Les débuts de la Grande Dépression (1930) 

Same !!!

T’es en quelle classe ?

T’es en terminale ?

@@unpassager7593 3ème année de licence d’anglais que j’ai eue

@@eliodd1545 bravo !

@@unpassager7593 merci bien !

Content de t'avoir aidé !

ouiii jen ai besoin aussi pour mon ds en histoire

Thanks bro!

Merci à toi et bienvenue !

Hahaha ouais on me l'a dit souvent (je le prends comme un compliment hehe) Merci à toi pour ton commentaire ! :D

Merci !!!

Merci haha !

Eh oui sinon on part sur des mécanismes boursiers et la législation bizarre des ricains et personne comprend que dalle :/

La réponse m’intéresse

Merci !!

Oui mais dans tous les cas, les salaires ne peuvent pas être flexibles (puisque la somme exacte est incluse dans le contrat de travail). La seule chose que l'entreprise peut faire dans ces cas c'est soit annuler des primes ou virer des gens. Si on laissait les entreprises gérer les salaires comme elles le voudrait, ça les pousserait à diminuer les salaires pour reverser des dividendes plus élevés aux actionnaires (c'est ce qu'on observe quand il y a des allègements d'impôts sur les très grandes entreprises côtées) Même en permettant une flexibilité des salaires, ça ne changerait rien aux autres mécanismes de la déflation (puisque c'est un phénomène exogène, issu de la variation de la masse monétaire). Le marché ne pourrait pas s'autoréguler puisque le climat des affaires serait très défavorable. On tomberait dans un équilibre de sous-emploi.

@@othmanechen Les salaires sont flexibles à la hausse et seulement à la hausse... C'est bien la raison principale de l'inflation structurelle, permettre une certaine flexibilité des salaires sans devoir passer par une réforme du code du travail et des grèves incessantes. Plus une économie est flexible, mieux elle s'adaptera (sur le long terme) à des chocs macros. Les crises sont une bonne chose, elles permettent d'ajuster les déséquilibres et boost l'innovation.

Merci fréro !!!

Les banques centrales ne nous sauveront pas de la dépression mais l'effet sera considérablement atténué par rapport à la crise des années 30. À l'époque, la première décision du gouvernement fédéral a été de... Ne rien faire. Et laisser crever les banques, les entreprises et les ménages (même si Hoover puis Roosevelt ont agi par la suite). Personnellement, je pense que les effets de la crise de 2008 auraient été comparables à ceux de la Grande Dépression si les banques centrales n'avaient pas agi. Certes, leurs décisions étaient fondamentalement débiles (sauver le système sans contrepartie suffisante à la place de le restructurer) mais ça a permis d'amortir le choc, mine de rien.

Ah bon ?? Tu peux détailler un peu, ça a l'air intéressant

@@othmanechen oui, je l'ai vu en cours. C'est l'analyse de Claudio Borio. à Court Terme (CT) les gens consomment et investissent car ils voient les prix diminuer. Donc cela créer de l'investissement, de la consommation et de la production. Sa thèse a été prouvée: "le lien entre croissance et déflation est faible et qu’il s’explique essentiellement par l’épisode de la Grande Dépression. Après la Seconde Guerre mondiale, le taux de croissance du PIB a été de 3,2% durant les périodes de déflation contre 2,7 % le reste du temps." --> ceci est un copier coller www.blog-illusio.com/2015/03/et-si-l-on-surestimait-le-cout-des-deflations.html Quant aux déflations technologiques: c'est une hausse de l'offre et une baisse des prix. Par exemple, beaucoup de produits étaient considéré comme produit "luxueux" (car cher) alors qu'aujourd'hui ce même produit est devenu complètement banal grâce à l'augmentation de l'offre et la baisse des prix. EXEMPLE: les voitures.

@@clem9916 merci ! T’as appris ça en terminale ?