Il y en a tellement, c'est difficile de n'en sortir qu'un. Je dirais que celui là est le premier d'une longue liste (j'avais pas vu en direct son triplé contre le Real de Van Nilstelroy en Camp Nou).
C'est très symbolique, mais son but de la tête en finale de C1 en 2009, face à Ferdinand et Van der Sar, ça me parait être le moment où il est vraiment devenu une superstar.
On ne remerciera jamais assez les grands groupes de Medias privés aux mains des multimillionnaires et milliardaires d'avoir privatisés la retransmission de pratiquement tous les sports et compétitions y relatives. Et après ça vient chouiner sur les salaires indécents du QSG (estimés par l'équipe) qui seraient impossibles sans l'apport des droits TV et le financement par des états terroristes et des oligarques corrompus et voleurs. À un moment donné faut assumer que ce sport est gangrené et on assume qu'en payant pour un bouquet Canal, Bein, amazon ou autre, on participe à cette corruption même si on n'est que le dernier maillon de la chaîne. Sinon il faut consulter pour de sérieux troubles de #schizophrénie. Ça va un moment d'accuser, à juste titre, la FIFA et l'UEFA quand soi-même on n'a pas le Q propre. Pour beaucoup, il y a des choses qui me paraissent évidentes qui se sont perdues. L'amour du maillot et la fidélité à un club n'existe plus; les Baresi, Maldini, Totti, Facchetti, Scholes, Neville, Giggs, Puyol, Monchi, Bode, Ricken, Sepp Maier... et bien des français ont fait toute leur carrière de joueur et leurs débuts comme entraîneurs (Puel avant de faire du tourisme français et anglais) dans le même club. Aujourd'hui on n'est pas sûr que l'équipe qu'on suit au mois de septembre sera la même en février. C'est désolant et navrant d'avoir réduit le joueur à un produit amazon que les clubs se prêtent, s'échangent, vendent avant qu'on lui ai donné le temps de s'acclimater à l'équipe et aux systèmes.