Un joli décor nous plonge immédiatement dans l’ambiance chaude et humide du Tonkin. C’est bien écrit par Jean-Marie Rouart de l’académie Française, mais comme cette histoire de la fin de la guerre d’Indochine et de nos colonies en Asie du sud-est, c’est un peu suranné. Ça sent l’opium, les trahisons en tous genres, les tromperies et les dépits amoureux qui finissent mal. Malgré le talent des comédiens ça manque de rythme. C’est un peu pesant comme le climat vietnamien.
18 фев 2024