Bravo Sandrine pour votre sens de l'humour……...N'en déplaise aux pisse vinaigre qui éructent des commentaires qui ne font que révéler leur étroitesse d'esprit.
Arriver à enchaîner tout ce monologue sans pratiquement ébaucher l'ombre d'un sourire : je dis bravo, Madame, et chapeau bas. Certains s'en scandalisent, mais applaudiraient des 4 mains (je renvoie aux quadrumanes, évidemment) s'il s'agissait de Marine...
Excellent! Maintenant il faut faire un sketch sur les raisons hallucinante de cette perquisition surréaliste ! Avec le même courage et la même impertinence!
Je découvre Sandrine Sarroche Il n’y a pas d’anguille sous roche Quel humour! Quel esprit! Je n’avais pas ri autant, sapristi Depuis des lanternes et des lustres Oui, je sais, la rime est un peu rustre... Vraiment, je vous la conseille Cette femme n’a pas son pareil Pour vous mettre l’esprit en joie, N’en déplaise aux rabat-joie ! François Pelletier
Ce n''est pas nouveau, mais quel bon rappel d'une des meilleures interventions de cette formidable humoriste qui renvoie les aigreurs d'une certaine Florence FORESTI au puant politiquement abject.
Contrairement à Sandrine Rousseau qu est complexée et souffre cruellement d'être femme ..;Sandrine Sarroche est bourrée d'intelligence, de charme de talent et tellement épanouie . C'est un immense plaisir de l'écouter et de là regarder.
Avec Naulleau et Zemmour : au moins on connaît ainsi la valeur de son humour, il est actuel : tous les clichés ne reposant que sur une falsification de la réalité. La facilité habituelle de ceux qui manquent de génie, et même d'intelligence.
Il y a beaucoup d'esprit et de talent. Mais il ne faut pas oublier de remercier le nouveau procureur général de Paris, celui qui a ordonné les 17 perquisitions musclées dans les domiciles et les locaux concernés par la France Insoumise et/ou le Parti de Gauche, fonctionnaire zélé sans qui l'oeuvre de cette excellente Sandrine n'aurait vu le jour.
CHRONIQUE D’UN LINGUICIDE : la mise à mort de la langue bretonne par le pays des doigts de l'homme; (LOUIS MELENNEC). J’ai écrit des tonnes de littérature sur les langues, non en qualité de linguiste, mais d’historien. Sous l’ancien régime, la langue littéraire et administrative, dénommée « langue française », n’était parlée que par quinze pour cent de la population. Il y avait en France plus de trente langues locales, certaines authentiques langues nationales, méprisées par les cinglés de Paris sous des noms divers : jargons, patois, résidus de la féodalité, séquelles de la langue de Cro-Magnon, borborygmes animaux, etc. Une normalisation douce était en cours depuis la création de l’Académie française en 1635, par Richelieu. Mais à partir de 1789, le pays des doigts de l'homme procède à un assassinat de ces langues : un vrai carnage. L’élaboration de la langue française n’est pas un phénomène spontané, mais une construction laborieuse et autoritaire, imposée par un pouvoir central punitif et répressif, au prix d’un authentique lavage des cerveaux, et d’une lutte effrénée contre les identités locales, et de la personnalité des régions multiples du royaume de France. François Mitterrand - de triste mémoire, que Dieu lui pardonne -, fait panthéoniser l’abbé Grégoire, en 1989. Cet homme est l’auteur de l’assassinat des langues du royaume. Les jeunes Bretons veulent extraire le cadavre de l’abbé Grégoire de ce lieu auguste, comme le fut celui de Marat. Ils le dénomment aujourd’hui l’assassin des langues. Notre langue bretonne était parlée dans l'antiquité - sous une forme évidemment très différente de celle d’aujourd’hui. A partir de 1650, et de l’abbé Maunoir, elle a, génération après génération, été épurée, enrichie, modernisée - comme bien d’autres langues, d’ailleurs, par l’utilisation des mêmes procédés que les linguistes des autres pays : élimination de mots étrangers, création de néologismes, introduction de mots empruntés aux langues sœurs (le cornouaillais, le gallois, pour les Bretons …), simplification et unification de l’orthographe, suppression des différences entre la langue parlée et la langue écrite, etc.. Le premier dictionnaire tri-lingue (breton, français, latin) a été imprimé non en France, mais en Bretagne, sous le nom de Catholicon, en 1499. Les contributions de Le Gonidec, La Villemarqué, Roparz Hémon, ont été majeures. Interdite d’être parlée dans les écoles, Persécutée, humiliée, elle a été modernisée, à partir du 18ème siècle, par des gens de très haut niveau, linguistes réputés, en rapport avec les grands esprits de leur temps, est devenue une langue littéraire sous l'effet des grammairiens et des agrégés, à partir de 1900. Cette langue, qui comportait plusieurs dialectes - quatre selon les uns, cinq selon les autres, a été unifiée au vingtième siècle par des hommes de lettre éminents, des grammairiens, des agrégés de l’université, en dépit des oppositions de la France, dont le but - qui n’a pas varié depuis lors - est la destruction programmée de ce qu’elle dénomme les langues régionales. Aux dires des spécialistes de cette langue - ce que je ne suis pas, car dans mon enfance elle était interdite - , et je n’ai parlé qu’une seule langue, celle du colonisateur, les chefs d'oeuvre abondent; d’aucuns comparent Malmanche à Shakespeare - ce qui est sans doute excessif. Youenn Drézen, bigouden de Pont l’Abbé, est l’auteur de plusieurs chefs-d’oeuvre, et est l’un des auteurs, liés avec Roparz Hémon - dont il fut le professeur de breton ! -, qui a contribué à sauver la langue de la disparition totale. En revanche, s’il n’y avait eu sur terre que des communistes - comme madame Morvan -, la langue bretonne serait morte et enterrée depuis longtemps. D’authentiques débiles mentaux - dont certains de l’académie française , ont prétendu que la langue bretonne ne comporte ni vocabulaire, ni grammaire, ni poésie, ni aucun ouvrage qui mérite de retenir l’attention. Ainsi Jean Dutourd, lorsque les Bretons ont arraché aux Français l’instauration d’un CAPES de breton : « pourquoi pas, pendant qu’on y est, un CAPES de mendicité ? ». Et cet autre : « Il y avait déjà les putes bretonnes ; ne voila-t-il pas qu’ils veulent maintenant une littérature ? » En réalité, nous possédons des ouvrages nombreux et très savants de linguistique, de grammaire, de théories des langues. Ces deux phrases démontrent ce qu’est la subtilité française. La langue bretonne est plus fine que le français, elle exprime toutes les nuances de la pensée. La littérature bretonne est si vaste (des milliers d’oeuvre), qu’aucun auteur n’a pu la lire en entier. Elle a produit des ouvrages magnifiques dans tous les genres : la prose, la poésie, le théâtre, les contes, les légendes, les chansons, les ouvrages lyriques religieux surtout ... Nos poètes sont infiniment plus sensibles que les poètes français, qui souvent ne sont que des versificateurs. Malheureusement, sa faible extension limite son usage, ce qui est dommage pour tous. Ceux qui ont, comme moi, subi les persécutions qui nous ont été infligées par le pays des doigts de l’homme, ne peuvent s’empêcher de reproduire ici deux citations qui réjouiront le coeur de ces victimes de l’ignorance et de la sottise. La première est d’Henriette Walter, la grande linguiste, qui fut l’une de mes correspondantes : « le français n'est jamais qu'un patois qui a réussi ». L’un de nos plus grands linguistes, Goulven Pennoad, exclu de l’université à cause de son savoir, et surtout de ses opinions politiques, non conformes à la doxa (il n’était pas de gôche) a écrit, arguments à l’appui : « Le français est l’un des idiomes le plus minable d’Europe ; ceci ne tient pas à la richesse du breton, mais à la pauvreté intrinsèque de la langue française, et de toutes les règles qui ont brimé sa spontanéité ». La France fait semblant d'autoriser quelques classes bilingues : elle joue la montre, car nous perdons 2000 locuteurs chaque année. Son but n’a jamais varié : c’est la mise à mort de la langue bretonne.
Oui oui on sait; ceux qui ont perpétré les massacres de Charlie, du Bataclan, de Nice et j'en passe, ont votre préférence, d'autant qu'ils font partie de l'électorat de Mélenchon.
Comme par hasard on trouve sur RU-vid des émissions qui commence à dater concernant Mélenchon ils n'ont plus rien à nous passer pour le critiquer .Il est haut dans les sondages alors on essaie de déstabiliser l' opinion par des stupidités audiovisuelles