résumé de l’interview sur le livre « regarde les lumières mon amour » explication du titre : durant la période de noël une mère accompagné de sa fille va lui dire sur l’escalator « regarde les lumières.. » en désignant des guirlandes accroché au plafond. elle caractérise les gens par leurs vêtements, le corps et leur couleur de peau elle indique avec perfection la réalité de ce qu’elle voit exemple : une femme voilée , une femme noir , pour qu’on est pas notre propre interprétation des personnages. Annie Ernaux décrit être une simple cliente comme les autres et non pas une personne qu’on reconnaît. Ce lieu représente un manque d’ethnicité , c’est un lieu de rencontre et d’échange et pas seulement un endroit de surconsommation. Les produits qu’on trouve dans le cadis représente notre consommation et notre position social ( riche , pauvre..) Pour elle , ce lieu est un symbole de notre société qui évolue chaque jour mais en long terme. Les caisses automatiques qu’elle évoque à la fin du livre remplace peu à peu les actions humaines, le rayon de la presse est progressivement délaissé , les gens ne peuvent plus s’asseoir et feuilletés les magasines ou prendre en photo un rayon = interdiction. Le manque de lecture n’as tout de même aucun effet sur la politique et l’abstention des votes. Différents stéréotypes qu’on retrouve : les rayons garçons fille sont séparés , les jouets comme les poupées pour les filles , la voiture pour les garçons. C’est un lieu où réside l’amour « on veux faire plaisir alors on leur achète » mais aussi de frustration « on achèteras ce jouet plus tard » il y’a une représentation des personnes riches qui ont la culpabilité de ne pas regardais le prix face aux personnes pauvres qui s’intéressent davantage au prix les moins chers , au promotion, mais on parle aussi du secours populaire « tu auras le père noël vert » au supermarché les personnes ne sont pas dans le but de regarder l’habit des gens , tandis que dans le hardiscore se regardais et y être paraît être une honte pour les personnes. conclusion = Sortir sans achat ne démontre pas une peur d’avoir pris,voler quelque chose mais plutôt le sentiment d’être coupable de n’avoir rien acheté.
Bonjour, il est fort dommage que vous écriviez si longuement pour faire un résumé truffé de fautes, il vaudrait mieux nous dire simplement de lire le bouquin, ce serait tout bénéfice pour nous ;-) - une mère accompagnéE - des guirlandes accrochéES - ne femme noirE - pour qu'on n'AIT pas - cadiS ?? - représenteNT - position socialE - remplaceNT - feuilleteR - n'aS ?? - garçons filleS - on veuT - on achèteraS ?? - de ne pas regardER - auX prix les moins chers - auX promotionS - se regardER - volé
@@vive564 L’essentiel est là, je suis étudiante et j’ai simplement partagée mon brève résumé pour mon oral du bac de français que j’avais passé , merci pour votre correction,bonne journée :)
Dans le caddie d'Annie Ernaux : le titre sonne comme une serie de téléachat suggerant que la population sophistiquée qui écoute France Culture doit cependant admirer cette littérature qui a l'audace de s'attaquer à un lieu trivial. Le sujet d'Annie n'est pas mauvais il est même bon mais il arrive tard, très tard dans l'histoire de l'art si bien que ce qui devrait surprendre est aussi devenu un poncif. Duchamps et son urinoir ne date pas d'hier ! L opposition du noble et du trivial est déjà bien balisée non ? Qu'est-ce que France Culture pourrait nous apprendre de plus original sur cet écrivain ? A-t-elle par exemple un génie pour la forme ? a-t-elle inventée une "langue étrangere" est-elle douée d'une lucidité unique dans le monde litteraire ? Se demarque-t-elle des autres Nobel de litterature qui brillent bien plus souvent par leur académisme que par leur puissance artistique etc... Je suis trés mal placé pour dire du mal d'Annie Ernaux car jamais il ne m'est venu à l'idée de la lire ( Dans sa generation j'ai plutot lu Kundera, Echenoz, Sollers… Cependant l'occasion est trop belle pour les médias et il semble évident qu'ils cherchent à alimenter l'audimat à chaque Nobel Français et à chaque fois le public semble tomber dans le panneau, débordant d'amiration, hébété, comme en état de béatitude devant l'injonction médiatique et en l occurrence sans l'avoir lu Ernaux plus que moi j'imagine ;-)
@@user-wf5ph6sc9c « Ben alors » ça c ‘est l’argument habituel presque moraliste quand on veut défendre un livre qu’un détracteur n’a pas pris la peine de lire pourtant cet argument banal entre tous ne tient pas. Tout d’abord Si j’avais lu Ernaux j’aurais peut être davantage d’éléments pour montrer que cette littérature n ‘est pas ma tasse de thé, mais,là n ‘est pas le cœur du problème : Quand on lit un livre ou quand on décide de ne pas le lire cela procéde du même principe : un ensemble de sensations plus ou moins diffuses s’accumulent dans notre imaginaire et provoque le désir ou le rejet, a priori donc, et ne vous en déplaise c ‘est ainsi que le cerveau procède au-delà de la moraline du bien et du mal d’avoir lu ou pas lu.
@@jazzhotline Mouais, sauf que si j'avais suivi votre raisonnement je n'aurais jamais lu Céline, par exemple. J'ai lu Annie Ernaux par hasard et je ne le regrette pas. Par contre Houelbeque j'ai essayé, mais vraiment, là, impossible et ainsi de suite...
@@user-wf5ph6sc9c mais c ‘est justement ce que je décris qui m’a fait lire Céline a 19 ans par exemple, c’était le voyage au bout de la nuit en l’occurrence, le titre me fascinait et Je ne savais strictement rien de l ‘écrivain. J’ai eu immédiatement l’intuition qu’il allait se passer quelque chose sur le plan artistique je veux dire et tout le monde sait que le génie de Céline est déjà dans ses titres. Les grandes créations artistiques ont une aura comme certaines personnalités par exemple , elles existent avant même qu’on les découvre… trés bizarrement Ernaux je ne connaissais même pas avant le Nobel alors que je connais probablement tous les écrivains reconnus de sa génération. Découvrir un écrivain au moment du Nobel est le signe que mon réseau d’affinités artistiques est ailleurs c ‘est une évidence.
Je trouve que le journaliste qui arrive vers trente minutes est rigolo ; il a un côté nostalgique de la vie politisé, où les gens lisaient la presse d'opinion quotidienne - donc pas une presse vide ou analytique comme la nôtre, mais plutôt une presse immédiate et ultra-politisée, et là où on distribuait des tracts, où on bavardait politique, etc... Je trouve ça mignon, j'ai l'impression que dans sa bulle journalistique politisée qui commence à être de plus en plus loin du monde, il ne comprend plus trop comment les choses se passent vraiment, depuis que la vie sociale change de lieu d'existence :)
Cette femme est totalement intéressante, avec des idées sordides, nombrilistes, pleine de mépris. Quand va t on arrêter d'aller enregistrer ses inepties ?
Surtout connue pour la liste Ernaux, pétition qui appelait en 2012 au lynchage d'un écrivain Richard Millet, derrière cette vieille femme affable, insignifiante et presque inoffensive, il y a un inquisiteur de la pire espèce, je ne lirai jamais rien de cette femme, mais en revanche, je conseille la lecture de Richard Millet, surtout "ma vie parmi les ombres", l'amour mendiant, un balcon à beyrouth, etc, c'est un auteur pétri de talent, diamantaire de la langue et courageux, donc vous aurez deviné aux antipodes de la littérature médiocre et femeline de cette dame
@@elsah1855 allez sur internet vous aurez les tenants et aboutissants de cette triste affaire, dans l'histoire de la littérature, en France, jusqu'à cette dame, cela n'était jamais arrivé, que des écrivains fassent un procès à un autre écrivain
Même si l'affaire dont vous faites allusion est discutable la notoriété d'Annie Ernaux n'est certainement pas due à ce scandal au contraire elle a plutôt été profitable à Richard Millet
