Ayant participé au Convoi de l'eau cet été, je vous garantie que lorsque notre sono ambulante (triporteur à NRJ solaire ;-) diffusait ce morceau nous étions porté par des larmes de détermination. Merci à des artistes comme Dominique A de poétiser nos existences. No Bassaran !
Chaque vers est un univers infini d'interprétation. Ainsi on se plonge dans un inconnu poétique avant la passage...Amitié Universelle à tous ceux qui sont touchés par cet artiste.
Superbe chanson, atmosphère et univers musical ne demandant que d'être porté par l'image. Votre vidéo est incroyablement illustrative et complice du texte et de ce dont elle en dégage. C'est personnellement LA chanson de ma vie et grâce à laquelle je connais la renaissance artistique. J'ai ainsi rendu hommage au Convoi et en retransposant le texte de Dominique A à ma mélodie, mon ressenti j'aimerais vous la partagez
Je m’étais fait mon propre film en écoutant régulièrement l’année dernière cette belle chanson. «Et tu prendras peur de l’amour » résonnait comme une délivrance, un lâché prise lié sans doute à mon histoire. Merci à toi, Court Foster pour nous avoir fait partager tes lueurs. Jamesgui
Dominique A : quel est donc ce génie ? voix, arrangement, tout ici est sublimé... Et puis cette video qui nous embarque dans la nostalgie de nos frissons....
La route est toujours aussi belle, merci pour cette vidéo, je lui trouve beaucoup de charme. J'ai d'ailleurs longtemps cru que c'était le clip officiel :) Il y a quelque chose de troublant, de la langueur, de l'espoir , de la nostalgie. Le côté "fait main" n'enlève rien à la pièce. Beau travail
Identifier le thème de cette chanson n'est pas trivial. Selon un interview de Dominique A (29/04/2012 par Franck Vergeade) : "Le Convoi est une histoire un peu surréelle, qui aborde l’envie et la crainte du collectif à travers un personnage. L’idée du collectif me taraude davantage que par le passé : quelle est la place de l’individu par rapport au groupe ?"
@ libre aussi hehehe: je ne.pense pas que ça parle de déportation... Le seul rapport avec ce sujet serait le terme "convoi", mais je pense que ça n'a rien à voir. Ça m'a plus l'air de parler d'amour, et du risque qu'on prend quand on s'y plonge (le fleuve..). Ceux qui décident à franchir ce pas sont représentés par cette allégorie du convoi, convoi de fous, de rêveurs, qui ont basculé dans la folie d'y croire.