Je vis depuis toujours avec un mal être,une souffrance et un trouble compulsif alimentaire.J ai 55 ans.J ai essayé de comprendre , d analyser etc.Le constat que je fais aujourd’hui et aussi grâce à vous: On ne guéri pas (si toute fois c est possible) que par la psychologie.J apprend à sortir du mental.Les pensées ne sont pas la réalité ,ce ne sont que des pensées.Je vis très mal les conséquences de ce trouble sur mon physique.Je me suis isolée et renfermée depuis de nombreuses années.Pas facile de faire le chemin inverse.J apprend un peu plus chaque jour.Je chemine.Je suis d accord avec vous .L action.Je garde l espoir d y arriver.Merci pour votre éclairage si juste
mais un message à compléter: déjà la confiance en soi c'est la cohérence entre son monde intérieur et l'environnement extérieur dans lequel on vit avec les autres, si y a pas de compatibilité entre le monde intérieur et le monde extérieur commun , il faut changer d'environnement et déménager socialement ; faut arrêter de remettre en cause les gens en leurs disant qu'ils devraient avoir plus confiance en eux, ca sert à rien de dire ça à quelqu'un; quand tu as compris ça t'as tout compris
J'aime beaucoup l'image: "Jeter une chaussure à un chien pour qu'il se taise ne lui enseigne qu'à vous attaquer..." Autrement dit, tant qu'on refuse de voir un problème et tenter d'y trouver une solution, il reviendra encore et encore, chaque fois un peu augmenté dans son intensité, à tel point que cela deviendra si invivable qu'il faudra bien l'aborder... Cela s'appelle la Vie 😉
Bonjour, j’au envie de reagir a cette zone de confort. Un jour j’ai entendu quelqu’un dire qu’il fallait au contraire entrer dans sa zone de confort, pour ma part ca a debloqué beaucoup de choses.
Le monde va de plus en plus vite, je pense que toutes les nouvelles technologies nous dépassent nous avons de plus en plus de mal à suivre leurs évolutions et nous n'avons pas le choix.
Bonjour Fabrice. J'entends bien ce que tu dis et évoque en fond de notre conscience. Je te remercie de prendre le temps de conter cela dans le détail comme tu le fais. Je ne sais pas si nous serons d'accord, mais ce n'est pas l'important pour moi. Ce qui est important c'est que chacun ose s'exprimer, se reconnaître lui-même. Nous ne pouvons être satisfaits d'être dans une société qui occulte nos réelles capacités de répondre à La Vie, en harmonie, que les énergies rencontrées soient durent ou douces, qu'elles soient de polarité négatives ou de polarités positives. Il est vrai que notre corps nous donne à ressentir ces énergies qui nous font agir ou réagir. Pour moi, rester dans la dualité est un non sens. Pour autant il est vital de se confronter au négatif, à nos peurs, à nos doutes, à des sensations et des mémoires qui nous dépassent actuellement car elles viennent de plus loin que les informations qui sont « politiquement correctes » et nous font prendre lentement le chemin de nous confronter à notre rencontre du Un, de l'ensemble que nous sommes ensemble avec La Vie ... C’est vite dit, car nous ne pouvons pas accéder à notre réalité fondamentale si nous croyons qu'il y a une limite. Que ce soit la limite de la mort du corps physique ou la mort de notre conception de la vie, de la société, de l'obligation d'appartenir à l'avis du clan. Être Libre ! Voilà ce que nous sommes. Mais nous ne le savons pas et ni ne le connaissons pas encore. Le détachement que La Vie nous demande de mettre en pratique, en ce moment, par rapport à tout ce que nous avons vécu jusqu'à aujourd'hui, nous demande de nous reconnaître intérieurement sans aucun repère connu ! Coeurdialement
"sors de ta zone de confort" ... Quelle violence ! en plus de tout ce qui a déjà été dit, je j'entends aussi comme une justification - qu'on n'a pas le droit de questionner - à une injonction autoritaire. Aussi violent que "c'est pour ton bien" !
Dans les intreprises ,je pense que c'est seulement utilisé a fin de augmenter la productivité. Ce n'est pas comme ça qu on peut stimuler la créativité . Un peu façon Bille Gates .
il est impossible de sortir de sa zone de confort lorsque l erreur est vue comme une faute. heureusement que je ne travaille pas dans le monde de l entreprise.
