Merci pour cette incursion chez cette dame , qui a garder une excellente mémoire . Il fut un temps ou le travail primait sur le reste .Car beaucoup de gens n avaient pas de voiture , les seuls déplacement débutaient en car en train .Mes parents n ont jamais eu d autos , il m envoyait pour me dépayser en colonies de vacances , la mobylette était leurs moyens de locomotion .Mes grand père et grand mère se déplacaient toujours en charrette , le cheval servait à tout , j y suis monter dessus étant gamin c était pour moi l aventure à deux à l heure bali balan, le cheval faisant son parcours , journalier pour aller au jardin .C était le bon temps ou ont avait tout le temps , aujourd hui c est la course à l argent , à l égoïsme chacun pour soi .Merci a cette dame j ai beaucoup apprécié son franc parler
vraiment un exposé tout à fait remarquable,, très clair et pédagogique et réalisée par une agricultrice tirant les leçons d'un vécu. Digne d'un agronome, d'un économiste et d'un écologiste. Le tout avec une grande simplicité et sans prétention.
Un grand plaisir à écouter cette dame évoquer sa vie avec un français parfait.....beaucoup de details me sont revenus en mémoire. .mon meilleur souvenir et tous mes souhaits pour de nombreuses années à vivre ....
Cette femme, me fait penser à ma mère qui me racontais un peu la même chose du temps de sa jeunesse le dimanche après midi devant un the, prenez le temps d écouter les anciens qui avais une vie rude certe mais ne se plaigner jamais, une vie simple saine, et heureuse... Ma mère est partis as l age de 93 ans, a la suite d un cancer du sang, repose en paix, tu la bien mériter....
Bien sûr, quand les » Vieux » ne pouvaient plus rien faire, on les laissait assis dans un coin. Ce que j’ai vu, une personne aveugle assise toute la journée seule dans un coin du jardin……un « vieux » manger seul couvert de mouches……….au fond d’une cuisine sombre sur le coin d’une table….. Les gens n’avaient pas le temps de s’occuper d’eux. Mes grands-pères que j’ai connus ont fait 14/18, toutes ces années, je les ai vécues. Il n’y avait pas de médicaments, les gens mouraient plus tôt et plus vite. Pourtant, dans les années 50 il y avait une maison de retraite proche de chez moi dépendante d’un petit hôpital public. . Y allaient ceux qui n’avaient pas de famille ou aucun revenu. Des pauvres gens ! C’était gratuit.