MOZART REQUIEM [Un souffle de l'au-delà]: SANCTUS et BENEDICTUS (SANCTUS, Levin compl.) 

RTVE Symphony Orchestra. Carlos Kalmar, cnd. Anett Fritsch, Clara Mouriz, Paul Nilon and Robert Holl, sols. “Stay with me tonight; you must see me die. I have long had the taste of death on my tongue, I smell death, and who will stand by my Constanze, if you do not stay?” [MOZART] 레퀴엠 D단조 (모차르트) Симфонический оркестр Испанского радио и телевидения
(Requiem K.V. 626)
“Comment croire, après une pareille audition, que l'univers n'ait aucun sens? Il faut qu'il en ait un. Que tant de sublime se résolve dans le néant, le coeur, aussi bien que l'entendement, refuse de l'admettre. Quelque chose doit exister quelque part, un brin de réalité doit être contenu dans ce monde. Ivresse du possible qui rachète la vie. Craignons le retombement et le retour du savoir amer..." [Emil CIORAN]
[Симфонический оркестр Испанского радио и телевидения]
레퀴엠 D단조 (모차르트) (K.V. 626)
Mozart Requiem (Robert D. Levin revision and completion)
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Sanctus, sanctus,
sanctus Dominus Deus sabaoth.
Pleni sunt caeli et terra gloria tua.
Hosanna in excelsis.
Benedictus qui venit
in nomine Domini.
Hosanna in excelsis.
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“People err who think my art comes easily to me. I assure you, dear friend, nobody has devoted so much time and thought to compositions as I. There is not a famous master whose music I have not industriously studied through many times.”
― Wolfgang Amadeus Mozart
“Schlafen die kleinen Scheiben des Todes, wie Ich verachte Sie" which means... sleep those tiny slices of death how i despise them”
― Wolfgang Amadeus Mozart
“Le Requiem de Mozart. Un souffle de l'au-delà y plane. Comment croire, après une pareille audition, que l'univers n'ait aucun sens? Il faut qu'il en ait un. Que tant de sublime se résolve dans le néant, le coeur, aussi bien que l'entendement, refuse de l'admettre. Quelque chose doit exister quelque part, un brin de réalité doit être contenu dans ce monde. Ivresse du possible qui rachète la vie. Craignons le retombement et le retour du savoir amer...”
― Emil Cioran, "Notebooks"