@Joseph Sylve 5 000 m², c'est une très grande surface. Ca vient avec le fait que vous êtes en campagne (ancienne praire). La meilleure chose que vous puissiez faire sur une telle surface dans un tel milieu, c'est d'observer la nature revenir d'elle-même. Et donc ne rien faire. Nous appliquons la méthode lorsque nous sommes en ville, là où nous savons que si rien n'est fait, la surface va être utilisée, et pas forcément en faveur des écosystèmes. Mais hors zone urbanisée, hors zone de pression humaine, la meilleure chose à faire est d'observer patiemment le retour de la nature. C'est une approche qui ne plait pas à beaucoup de personnes qui souhaitent avoir un rôle proactif et qui se retrouvent frustrée de n'avoir rien à faire. Ce souhait d'intervenir, qui est compréhensif puisque l'action est extrêmement valorisée dans notre société, peut être transformé en rendant l'observation active: c'est-à-dire réaliser une observation détaillée, créer un parcours de suivi, repérer les essences végétales et animales, etc. Vous pouvez également choisir de scinder la parcelle en deux par exemple avec un 1 000 m² de fruitiers plantés et 4 000 m² de renaturation spontanée. Je vous invite également à vous renseigner sur le modèle de la futaie jardinée qui propose à l'être humain d'intervenir au bout d'un moment pour accompagner la croissance de la forêt. En tous cas bien à vous et belle aventure!
Bonjour Internet, Nous faisons construire notre maison en Sud Gironde sur une ancienne prairie et aurions souhaité pratiquer cette méthode sur environ 5000 m². Est-ce possible sur une telle surface ? Sauriez-vous nous conseiller sur les essences à implanter ?
@Joseph Sylve 5 000 m², c'est une très grande surface. Ca vient avec le fait que vous êtes en campagne (ancienne praire). La meilleure chose que vous puissiez faire sur une telle surface dans un tel milieu, c'est d'observer la nature revenir d'elle-même. Et donc ne rien faire. Nous appliquons la méthode lorsque nous sommes en ville, là où nous savons que si rien n'est fait, la surface va être utilisée, et pas forcément en faveur des écosystèmes. Mais hors zone urbanisée, hors zone de pression humaine, la meilleure chose à faire est d'observer patiemment le retour de la nature. C'est une approche qui ne plait pas à beaucoup de personnes qui souhaitent avoir un rôle proactif et qui se retrouvent frustrée de n'avoir rien à faire. Ce souhait d'intervenir, qui est compréhensif puisque l'action est extrêmement valorisée dans notre société, peut être transformé en rendant l'observation active: c'est-à-dire réaliser une observation détaillée, créer un parcours de suivi, repérer les essences végétales et animales, etc. Vous pouvez également choisir de scinder la parcelle en deux par exemple avec un 1 000 m² de fruitiers plantés et 4 000 m² de renaturation spontanée. Je vous invite également à vous renseigner sur le modèle de la futaie jardinée qui propose à l'être humain d'intervenir au bout d'un moment pour accompagner la croissance de la forêt. En tous cas bien à vous et belle aventure!
L'approche Ver de terre production et le concept de Terre vivante avec les Vers de terre et champignons ne me semble pas comprise et intégré par tout le monde Le compost fait hors le sol de destination et d'usage est une solution qui ne prend pas en compte les cycles complets de la fertilité Malgré tout l'idée est à diffuse partout dans les délaissés
La technique a été déposé ? Elle appartient à ce Myawaki ? Non parceque mon grand père paysan et nos anciens on toujours pratiqué ça jusqu'au remembrement...pourquoi attribuer cette technique à ce Myawaki. Remembrement, agriculture chimique, hors sol, monoculture, coupes rases pour l'exploitation forestière, myasaki, et quoi d'autre ? Les abérations de ce monde modèrne n'en finissent pas de me subjuger...
C'est pas une compétition ! Tant mieux si ta famille as utilisé la même technique pour faire proliferer ses terres, l'important c'est de l'enseigner et de la répandre, c'est une excellente solution pour les terres qui sont gardé sauvage pour la capture du carbone.
