J’aurai tellement voulu que après s’être retrouvé au chômage il postule dans un boite pour faire technicien de surface et que ce soit l’élève de de 20 ans qui fait trop de la peine au début qui l’engage et qui le marave en lui disant « qu’est ce qui te faire dire que ce sol est propre ! Qu’est ce que propre ! » cela aurait été une fin puissante
Salut je suis le compositeur, et ton commentaire me fait très plaisir, c'était en effet le but de notre collaboration avec le réalisateur !! sinon quel genre de film tu préfère toi ?
Cette métrage a besoin de plus d'amour, sérieusement. Il est très rare de trouver un film de qualité sur Wittgenstein (ou n'importe quel philosophe). Continuez votre bon travail !
Ça représente assez bien ma difficulté à m'exprimer plus jeune car j'étais perturbée par chacun des mots utilisés dans une phrase et de la tournure de ces phrases... j'étais plus dans la confiance de mes intuitions 😅 pour me rassurer maintenant je me dis que les mots, les symboles, sont complètement arbitraires et qu'on peut s'en détacher/les réinventer Merci pour ce court-métrage !!!
@@droledoiseau3119 Personnel, comme un personnage, comme l'âge, le temps qui passe, ou être en nage de transpiration, nager, j'aimerais être à la plage, mais pas les plage horaire de mon métro boulot dodo, plus comme un feuillage, pas comme une espèce en voie de disparition, espèce d'idiot que je suis, je m'en vais, et j'apparait, avec des coquillages, en appanage, comme sur une plage
C'est vraiment top, bien ficelé, bien filmé et agréable à regarder ! En tant que psychiatre, j'approuve ce tableau de psychose très bien dépeint, beau travail !
Malgré le thème, c'est très drôle, p. ex lorsque l'instituteur dit "Tu n'as pas d'existence objective". C'est parfait. Sinon le court métrage foisonne de références à la philo (p. ex "sur ce dont on ne peut parler il faut se taire" ( _Tractatus_ ) ou encore "La seule chose dont je suis sûr c'est de ma propre existence" ( _Seconde Méditation_ ) . Pour le côté psycho, je ne sais pas s'il y a des références à faire avec la psychanalyse, mais certainement, Brillant.
Bravo ! Le texte et le travail des couleurs sur ce court-métrage nous amène vraiment avec le personnage dans ses angoisses ! Le travail a du être très long mais le rendu est magnifique, merci pour cette jolie découverte :)
je me reconnait dans le professeur, je cherche un sens à tout, au bonheur, au positif, qu'est-ce qu'est le positif ? tout est une illusion, rien est réel, comment je peux savoir que la porte devant moi existe. j'ai quatorze ans et je perds contrôle sur tout.. je suis complètement déconnectée de la réalité
mais qui te dis que ce que toi tu appel de l'emmental, ne peut pas être du gruyère pour d'autres personnes, qui te permet de faire ce choix ? les mots n'ont pas de sens, peut être que l'emmental n'existe pas, peut être que tout est une simulation, peut être que 1+1 n'est pas égale a 2
Ludwig-enstein. Le ciel est bleu et les roses sont rouges, sauf qu'elles ne le sont pas. Ludwig est un professeur de philosophie à l'école primaire qui habite dans un vrai monde avec des couleurs incolores. Paranoïaque, sceptique et complètement zinzin aux yeux des fleurs bleues, ou peut être orange, qui conforment l'espace qu'il appelle monde. C'est ainsi qu'il rit jaune, ou peut être violet, il voit rouge, ou peut être vert, en cherchant la verité de la réalité qu'il, et seulement lui, experimente. Ce court métrage vous ouvrira l'esprit et les yeux par rapport aux expériences de la vie ; c'est quoi une expérience ? Est-ce qu'elles existent hors de ma tête ? Qui suis-je ? Sont toutes des questions révélatrices auxquelles vous allez réfléchir indubitablement. Impeccablement scénarisé, édité et joué, ce court métrage risque de réécrire votre définition de l'existence et de ce qui se considère authentique, jusqu'au point de mettre en doute si une orange est orange.
ça m'a beaucoup plu, l'écriture est super, le jeu et l'image étaient biens. L'idée de la voiture est excellente, image simple et parlante. remarques: la prise son au début (dans la scène de classe) était un peu dérangeante (le volume, mais aussi la spatialisation). les couleurs sont belles, utilisées judicieusement mais de façon un peu brusque. je pense qu'il faut faire confiance au spectateur: les couleurs sont si importantes qu'un changement subtil suffit pour changer le ton de l'image, là ça m'a un peu déconcentrée du reste. ceci dit, c'était super, bravo! :)
Perturbant mais pour quoi dire exactement. Davantage d'ironie auraient gommé l'impression de prétention. Mais, je me trompe peut-être tant les commentaires sont élogieux.
ce n'est pas du tout un biopic :) c'est très partiellement inspiré du personnage de wittgenstein ( mais également d'autres choses, comme certains moments de la vie de Bertrand Russell par exemple ).
