Le Florilège des Grosses Têtes #63 - Intégrale du 26 juillet 1990 avec Olivier de Kersauson 

L'humour de ces gens, la culture de ces gens. Ont a plus rien aujourd'hui merci de nous avoir fait autant rire.

Toujours aussi bon.😂 Merci Jordan

Mes premiers souvenirs de vous ...83-84 , le petit théâtre de Bouvard ... mon défunt papa me faisait découvrir ce formidable animateur que vous êtes, vous êtes LA référence en la matière

Belle et agréable soirée et très bon week-end à tous ! 😊 Jordan.

😂 quel plaisir de re’écouter ces e’missions que nous e’coutions en famille. Mes parents étaient morts de rire 😅 c’était le bon temps merci à vous ❤

Aujourd’hui comme hier, que du bonheur. Merci les grosses têtes 😂❤

C'est juste magique... MERCI BEAUCOUP. bonne continuation.. 👍💪🫶

Merci Jordan et Philippe pour tous ces moments inoubliables et apparemment irremplaçables. 😍😂🤣

Merci de ce super moment de rigolade, ça fait du bien 😂😅

Merci pour cet intégrale et bon déménagement .

Depuis que j'ai entendu Bouvard, lui même, parler de "L'amiral" Kersozon qui l'a tant déçu par son abandon pour de l'argent, que quand j'entends la voix, désormais, de ce marin, ca ne me fait plus le même effet...

Ruquier n'arrive pas a la cheville de Mr Bouvard , qui a mis en place une emission culte avec des gens uniques par leur intelligence et l'humour ...

dechaine l amiral ..............& montagne et Sarraute quu apportent leur pierre a l'édifice

Bonsoir. J'aurais aimé transmettre un texte à M. Philippe Bouvard qui consiste en une blague tirée d'une émission des Grosses Têtes avec Jean Lefebvre mais présentée sous forme de vers rimés. Vous pensez cela possible ?

❤️❤️❤️👍

Mais qu'est-ce qu'on a ri.. 😂

Je peux vous envoyer le texte via un commentaire, comme ici. Je vous dis cela car je viens de réaliser que votre chaîne a bien l'aval de ce grand monsieur que j'ai pu entendre dans ce court message audio qui ouvre les hostilités... humoristiques du 26 juillet 1990.

Bonjour et merci, Jordan. Voici le texte auquel vous trouverez quelque intérêt j'espère. C'est en regardant une de vos vidéos, celle de 1995 que je me suis mis en peine de l'écrire. Il est assez aisé de voir ce qui distingue Le printemps de l’hiver, le fada du foldingue, Le vacherin haineux de la douce meringue, La poire à lavement de la fourbe seringue, La barbe du barbu, le moujik du moujingue, La valse qu’on entend dans le pauvre bastringue De l’empoignade vive où finit une bringue, Le bon petit Gaulois du Romain qui valdingue, Le cockpit de l’avion de la lourde carlingue, Le larfeuille en argot qu’on dit aussi morlingue, Du grisbi d’un grizzli, employé de burlingue, Le chapiteau que monte et démonte un baltringue Du filin sans rapport qu’on appelle ralingue. Il est aisé de voir ce qui différencie La pointe raffinée de la blague qui scie, L’œillade chavirée de la sainte-nitouche Avec laquelle un gus semble avoir une touche Des yeux de la greluche encline à quelque gringue Que son rentre-dedans rend poisseuse et salingue. On voit ce qui distingue un pompier brindezingue Du pyromane abject enflammant la berlingue, Le zingueur sur le zinc du zigue qu’on dézingue, Le cochon du cauchois, mais la mort de l’amour, Cette chose bizarre, avec des poils autour ? Peut-on les distinguer sans l’ombre d’une erreur ? Vous séchez n’est-ce pas ? Vous donnez votre langue Au chat !... La devinette, en butte au roulis tangue. Non sans raison, ma foi, vous craignez une horreur. Vous donnez du museau dans une ribouldingue Qui promet d’être osée, peut-être un rien louftingue. Pour ma part, je l’avoue, j’aime la partie fine Des bêtes à deux dos dont l’œillet fin se bine. Le sel du jeu de mot, au lyrisme cradingue, Que l’on peut décrier pour son côté lourdingue, Naît, c’est selon, d’un piètre ou subtil calembour Qui nécessite un long roulement de tambour. La mort, c’est l’arrêt du cœur, et quant à l’amour... Cette farce rêvée qu’il faut prendre à rebours, C’est, croyez-moi, la raie... du cul !... Pâmé de rire, Le luron mimera ce que l’on vient de lire. Cette plaisanterie nous vient de Jean Lefebvre Qui joua dignement dans plus d’un film d’orfèvre.

Je ne me souvenais pas que Guy Montagné pouvait être aussi drôle...

Et dire que maintenant avec la restrictions de la liberté d expression ils seraient tous prison mais c est tellement drôle surtout les anciens genre Jean yanne , kersauzon , sim , castelli surtout buvard .....

Que faisait montagnier dans cette assemblée