Christine Angot revient la libération de la parole dans le cinéma en France, et ce qu'elle a de différent des Etats-Unis. Retrouvez les éditos culture sur www.radiofranc...
De si importantes précisions et recadrage des mots aussi pour dire les faits...Il ne faut rien laisser au "hasard" et encore moins à ce qui risque de créer ce "flou artistique" en ces temps "bien troubles" - si bien pratique pour continuer à dénier au final...Et nous laisser toutes et tous aussi dans le brouillard par la suite ! "Point par point"...Merci Christine Angot pour cette exigence, merci pour vos mots si justes.
Bravo Madame Angot pour ce subtil et parfait détricotage, point par point, mot pour mot, en ça, vous excellez…on comprend tout👍Quant à Jodie Foster (actrice que j’❤️), c’est une amie de Roman Polanski, le violeur d’une pré-ado de 13 printemps, une petite Étasunienne…très dommage! Gros dommages pour la très jeune mineure.🥀
Marre d entendre cette personne qui ne fait que s'écouter parler. France Inter en ce moment 🙄 Si elle veut faire passer un message elle le fait très mal passer ! C'est lugubre, fastidieux et au final on décroche
J avais 15 ans sur une fête foraine, lors de l attraction train fantôme un mec faisant partie du manège m a touché la poitrine, est ce que je dois porter plainte ? 🤔🤭
Si vous considérez que votre situation est à l'égal de jeune femme de 14 ou 15 ans qui ont été violée de manière répétée pendant des années, oui absolument.
Je n'ai au contraire pas l'impression que cette chronique puisse être vue/lue/interprétée par le prisme du féminisme: ici, elle essaie de donner les différences entre une situation vécue en France et à l'étranger en prenant en plus à témoin Jodie Foster. De plus, l'analyse presque psycho qu'elle en fait abonde plutôt dans les thèses de la protection de l'enfant que de la femme. Enfin, c'est ce que j'en dis...
C’est exactement ça, c’est très différent du #metoo américain. Cela questionne le rapport à la sexualité, aux tabous, et aussi l’héritage de la libération sexuelle des années 60/70, qui a provoqué des dérives impensables en ignorant la notion de consentement et d’âge, au profit d’une masculinité toxique se voulant toute puissante. Les soixantuitards ne sont en rien féministes, ils ont contribué à la perpétuation du patriarcat tout en se créant une « couverture d’hommes ouverts» pour non seulement oppresser les femmes, mais aussi les enfants. Le #metoo français questionne bien plus de choses societalement et humainement que le #metoo américain, qui n’avait que gratté la surface du problème et qui donc n’a pas fait changer les choses autant qu’il aurait pu s’il avait été plus profond et intellectualisé. Il est temps de vraiment amorcer une prise de conscience globale de la société. Bravo et merci à celles et ceux qui parlent. Vous êtes des héros.
Littéralement scotchée par le billet de Christine Angot, je vais le conserver en mémoire et le ressortirais tout le temps nécessaire pour qu'il rentre bien dans les caboches revêches. Le choix des mots est d'une justesse remarquable, j'avais l'impression de voir à l'œuvre une opération chirurgicale où tout s'éclaire à la perfection. Merci à vous !
Christine c'est le vide sidéral, suivi par un troupeau, de gens qui n'ont pas lu un seul de ces livres dont chaque ligne est insipide. Une écrivaine qui passe plus de temps sur les plateaux radio et télé en dit long son peu de talent.