Ma soeur Anne, comme les moines déjeunent en écoutant une lecture, j'ai déjeuné en écoutant ton enseignement : mon déjeuner fut plus qu'excellent, il fut divin ! Sois bénie ! Ramon
Superbement clair ! Magnifique. Je viens de goûter ces paroles juste avant d'aller à la messe. Quelle joie ! Je vous emporte avec Marguerite et Luisa ❤😇🙏
Merci. Bravo pour votre travail. Oui j'ai lu le miroir, j'ai lu Luisa Peccarita.. Jésus sait combien ces âmes ont vécu de Lui en Lui dans Sa Divine Volonté pour nous tous. Merci pour cet enseignement 👍🙏
Magnifique 🤩 Quelle inspiration de la très DV en toi chère Anne 🥰 Sois abondamment bénie et si heureuse de t’avoir rencontrée à Banneux 😇🙏 parmi tous ces prêtres tous merveilleux 🤩🥰 Christ’in Nota: je viens (enfin) de comprendre ce qu’est le voile 😊
Merci pour ce magnifique exposé sur cette figure que je ne connaissais pas. Sur la base de ce que j'ai entendu, je dirais qu'il y a quand même une grande différence entre Marguerite et Luisa. Chez celle-ci c'est Jésus lui-même qui parle et expose cette Divine "doctrine". Chez Marguerite c'est apparemment une œuvre humaine. Et Marguerite tient à la publication et la diffusion de son écrit. Pas Luisa. L'humilité de cette dernière n'est pas une déclaration ou une pose, c'est une réalité existentielle, vécue, qui passe par une obéissance absolue et sans faille. Jamais elle n'aurait appelé le clergé "l'Eglise la Petite" mais s'appelle plutôt elle-même la "vilaine". Outre ce mode différent, il y a me semble-t-il, si on peut en juger sur ces extraits, une conception erronée de la volonté humaine. Chez Luisa, celle-ci ne disparaît pas. Elle devient le réceptacle de la Divine Volonté, avec laquelle elle fusionne, sans disparaître., comme dans le Christ, Homme-Dieu avec une volonté humaine et une volonté divine en parfaite harmonie. Voilà ma réaction à chaud. Merci beaucoup encore pour cette très belle vidéo.
Merci beaucoup cher Philippe ! Pour l’origine du livre, en plusieurs passages, Porète attribue l’écrit à l’Amour même, bien que l’origine ne soit pas bien-sûr, comme pour Luisa, « prescrit » de façon directe par Jésus Lui-même. Par ex., Amour dit : « O vous, enfants de Sainte Eglise, c’est pour vous que j’ai fait ce livre (…) » Ici, l’œuvre est d’origine humaine, bien que… le même Esprit guide tout chercheur de Dieu qui offre son désir d’épouser la volonté divine. C’est ce désir qui est valorisé par Porète. Pour la question de la volonté, elle suit le même chemin que les autres mystiques d’avant-la-Divine-Volonté, c’est-à-dire la mise à mort de la volonté humaine pour épouser celle de Dieu, mais elle ne peut que s'arrêter là; le sens de la Divine volonté est bien-sûr tout différent pour Luisa. Quant au prolongement de cette œuvre, c’est-à-dire ce qu’en fait son auteur, il diffère effectivement assez fort de Luisa : Porète impose son œuvre, elle garde la tête haute et se montre téméraire, elle réplique... - marque de la volonté humaine toujours à l’œuvre. En cela, leur chemin ne suit plus la même direction. Merci pour cette remarque Philippe, et sois abondamment béni!
