Yann-Fanch Kemener, tu viens de nous quitter et tu laisses un grand vide même si tu as transmis à d'autres tes connaissances et ton art. Merci pour tout, pour ce plaisir et ce bonheur que tu nous as apportés...
Je suis gagné par l'émotion en découvrant cette vidéo, Jean-François que je connaissais plus de 30 ans et Théo, le fils de Marina et Jean-Luc que j'ai connus gamins , petit-fils de mes amis Jeannot et Jacqueline. La transmission est une vraie valeur partagée dans la famille de Jean-Luc comme dans celle de Marina. Je repense à tout le travail de collectage de Jean-François, aux amis que nous avions en commun et que nous évoquions à chacune de nos rencontres, aux moments passés ensemble notamment dans les coulisses de certaines représentations, à sa gentillesse m'invitant à chaque fois qu'il venait chanter en région parisienne. Je suis heureux de savoir que son chant se transmettra par Théo et par d'autres. Je suis fier que nos pas se soient croisés et que nous ayons entretenu notre amitié au fil du temps même si nous nous voyions peu ces dernières années.
Ya zur, skriv' a ran 'nehe dac'h : Benn pe t'e ar c'hemener d'am zi da labourat Benn teue 'vize krestei', d'añ vize boere mat Gwel' a raen 'nañ 'tont gant ar pors trankil 'n e berr bajoù E zac'h gantañ war e chouk i konto 'n un antreal bars an ti boñsoar e noe lâret ha goulenn gant ar re gozh ma oeient war o yec'hed Fe ya zur ! 'met an h'ai gozh, yac'h omp bras ha bihan Didostait ta kemener didostait da dal an tan Didostait ta kemener didostait da dal an tan Da c'hortoz da dejeuno ha tommo ho taouarn bihan Pe oe kroget an devezh, komañset da labourat Ha eañ da gonto da wreg dimeus an tiegezh mat