Bien d’accord avec Bourquignon sur de nombreux sujets. Il a manifestement plus de recul que Villani. Ce qui ne veut pas dire qu’il est meilleur que lui évidemment…
Les mathématiques sont-elles un concept préexistant, ai-je entendu ? Les mathématiques peuvent-elles répondre à la question suivante : « Faut-il remplacer la quantité du nombre, par la qualité du nombre, je parle des humains ? » Car dans un monde où chaque être humain a des besoins légitimes, dans un espace qui n'a pas le temps de se régénérer, les mathématiques ont-elles encore vraiment un avenir ? Et si oui, pour combien de temps ? Si nous considérons les mathématiques comme un langage, pouvons-nous les percevoir comme une forme d'expression, au même titre que l'anglais, le français, l'espagnol ou le mandarin ? Préexistant, dites-vous ? Devons-nous comprendre que les mathématiques existaient déjà et attendaient d'être découvertes ? Pouvons-nous dire cela ? Pouvons-nous nous entendre sur cette éventualité ? Si c'est le cas, pouvons-nous dire que, comme toute autre forme d'expression, les mathématiques n'ont pour but que de transmettre de l'information, et qu'elles sont hors champ de leur contexte originel ? Pouvons-nous concevoir que les mathématiques soient une forme d'expression comme les autres, avec la particularité d'expliquer et de comprendre le fonctionnement de toute chose ? Si oui, devons-nous comprendre que l'intention même de la nature, avant même d'avoir expérimenté à travers le champ des possibles et le temps long l'apparition de l'humain, avait l'éventuel espoir de parvenir un jour d'y concevoir une création capable de se souvenir des mathématiques pour en faire usage ? Si mon message est lu jusqu'ici, tant mieux. Et si je réussis à me faire comprendre, c'est encore mieux, car les questions à venir sont radicales. Si les problèmes suivants sont réels, et non des moyens : les problèmes climatiques, la raréfaction des matières premières, la surpopulation liée aux besoins légitimes de chaque être humain - en termes de nourriture, textile, technologie, énergie, espace, travail, loisirs, beauté dans son environnement, cohésion sociale et cohésion d'ensemble, tranquillité, santé, sécurité, mobilité, activités, eau, etc. - les mathématiques peuvent-elles répondre à cette question : faut-il remplacer la quantité du nombre par la qualité du nombre ? Les mathématiques sont-elles vraiment un langage ? Car la nature se pose la question. Les mathématiques ne sont ils pas un lnguage de l'être social, dans un monde où l'être mental est inquiet ? L' argent, seul rempart comté le suicide anomique ? merci de bien vouloir me répndre? bien cordialement et bravo pour votre témoignage.
les réactions émotionnelles de Cedric Villani fait son charisme ! ça lui donne un style propre à lui qui le démarque des autres. être asperger ça à aussi ses avantages. (il parait qu'il l'est). je suis HPI avec une note wais4 155+ nommé aussi "THPI" dans mon cas et nous ne sommes que quelques centaines en France avec ce QI équivalent. Pourtant, je pense que intelectuellement un HPI à tendance à être moins avantagé dans beaucoup de domaine comme les sciences et les maths. contrairement à ce que certain penses un HPI est surtout bon en arts en créativité, en recherche et il est bien moins mathématique qu'un asperger. De plus, un asperger aura plus de facilité à être un expert maitre dans un domaine précis notamment en Maths ! ce que le HPE, HPI (HP) lui part un peu dans tout les sens et qu'il ne se spécialise (littéralement) en rien. son domaine de prédilection propre à sa pensé peut être la philosophie... en gros le surdoué reste un con dans l'expertise pointu des choses surtout dans le cheminement rationel logique. Et dire que j'ai vue beaucoup de HP avec soit disant des QI de 125 - 145 se prennent de haut et de très haut croyant qu'ils sont des génie en performance intellectuel et bien la comparaison sur le terrain m'a montré que c'est plutôt l'intelligence qualitativement différente qui change en mieux ou en pire les performances de la production intellectuelle et non l'intelligence quantitative. Exemple au lieu de raisonner 10 fois pour trouver la réponse la qualité serait plutot de l'ordre de 2 ou 3 pour trouver la réponse. Voilà encore, je suis partis dans tous les sens et j'ai fait un hors sujet ! HPI ou THPI sont loin d'être des génies intelectuel! Enfin, ce type est génial et nous apprendra en parallèle les maths dans une façon différente d'apprendre et de voir les choses.
Je me demande si en mathématique, on ne devrait pas utiliser plus de mot qui se ressemble sans pour autant être les mêmes. Par exemple, pour parler de trois concepts différents en biologie par exemple, génétique, épigénétique, phylogénétique...
Ce sont les THEORISMES (les constructions mentales, les concepts, les idées, les brevets, etc.) qui gouvernent le monde, mais pas les mathématiques (les quantifications). Ce sont les théorismes qui changent le monde. Sans les THEORISMES tu ne peux pas vivre car tu ne peux tout simplement pas comprendre le monde qui t'entoure. Au quotidien 99,99 % des gens n'utilisent quasiment "jamais" les maths. Les math ça sert à "quantifier les choses" mais ça ne sert pas à vivre au quotidien. Les mathématiques ça ne sert qu'à quantifier les théorismes mais pas à expliquer le monde. Les animaux utilisent les théorismes à chaque seconde mais pas les maths. Guy Patel ; expansologue, coopérologue, intellectuologue.
Remarquablement intéressant. Personnellement le langage symbolique m'a toujours gêné; je l'aurais moins été S'ils s'étaient accompagnés d'une narration de la l'histoire qu'ils racontaient.... Prêtre et théologien.
Alors non, les mathématiques sont beaucoup plus puissantes que les autres sciences, parce qu'elles contiennent les autres sciences. En fait, le monde, c'est isomorphe à un sous-ensemble d'un espace vectoriel de dimension 4 ou peut être plus je sais pas, mais en tout cas c'est un minuscule objet à côté de tout ce qu'on peut imaginer en mathématiques grâce à la puissance de l'abstraction. Alors oui si on était pas là yaurait personne pour les utiliser, mais la beauté des mathématiques résulte dans leur existence même, le fait qu'elles existent et que la logique existe, c'est incroyable.
Pour moi, les mathématiques, la philosophie et les sciences de la nature forment un tout cohérent : les mathématiques sont en quelque sorte la structure d'une théorie, la philosophie en donne la vision conceptuelle, et les sciences la nature sont le remplissage soit l'ensemble des données mesurées.