bonjour... rare autant de personnalité dans son phrasé... elle maitrisait tout... je l'ai vu trois fois sur scène (que trois fois hélas) j'aime son sens du comique mêlé de souffrance, car il y avait toujours chez elle un côté tragique ...c'est pour ça qu'elle était avant tout comédienne... merveilleuse comédienne... son seule sur scène n'en n'était pas vraiment un... il y avait avec elle la vie comptant ses relatives joies, ses pauvres victoires et ses déceptions auxquelles chacun se reconnaît...
@@balladedespendus4265 Bonjour... je ne sais pas si cela est une chance... un bonheur certain oui... chez elle aucune vulgarité... elle maîtrisait tout son art toute son visage toute sa voix tout son corps... c'est tellement rare... c'est tellement beau... tous ses personnages avaient, au fond, une tristesse infinie un mal de vivre (comme on dit) ... et notre rire n'était que le reflet de nous-même.... seule une tragédienne est capable de nous donner ce bonheur.... cordialement daniel.
@@danieldesmars5987 Evidemment le bonheur d'un humour exsangue de vulgarité pénible et de mauvais goût. Son parcours, son talent l'honneur elle est d'ailleurs la muse de beaucoup d'humoristes encore très actuels.
Je suis un fan de la 1ere heure. Des que je suis arrivé à Paris , j’ai commencé à aller voir ses spectacles. Je ne sais plus combien j’en ai vu. Mais pas mal. Des qu’elle était à l’affiche, je réservais des places . Son humour particulier me comblait. Ses sketchs étaient tellement bien écrit. Après, je peux comprendre que l’on n’apprécie pas. Elle était un cas à part. Mais beaucoup de mes amis l’appréciaient également Je l’ai rencontré une fois , en allant saluer Régine dans sa loge après un tour de chant . Sylvie Joly, qui était une grande copine de Régine , s’y trouvait. J’étais ravi, j’en ai profité pour la saluer aussi et lui dire combien je l’admirais.
Mais ces rires en boite , quel besoin ? Quand elle est !à tout s'efface, plus besoin de rien. J'en connais d'autres qui cherchent l'humour et qui parfois le trouve. Ma chérie, tu nous manque tant. Lorsque ta fille t'a jouée, c'était d'une telle réalité qu'on pouvait s'y perdre.