Le bonheur et le désir par Matthieu Ricard 

Pour pouvoir répondre à qu'est-ce que vivre ? Y avait il une Vie avant la Vie et y a t-il une Vie après la Vie ? Quel est la différence entre exister ou vivre ou encore naître ou disparaître ce qui peut sembler un peu fous mais qui se veut peut-être à la base du non-être et de l'être. Si l'ensemble de l'Univers connu et encore inconnu se veut Énergie de la Vie ce qu'observe les scientifiques comment se fait-il qu'au premier balbutiement de l'observation et de l'écoute et du ressenti que nous avions avec notre environnement Il y a eu des êtres humains qui se sont initiés à la recherche de l'Être qu'on l'appelle l'Énergie créatrice ou au commencement était le verbe (Créer), Dieu ou la Vie composé de sa biodiversité dont nous faisons partie intégrante et qui forme ce que les taoïsme nomme le Tao ou les traditions animistes le Grand Esprit. Il en demeure pas moins que les êtres humains ont tenté de s'adapter à l'environnement tant physique que humain en essayant de connaître et de comprendre d'où ils viennent, où ils snt rendus et vers où s'en vont-ils tout en observant des phénomènes qui furent la source de leur interrogation comme par exemple une explication à la création de cet univers connu et inconnu tout autant que visible et invisible. La naissance, la vie et la mort, par exemple, ou encore la connaissance en vue de comprendre, le développement de leur habiletés pour être capable de s'adapter à leur environnement en répondant aux besoins spirituels, psychiques, psychologiques, émotionnelles et relationnels et des lois physiques et humaines de valeurs universelles pour faciliter et favoriser le Vivre ensemble et qui au courant de l'histoire ont évolué en fonction de leur univers culturel. N'y at'il pas l'inné, par exemple l'adn et le acquis qui s'acquiert par la retransmission des savoirs et la mise en valeurs justement de ces valeurs qu'on identifie comme universelles. Au centre de préoccupations le mal et le bien, la haine et l'amour que ce soit de la biodiversité et de l'humanité (sous ensembles socio-culturels) liés à un plus grand ensemble l'Humanité qui rassemble tous les sous ensembles socio-culturels qu'il soit de l'ordre de l'individuel ou des collectivités et c'est souvent au centre de cette recherche du bonheur qui s'est construit tantôt par imitation, essai et erreur, par la recherche développement ou encore des recherches-action que se sont construits les paradigmes à travers les croyances et les connaissances qui me semblent être une recherche de la vérité a partir de certaines vérités auxquelles nous sommes arrivés à croire et cela sans jugement de valeurs. Apprendre ne se veut-il pas d'accepter de se remettre en question et de remettre en question nos savoirs au profit d'un plus grand savoir ? Sinon pourquoi le monde aurait-il parti de la marche pour aujourd'hui se rendre dans l'espace afin que nous puissions en apprendre davantage sur nous et notre capacité d'adaptation tout autant que pour explorer ce qui se révèle encore des mystères de l'inconnu ou de l'inconnu à connaître et comprendre. Autant il nous en reste encore beaucoup à connaître sur nous qu'il en est de même pour l'environnement dans lequel nous sommes partis intégrantes. dans cette espoir que nous avons de voir la vie humaine se poursuivre encore pour longtemps.

Dans ce que vous nous exprimés. il y a la recherche du bonheur, de la joie ou des joies et du plaisirs ou des plaisirs qui sont des oppositions au malheur, aux souffrances et à la douleur et au malheur. Dans la vie quotidienne, n'avons-nous pas toujours été en relation avec ces deux champs soient ce qui engendrent les sources des souffrances et de la douleur tout comme avec les sources de joies et de bonheur et la quête du paradis terrestre ne serait elle pas relié à la disparation des sources de déplaisir, des souffrances et des malheurs qui sont de l'ordre de la douleur ce qui fait mal comme le ressenti de la haine ou du rejet ou de se sentir mal-aimé. Pour en arriver, à découvrir et vivre en corrélation avec ce qui sont les sources du plaisir, des joies et du bonheur qui serait relié à la réponse de se sentir aimé et être aimé que ce soit du coté personnel et ou professionnel et cela dans le respect des uns et des autres. Tout n'est il pas affaire de relation si nous sommes interdépendants avec notre environnement physique et ou humain ? Est-ce que durant son passage sur terre l'être humain existence sans avoir de libre arbitre même si ce libre arbitre me semble doit être en relation avec les autres que ce soient à cause de son sentiment d'appartenance à un ou l'autre des humanités ou à l'Humanité ? Qui peut véritablement prétendre de quoi sera fait l'inconnu du futur puisque nos savoirs ont une incidence sur le devenir d'une personne humaine ou des humanités et de l'humanité ? Surtout quand nous savons que nos agirs ont une incidence sur son futur, si j'ai bien fait mes devoirs d'apprentissage. Si donc nous sommes les produits de notre passé ce qui constitue notre présent de quel avenir parlons-nous ? Comme nous savons que notre passage est liés à la naissance, la vie et de la disparation dans un avenir inconnu quels devraient êtres les pensées imaginaire ou logique et liés à notre intelligence cérébrale, tout autant qu'à celle de l'intelligence du coeur: émotionnelle et relationnelle et qui sont en lien avec les émotions ou plus ou moins désagréables et agréables et ressenti par l'intelligence du corps dans une perspective de protéger sa vie ou la Vie ou encore de l'aménager et de l'entretenir pour répondre aux besoins fondamentaux dans une perspective de développement durable en pesant aux générations futures et qui peuvent aussi l'être dans un contexte d'évolution vers un monde d'amour, de paix et de libertés, par opposition ou en dialectique avec les monde où s'observe de la haine, de la violence et de la perte des libertés que ces dernières soient des libertés individuels et collectives car une peut-elle se vivre sans l'autre ? N'est pas un besoin d'équilibre et d'harmonisation qui ont fait naître les droits humains et la déclaration qui les soutient?

La déclaration universelle des droits humains ne fait elle pas référence à la conscience collective ou universelle et peut-elle devenir réalités si elle ne tient pas compte des consciences individuelles et les conscience individuelle peut elle devenir réalité si on ne tient pas compte de la Conscience universelle . Si cela est de nature émotionnelle et relationnelle, n'est pas par la manière dont nous communiquons et par le dialogue que cela peut faciliter ou favoriser les remise en questions et les choix d'action à entreprendre selon des pistes choisies après consultation réflexion et prise de décision en tenant copte de tous les acteurs participants sinon peut-on parler d'inclusion et d'intégration ? Je délaisse les coté collectif pour revenir sur l'aspact individuel qui est le sur lequel j'ai un certain pouvoir. quand à la réflexion et à la prise de décision que je peux avoir sur mes agirs qui sont de nature à ne pas nuire ou encore d'être aidant dans la mesure du possible en effectuant ce que je peux avec les moyens que j'ai, à ma disposition et qui surviennent après un bilan et mes actions passées et des incidences autant pour moi que pour les autres c'est-à-dire mes faiblesses et me forces en tant qu'être humain en devenir puisque je suis imparfait et que je le disais je suis trop préoccupé par mes erreurs du passé pour juger les autres dans le but de faire mieux à l'avenir. Ce qui se veut en lien avec ce dont parle Matthieu Ricard. Cela demande permet de développer un introspection et aussi basé sur des observations puisque je suis davantage observateur que participant. Une façon d'exercer le non-être ou plus précisément de ne pas tenir compte des effets pour soit mais juste pour les autres. Mes apprentissages en observant et étudiant l'ange animal comme le disait le poète Gilbert Langevin soit celui qui a fait preuve d'altruisme en supportant la souffrance mais sans jamais renier cette phrase qui se veut encore aujourd'hui; aimez-vous les uns et les autres comme je vous ai aimé. De notre vivant durant notre passage qui ne fait il pas de son mieux pour les siens mais est-ce que les choix d'agirs sont les plus appropriés ? Cela ne se dit il pas faire des erreurs et qui n'en a pas commis au cours de sa vie ? N'est-ce pas ce qui se nomme la conscience ? Était-ce des erreurs volontaires ou involontaires tout comme avons nous été en interactions avec les erreurs des autres ? Comme se servir des erreurs passées pour faire mieux à l'avenir ? n'est-ce pas par la reconnaissance d'un problème, d'en identifier les causes et les conséquences et en cherchant à réparer ou encore modifier ou transformer et n'est-ce pas cela que de dire s'adapter aux changements qui je crois ne peut se faire que dans le moment présent mais en éliminant ce qui peut-être de nature malveillante au profit de la bienveillance, ne croyez-vous pas ?

Si chacun cherche à s'éloigner du déplaisir, de la souffrance et de la douleur et du malheur et adopte la bienveillance aurions nous plus de chance de vivre des moments de plaisir si cette recherche ne se vit pas au détriment du plaisir de l'autre mais qu'il devient plaisir partagé ? si la joie et le bonheur des uns et des autres e vit avec les uns et les autres car si le plaisir est impermanents, les joies ont s'en souvient de manière plus agréable que celle du malheur ? N'y a t'il pas un diction qui dit que le temps arrange les choses. Du début de l'humanité et des problèmes justes pour assurer sa survivance et pourtant même si l'espérance de vie et que les conflits ont diminué, les Nations-Unies et chaque pays savent qu'il y a encore des besoins et des attentes que ce soit en entraide, en coopération ou en développement local ou internationale. Une question m'interpelle pourrions-nous augmenter les chances de réussites si nous nous faisons confiance que nous cherchions à avoir de bonnes relations interpersonnelles et avoir un objectif commun: Vivre ensemble pour le bien de un et des autres ? Pouvons réussir si chacun ne fait pas sa part ? est-ce qu'au final nous n'arriverions pas a vivre un bonheur partagé même si nous savons que la maladies ou des catastrophes peuvent survenir l'amour, l'entraide, la coopération ne rait il pas des dénominateurs communs facilitant et favorisant la poursuite et le perfectionnement de ces apprentissages qui relèvent de la formation continue ?

Il se peut qu'il y ait des erreurs ou matière à amélioration mais cela est un peu le fruit de ce l'incidence qu'à eu ce que vous avez dit concernant la recherche du bonheur qui je ne crois pas peut être une réalités si non partagé avec les uns et les autres tout en permettant à chacun de tirer ses propres conclusions. Je vous en suis des plus reconnaissants et vous avez toute ma gratitude.

bonjour,de retirer tout désirs en vous,c'est extrême ,je pense qu'il faut trouver un équilibre,tout est question d'équilibre

Nous sommes tous connectés.

Pourquoi ça ne l'ai pas ?

Ses Agneaux Glorifiés Etablirent Son Sanctuaire Eternel