Way wakhofi dara. Lady diama bimouy jangue Di réussir bay gérer entreprise fou jeukeur dji nekone. Mane dh vraiment jeukeur dou takh ma bayi sama liguey ndakh fayalouma ma jangue té bimay créer sama entreprise khawma ko wone. Té malheureusement amna jiguène youy doundou lolou ci société ndeysaan . Y'a des hommes égoïstes
Diama meunone na tok d biko dieukeur ji menacer pask sakh nak sa présence là-bas n'était pas indispensable il était tard nittt soy liguey dangay am ay principes aussi ya un temps pour le boulot et un autre pour la famille soudone médecin m'a meuneu comprendre
Il est essentiel de remettre en question l'idée que les séries télévisées, souvent célébrées par certains RU-vidurs, soient un facteur positif pour le Sénégal. En réalité, cette valorisation peut masquer des enjeux plus profonds qui contribuent à la pauvreté dans le pays. **** L'impact sur l'économie locale Les séries peuvent sembler offrir des divertissements et générer des revenus publicitaires, mais elles détournent également l'attention des véritables problèmes économiques. La consommation massive de ces programmes peut mener à une forme d'évasion qui empêche les Sénégalais de s'attaquer à des défis cruciaux tels que le chômage, l'éducation ou la santé. Au lieu d'investir leur temps dans des activités productives, de nombreux jeunes passent des heures devant la télévision, ce qui peut nuire à leur développement personnel et professionnel. **** La culture de la consommation Les séries, souvent truffées de placements de produits, encouragent une culture de consommation qui ne fait qu'accentuer les inégalités. Les personnages de ces feuilletons vivent des vies de luxe et de glamour, créant des attentes irréalistes chez les téléspectateurs. Cela peut conduire à un désir de consommation qui dépasse les moyens financiers de la majorité des Sénégalais, les poussant à s'endetter ou à négliger leurs besoins fondamentaux pour imiter ces styles de vie fictifs. **** La distraction des enjeux sociaux Enfin, ces productions peuvent servir de distraction face aux problèmes sociaux pressants. Au lieu de susciter des discussions sur des sujets comme la corruption, l'éducation ou les droits des femmes, elles peuvent renforcer des stéréotypes et détourner l'attention des véritables luttes que le pays doit affronter. Par exemple, des séries qui abordent des thèmes de violence ou d'inégalités de genre peuvent, paradoxalement, normaliser ces problèmes sans offrir de solutions concrètes. En somme, valoriser les séries télévisées sans prendre en compte leur impact sur la société sénégalaise peut contribuer à un cycle de pauvreté et de désengagement. Il est crucial d'encourager des formes de divertissement qui non seulement divertissent, mais aussi éduquent et incitent à l'action pour un Sénégal meilleur.
Fasé 3 fois thi Islam amo droit takat KO tan que marié woul ba divorcé mais y'a un souci ka neen ki koy takat pour BOU divorce amé NGA man ko takat waroul am dill
Imaginez juste ceux qui sont dans le médical et qui sont obligés di fanane si hopitaux yi khana niome mome everytime niou tass wala nioune warounio seuy Ce mara si bopam mo nekk goor gni nga kham ni meunou nio géré leurs émotions
Mon frere pour moi Diama n’est pas le problème mais son ex mari qui n’a aucune conscience en divorçant pour le moindre motif. De plus, le travail et le mariage sont facilement conciliables car dans mon esprit, l’homme doit prendre soin de sa femme et la comprendre comme celle ci le ferait pour lui.
Sou amé dill RK islam daga nalou ko Kon ki Koy takat pour mou divorce pour elhadji takat par hasard la wara donne Kon pour mou lerr El hadji dafay niak amoul droit takat KO
Archi tay suis pas d’accord avec toi apparement tu a juste parlé du contexte visuelle de la série hors t’oublie qu’il y’a un contexte historique qui est du comment le mariage de lady diama a eu lieu et comment elle a vécu durant toutes ces années dans son menage conjugale…!! Bref perso pour moi y’a quelque chose de lourds et louche derrière tout cela Et en plus sa saute aux yeux que Diama c’est mariée non pas par consentement mais plus tôt par respect De mon humble avis
