisir !

Oui ! Pris par mille choses, entre le boulot plus perso (visible sur Vimeo), les éditions de livres et de CD, les présentations de films et autres événements, l'administratif et les interventions en milieu scolaire... J,'espère que le prochain ne sera pas dans si longtemps !

Si fait avec passion, un travail en vaut un autre, on tout cas, on sera la pour la prochaine. Sinon un lien pour vidéo? Merci

J'espère que la prochaine sera dans moins longtemps ! En tout cas, elle est écrite et polongera dans La Clepsydre de Wojciech Has - à moins que je n'en fasse une autre entre temps ! Pour les autres vidéos plus "personnelles", ça se passe par ici : vimeo.com/vincentcapes

Content que ça plaise ! J'adore Bava mais pas de vidéo sur son cinéma dans les tuyaux pour le moment... Désolé !

Je ne crois pas que Fritz ait eu la moindre velléité révolutionnaire. Cependant, ce n’est pas tout noir ou tout blanc, et durant la période allemande les zones de gris et autres ambiguïtés (surtout dans Les Nibelungen et Metropolis) sont dues majoritairement à la collaboration (sans mauvais jeu de mots !) avec Thea von Harbou. La chronique qu’écrit à ce propos Luis Buñuel sur Metropolis en 1927 (c’est-à-dire avant de passer à la réalisation) est très pertinente et extrêmement lucide sur ce point. Lorsque Lang part aux États-Unis, son point de vue devient limpide et bien plus lisible. Metropolis souffre de cette dichotomie de deux auteurs qui tirent dans des directions différentes le propos du film. Dans tous les cas, comme c’est dit dans la vidéo, c’est visuellement que le film culmine. Mais c’est bien loin d’être le meilleur Fritz Lang dans tous les cas. ;-) Quelqu’un qui aurait juste fait M le maudit mériterait déjà toute notre attention et notre plus grand respect, mais si l’on y rajoute la trilogie Mabuse, Les Araignées, Les Trois lumières, Les Espions, Furie, J’ai le droit de vivre, La Rue rouge, Règlements de comptes, La Cinquième victime ou encore L’Invraisemblable vérité, je ne crois pas qu'on puisse le trouver surcôté !