Découvrez le témoignage de la Toulousaine Marie Rafalovitch Vaislic, déportée à 14 ans aux camps de Ravensbrück puis de Bern-Belsen. Par L'Opinion Indépendante Cadrage /Montage : Kenza Gros-Desormeaux
Ma grand mère y était. Elle n'en parlait jamais mais ses amies ont témoigné de sa conduite. Admirable. Et elle a refusé deux fois la Légion d'honneur.... Une sacrée personnalité. Elle décide d'accompagner son amie Simone Saint Clair qui était au bout du rouleau à la chambre à gaz par solidarité et amitié. On ne meurt qu'une fois, lui dit-elle... Et après avoir été rossée à mort, elle mettait des aiguilles dans les braguettes des uniformes. On sabotait comme on pouvait, disait-elle avec un large sourire. Elle a témoigné au procès de Barbie. Mon père, non.
Combien vous avez raison de témoigner pour ne pas oublier l'indicible. C'est sûrement votre chemin de vie afin de rendre hommage à tous ceux qui sont partis et qui neux n'ont pas pu raconter..Nous vous aimons pour ce que vous faites😍😍😍
Bonsoir, je viens de vous voir à l'émission de la grande librairie. Je suis touchée par votre histoire et celle de jean votre mari. Quelle dignité, quelle force de vous voir tous les deux après ce que vous avez pu vivre. Vous êtes extraordinaires. Bien à vous
Merci, Marie, d’avoir le courage de vous replonger dans ces horribles souvenirs. Malheureusement, l’histoire se répète… alors que nous aurions dû apprendre de notre passé.
Oui l' histoire se répétera éternellement , les femmes n' arriveront jamais à changer les hommes ( même si elles passent leur vie à leurs dire qu' il faut être gentils )...Quand ça leurs prend,il n' y a pas moyen de les arrêter dans leurs malfaisances"" ..Dès l' enfance ils jouent avec des pistolets a la guerre.......