Un grand nombre de femmes et de filles burundaises ont été victimes de tortures et de viols comme arme de répression par des agents de l’État et des Imbonerakure depuis 2015 au Burundi. C’est le constat de la directrice exécutive du mouvement des femmes et filles pour la paix et la sécurité au Burundi. Me Jeanne d’Arc Zaninyana regrette que la majorité des victimes aient été obligées de fuir le pays dans des conditions difficiles et déplore également l’absence de justice au Burundi, alors que les coupables sont connus.
29 сен 2024