Rare exemplaire en 9mm browning long (ceux en 6,35mm et 7,65mm sont beaucoup plus communs) avec un superbe bronzage et une boîte-coffret qui l’est tout autant. Il est effectivement anormal que le canon ne bascule pas automatiquement lors du retrait du chargeur. L’appendice sous le chargeur sert exactement à contenir une cartouche de réserve devant être directement chambrée dans le canon. En effet, comme on peut le voir, cette arme est dépourvue de toute strie de préhension servant à introduire une première cartouche dans la chambre (pas de « rack » prévu même si c’est acrobatiquement toujours possible). La double action est affreusement dure et longue, nuisant à la précision pourtant réelle de cette arme. La mécanique est par ailleurs intéressante avec un ressort récupérateur placé dans la poignée devant le chargeur, raccordé à la carcasse par une double équerre en L. Une curiosité !
Pour info il y a eu 4000 exemplaires de construit pour le premier modèle canon sans cannelure et le second avec cannelure.(ailettes de refroidissement ) ! En 9 mm Browning Long : « Type Armée » : Le plus gros des Manufrance Le Français. Testée par l'Armée française en 1928 et 1933 mais jamais adoptée. Produit à seulement 4 000 exemplaires entre 1928 et 1939. Son canon reçut des ailettes à partir de 1932. Dimensions (longueur x hauteur) : 20×13 cm Canon : 12,8 cm Masse de l'arme vide/chargée : 630/700 g Capacité : 8 cartouches
Ca sort où ça veut...clairement, pas d'extracteur pour guider, ça se sent. Un coup à droite, un coup à gauche... Malgré des recherches soignées des ces rares étuis, j'en ai paumée 5 sur les 27 tirés. Sur la vidéo de ma chaîne, on peut voire à 2:21, un étui qui rebondit sur mon bras...et bien c'est parce que je l'ai préalablement pris en plein dans ma tronche! Au delà du fait qu'il n'y a plus rien à abimer de ce côté-là (sans rire...on est loin d'un "Gun Jesus" qui va à la salle deux fois par jour malgré une sublime barbe anémomètrique...), on notera que mon neurone n'a pas vraiment pris l'information en compte...non, trop concentré sur cette p..... de DAO.... ...et par tout le travail qui m'attend pour faire des articles de qualités sur LAI Publications...sans blague, abonnez-vous! (cet instant instant "pu..." vous était proposé par LAI Publications)
On voient l'influence du Luger et du Browing. Mais il y a vraiment plusieurs points à retravailler !! Simple et double détente, extraction du chargeur, capacité, et le canon pivotant est inutile !! ^^
Je ne savais pas que la MAS faisait aussi des vélos... - excusez moi c'est ici le rayon pneus ? - non monsieur ici ce sont les fusils d'assaut, les pneus sont la bas derrière les obus.
Salut. Tu te trompe sur l'inutilité du canon basculant et du porte munition sur le talon de crosse. Ce qui est surprenant est de trouver la raison dans un manuel pour officier d'infanterie que jai acheté il y a des années et feuilleté quelque fois. Ton histoire ma fait comme un tilt ! Donc la raison est que la confiance est telle dans ces armes modernes pour l'époque quil apparait plus sur de chambrer la munition et de percuter en double action que de faire confiance au chargeur 😂. Les pistolets fabriqués en espagne dans lurgence seront plus nombreux et l'origine de cette méfiance ! Parle nous du rubis en 32acp 😂.
@@LeFeuauxpoudres salut et merci de ta réponse. Ma remarque était mal adroite peut-être. Il faut relever que le sujet est abordé dans un manuel général. Sur le seul sujet de ce pistolet. C'est tout de même remarquable. Biens à toi.
j'ai eu son petit frère, bizarre, un système ingénieux mais pour le tir une cata... puis bon le 6,35... j'avais une auto de libre et pour la bloquer... mais c'est une arme interessante, j'ai eu en main ce modèle aussi, français quoi, pourquoi faire simple....
Il faut pas oublier que à l'époque tu avais plus de chance de mourir à l'hôpital suite à l'opération du chirurgien que à la suite d'un coup de pistolet de 6.35mm .25 auto ou 7,35mm .35 auto Tu étais opéré à la pelle ! Lol
