Les hommes affirmeraient n'importe quoi | Extrait n°1 du séminaire "langage des hommes" 

Je crois que les femmes font par instinct/intuition, en effet. C'est pour cela qu'elles font dans l'ésotérique et des jeux d'égos psychiques avec la "sorcellerie" et les "sorciers" comme lorsque Morgane se confond avec Merlin. Je sais que moi même j'ai parfois appris par instinct, le ski, par example. Il m'a fallu des années pour comprendre ce que mon corps avait compris au bout de quelques jours, notamment le transfer du centre de gravité temporairement à l'avant des pieds pour déstabiliser l'effet de giration et l'accélérer suivi immédiatement d'un rebalancement vers l'arrière pour la ralentir et cadrer une direction finale - la position neutre étant celle qui fait virer les ski dans tous les sens avec des micro-balancement dans un sens ou l'autre, les deux jambes perdant leur parité ou coordination. La femme se fiche complètement de ce travail d'écriture, préférant la ré-écriture, et ainsi joue la vulnérable tout en invitant une dialectique, un jeu d'échec de logique ou de prise de parti dans la discussion. Elle est facilement battable mais tout homme honête tombe dans le piège et la femme prendra son honnêteté auto-incriminante pour une faiblesse et elle se sentira très forte et très intelligente dans son injustice (mais justice à elle en ce qui concerne les règles du jeu - disons que la femme enfant boudera et refusera de jouer mais cela peut être géré.

Avec 84 % de H au test de Tonton, j'étais pareil. Parce que je doutais plus du correcteur que de mon travail. En fac de Lettres, tout s'est confirmé. Parce qu'en plus du niveau du prof, son orientation politique et une certaine malhonnêteté prenaient le dessus. Contrairement à Yoyo, assumant ma réussite, j'en ai tiré la conclusion de quitter la vie universitaire.

@@GL0650 Aucune copie, en fac de lettres, n’exige que tu exprimes une opinion politique. Et quand une copie vaut 18, il est très difficile d’y mettre un 12. Les écarts liés à la subjectivités restent modestes (de l’ordre de deux points).

@@toastever2155 Entièrement d'accord avec toi. Mais ce sont les profs qui politisaient tout, pas forcément les élèves (je te laisse deviner la tendance). De plus, la revalorisation (harmonisation) des notes n'est pas l'apanage du bac. Quant au niveau, bah .......

​@@toastever2155 Pour ma part, je me souviens de mon professeur de français, qui pour une fois ne nous avez pas imposé le sujet ou le format du livre et dans mon cas ce fut une nouvelle, avait refusé de corrigé ma dissertation, simplement par ce que l'auteur ne lui plaisait pas. Charles Bukowski "La mort du père" Il m'a simplement pris à part, à la fin de son cours et m'a sommé de changer de livre ou il me mettrait un zéro pointé. En rajoutant qu'il ne lirait pas "cette merde". J'ai eu beau argumenter pour l'ouvrir à d'autre perspectives, ce fut peine perdue. J'ai donc pris la décision opter pour le zéro, ce qui n'a guère changé ma moyenne du trimestre en français, finalement (17/20). Peut-être dû à mes 76% de H, je suis sure que F pur aurait changé de livre. 😅 J'ai eu, quelques années plus tard, une brève pensée pour ce professeur de français. Quand, au décès de Charles Bukowski, un grand journal français lui consacra un article élogieux "la mort d'un vieux dégueulasse" dans sa double page centrale, en plus de sa première de couverture, agrémenté d'une photo de lui, assis dans un fauteuil en pleine rue avec la sublime et talentueuse actrice Faye Dunaway assise sur ses genoux. Je ne sais pas, en revanche, ce qu'il est advenu de ce professeur de français. Alors, oui, certains professeurs sont influencés par leurs opinons personnelles et ce quel que soit le domaine d'expertise.

C'est à dire

La question de Stéphane est piégée par la dialectique féministe. Ce genre de comparatif piège tout le temps les femmes dans un jeu infantile de comparaison esthétique. On parle de comparaison de richesse de vocabulaire et capacité du logiciel léxical, pas de la logoré pathologique de l'autiste ou du syndrome de la Tourette. Le fait est que l'homme et la femme prennent parti dans le jeu d'une particule pairée. La femme a de l'aisance dans la forme mais l'homme travaille la vérité, deux choses séparées comme l'onde et la particule, la précision vs la justesse. Le fait est qu'on a besoin des deux et que ces rôles sont complémentaires. Je dirais même plus, la femme a besoin de la connaissance de l'homme pour se dépasser et atteindre son statut de divinité. Une femme (comme un homme d'ailleurs) accomplie a besoin d'un homme (et de femme pour l'autre).. Il faut une femme pour inspirer et dessiner une belle église, mais un homme pour peaufiner le dessin et maintenir et grandir cette église. On a complètement perdu, non pas le sens du sacré en soi, mais la motivation et le sens de la vertu dans le travail pour le sacré.

@@sfertonoc Tant de texte pour des choses au final très banales et très clichées. C'est dans ces moments là que j'aimerais pouvoir supprimer les réponses à mes commentaires.

​@@Myure ah oui, "el famoso" contract de publication de l'étude de cas rétroactivement en exigence d'annulation + réécriture. Oui, tout cela est très "cliché" en effet....

@@polartnietzsche6693 😂😂😂

Comme on le dit souvent Le vélo ça ne s'oublie pas ;)

Stéphane a dit que la réponse d'homme était : Oui ou Non + ton niveau. Dans le cas précis du vélo : Oui, mais ça fait 10 ans que j'en ai pas fait donc il me faudrait le temps de retrouver mon équilibre/cardio etc.

Mais la femme qui ne sait vraiment pas faire de vélo va aussi dire qu'elle ne sait pas si elle sait faire du vélo ou pas! Il veut dire par là que F est plus politique et intuitive.. Ceci dit, il m'arrive à moi aussi de mieux jouer la première fois que je prend un ballon on une tige de billard et puis après, par manque de confiance intuitive, je joue mal parce que je ne comprends pas comment mon corps a su se balancer sans que je le contrôle directement. C'est une façon de dire que la femme a un orgasme plus ferme et confient dans son lachée prise que l'homme qui s'observe tout le temps et qui par là même détruit l'orgasme et désérotise la situation. C'est justement dans cette confusion désérotisante pour la femme qu'elle devrait corriger l'homme un peu plus patiemment au lieu de s'exaspérer de sa maladresse temporaire - ou pis de s'en résigner dans une relation longue qui deviendra pénible pour les deux gachant toute une vie pour quelque chose qui était rattrapable facilement au départ. L'homme recherche la vérité, la femme s'en fiche, ce qui compte pour elle est l'élégance. Donc, si on lui demande si elle sait jouer, elle dira oui on non, en fait, en fonction de sa confiance en elle plus qu'en fonction de la capacité réelle.

Hmmm, ok! merci pour vos réponses, je comprends mieux effectivement!

J'ai une autre hypothèse et je vais la vérifier maintenant. Est-ce que tu sais jouer à la poupée, même si tu n'y a plus joué depuis ton enfance ? Mon hypothèse c'est que le vélo est une activité plus simple pour un homme c'est pour ça que la réponse est évidente... Idem pour les femmes avec une poupée.

J'aurais fait la blague aussi : "Je l'ai plus ou moins, je ne suis pas sûre de savoir".

Je suis quelque peu perdu face a ces deux personnalités, je l'aime et cela me fait de la peine de ne pas savoir quoi penser de tout cela.... Dois-je réellement croire en notre projet commun ou non ?

Tu feras ta propre expérience de vie avec des réussites et des échecs comme tout le monde . Bon courage

@@teufti1418 Bonjour, je ne suis pas un homme, ni Tonton Stéphane , mais pour savoir quel est son niveau d'intérêt pour toi, poses toi juste cette question : Si tu renverses les rôles, imaginons que tu es avec lui et que tu discutes avec plusieurs autres hommes, (je suppose que dans son cas il n'a jamais vu ses femmes) mais quasiment pas avec lui, alors que lui cherche la discussion avec toi. Que pourrais-tu en déduire de ton niveau d'intérêt ? Pour ma part, si c'était le cas, je comprendrais instinctivement que le niveau d'intérêt est bien bas, cet homme là n'est pas amoureux de toi, vu qu'il cherche et étudie d'autres potentielles options féminines. Alors, pour répondre entièrement à ta question, si il est comme tu le prêtant "investi à 100 %" quand il est avec toi, c'est, pour reprendre une phrase de Stéphane, que très souvent "les hommes n'ont le choix que de celles qui ne leur plaisent pas." Hormis, bien-sûr les 0.01% de la gente masculine. Alors, je ne doute pas que tu dois avoir des qualités qu'il recherche chez une femme, je ne dis pas non plus qu'il n'a pas de sentiments pour toi, vu qu'il s'investit avec toi "quand il est avec toi". Mais au vu de ses autres démarches infructueuses, une vaut mieux une que rien. Et il n'est pas fou le bougre, il n'a pas envie de rester seul, certaines personnes sont incapables de lâcher une branche tant qu'ils n'en ont pas attrapé une autre. Maintenant deux choix se présentent à toi : Soit, tu t'en accommodes, en sachant que son niveau d'intérêt pour toi sera toujours bien plus bas que le tien et tu pries pour qu'une qui présente plus de qualité, à ses yeux que toi, ne lui propose la botte. Soit, avant de t'engager réellement avec lui (bébé), tu réfléchis à deux fois et tu attends de voir (ou pas) et tu envisages d'autres options. J'imagine que ce n'est pas la réponse que tu espérais avoir quand tu as posé cette question, car tu ne chercherais pas à savoir, si tu ne l'aimais pas. Mais soyons lucide, c'est la seule réponse qui est honnête. " Vaut mieux une cruelle vérité, qu'un doux mensonge" Surtout avant de faire un bébé, les enfants n'ont jamais retenu un homme. Ça serait juste reculer pour mieux se vautrer. Je te souhaite une bonne soirée et de prendre les meilleures décisions pour Toi.

Excuse nous Shakespeare