Pour ceux que ça peut aider‚ voilà les marqueurs temporels [time stamps] : 0:00 Intro 1:40 L’intégration des masses 5:53 L’empire colonial 10:27 Mussolini et la question romaine 14:31 Qu’est-ce que le fascisme ? 29:40 Outro
Excellente vidéo. Peu être la meilleure des trois. La plus difficile à comprendre des Trois car plus philosophique qu'historique. Cela n'enlève rien à sa valeur bien au contraire. On peut même faire des parallèles avec certains événements et états actuels.
En tout cas comme d'habitude, un plaisir d'en apprendre sur ces personnages historiques et sur l'Histoire en général d'une manière simple à comprendre, et surtout d'écouter quelqu'un qui, comme Martin, puisse nous faire réfléchir et méditer en profondeur sur tout ces événements, c'est clairement une grosse valeur ajoutée par rapport aux autres chaines d'Histoire qui se contentent la plupart de rapporter les faits sans plus Ayant vu toutes les vidéos de la chaine, je peux clairement affirmer que cette vidéo était la meilleure, et je dis ça bien que je sois Marocain et que mon patriotisme me pousserait plutôt à préférer la série sur Hassan 2 😅 J'ai même dû rigoler 3 fois tellement certains traits d'humour étaient drôles et bien placés
Oui, j'essaie de combiner le récit, et ensuite analyse à partir du récit. Très heureux d'avoir un public marocain qui regarde les autres vidéos ne portant pas sur le Maroc, c'est encourageant!
Je pense que c'est parcequ'on a été habitué médiatiquement à critiquer automatiquement le fascisme dès qu'on l'évoque, puisque vous l'aviez pas fait ça laisse à penser que vous le normisiez. Alors que c'est une analyse purement neutre et académique. Bravo, j'ai appris énormément de choses, j'ai toujours pensé que les fascistes étaient des extrémistes religieux alors que leur courant était plutôt axé sur l'athéisme.
Cette vidéo est remarquable! Elle donne une présentation très intéressante de l'histoire de Mussolini et du fascisme. Elle est bien documentée et bien illustrée, et elle offre une analyse profonde et détaillée de l'impact de l'idéologie fasciste sur l'Italie et le reste du monde. C'est une excellente ressource pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire et à la politique. Merci pour ce beau travail!
Une chose importante et essentielle, en effet, de rappeler l'influence (soeur ou pas soeur) de la philosophie nietzschéenne dans le fascisme. Voilà qui est répété par beaucoup de monde en boucle pour l'absoudre de toute "accusation" : Nietzsche n'était pas antisémite (ce qui le distingue du nazisme), ni stato-nationaliste (le distingue du fascisme italien). Cela excuse sans-doute, auprès de tous ses groupies (de la gauche bobo jusqu'à la droite facho), son mépris total envers la compassion en tant que telle (les fascistes aussi), mais également envers les malades, les handicapés, les esclaves, les basses castes (les fascistes aussi). En clair, son mépris envers tous ceux que Jésus et une large partie des chrétiens dans l'Histoire, cherchaient au contraire à relever, à rendre la dignité que ces personnes, taxées arbitrairement de "faibles" ou de "sous-hommes", méritent en réalité au même titre que leurs supérieurs / maîtres / citoyens riches / de pouvoir, etc.. Tous méritent dignité puisque tous sont créatures de Dieu (c'est le message de Paul de Tarse, particulièrement haït par les nazis). D'où l'hostilité viscérale de Nietzsche et des fascistes les plus sincères, tant envers la vertu chrétienne développée par Paul, qu'envers le communisme (qui était donc, selon les nazis, une forme de "christianisme matérialiste", deuxième branche "malsaine" du judaïsme). Marx et Jésus, ces "deux juifs" qui ont "perverti" le monde, parce que le judaïsme, à l'origine, a osé séparer Dieu de la nature, a osé la désacraliser, pour mieux l'étudier et la dépasser (leur vision du monde linéaire ou en spirale, où l'opprimé, donc le "faible", doit se battre ou être défendu contre son oppresseur, le "fort", remettant en cause la fameuse loi de la jungle, est un progressisme "anti-naturel", contraire à la vision circulaire et finalement "conservatrice" des fascistes et des nietzschéens favorables au retour à la loi du plus fort). On rappellera par ailleurs aux nietzschéens "de gauche" qui se cachent derrière quelques nuances (volonté de puissance = "puissance créative" donc truc sympa et bon enfant) : Nietzsche s'était proposé pour participer à la répression de la Commune de Paris, rejetait les mesures politiques favorables à l'amélioration des conditions de vie des ouvriers allemands, ne méprisait la bourgeoisie que pour son "mode de vie" pas assez "viril", et ne combattait le système capitaliste que pour retourner, et il le souhaitait ardemment, au mode de production esclavagiste antique. Son modèle était le système des castes en Inde, et affirmait regretter l'abolition de l'esclavage.
Plus j'avance dans ma compréhension de Nietzsche (je ne l'ai étudié que récemment), plus mes conclusions ont tendance à rejoindre les tiennes. Je trouve que c'est un auteur doué d'un sens de l'observation plutôt exceptionnel. L'un de ses livres m'a frappé par sa clarté et son style. Mais en même temps, il met toute son énergie à nous faire accepter, voire cultiver, le mal qui est dans chacun de nous. Je ne comprends pas comment ses émules, quel que soit leur bord, comme tu dis, peuvent rendre acceptable, aimable, presque fade une oeuvre dont la véritable teneur, bien comprise, reste la plus glaçante que le XIXe siècle ait donné à la philosophie.
C'est rassurant de voir certaines personnes prendre du recul et faire preuve de critiques sur cette philosophie, disons-le, cruelle, mais hautement séductrice (surtout chez les adolescents). J'ajoute qu'à mon sens, il est d'autant plus facile aujourd'hui de séparer Nietzsche des fascismes (pour l'assimiler au final à des courants pour lesquels il n'éprouvait que du mépris, tel le christianisme, ou le socialisme, comme sur youtube pour citer quelque chose d'accessible et populaire : les Rochedy et cie pour le premier, chez Dany et Raz pour le second...), dans la mesure où nous avons perdu de vue la définition réelle du fascisme. Tragiquement, le fascisme est souvent circonscrit à une obscure apologie de la violence, à l'autoritarisme (ou pseudo-« totalitarisme »), et au nationalisme. Une définition très BCBG, qu'on retrouve sur les plateaux télé et au brevet des collèges. Mais qui est réductrice et sans intérêt. Je m'explique : 1, la violence « du faible au fort » est contraire à la pensée fasciste (une révolte d'esclaves par exemple). 2, les nationalismes de libération anti-coloniale ne peuvent décemment pas être qualifiés de « fascistes ». 3, l'autoritarisme est l'apanage d'un nombre incalculable de régimes, y compris à gauche, qui ne sont pas pour autant « fascistes ». Le fascisme ce n'est donc pas « que » la violence autoritaire et nationaliste (dans tel cas il se retrouverait presque en tous temps et en tout lieu). C'est d'abord et avant-tout un essentialisme philosophique, où l'humain n'est pas déterminé par ses conditions sociales (marxisme), ni par ses choix individuels (libéralisme), mais par la nature, par sa naissance, sa génétique ou ses origines ethno-culturelles. Le fascisme défend l'idée qu'il existe une hiérarchie naturelle entre les êtres humains, triant les surhommes et les sous-hommes. Une hiérarchie immuable, imposée par la nature, qui doit être respectée. Aucune révolution sociale ou politique n'est possible ni souhaitable, puisqu'elle ne peut être que « moralisatrice » ou « parousique », là où le temps est circulaire (« l'éternel retour ») et où la vie doit être acceptée telle qu'elle est. La seule révolution qui tienne, pour les fascistes, est l'astronomique, c'est-à-dire le retour au point de départ, telle la saisonnalité terrestre. En clair, l'homme se doit d'être soumis à un ordre naturel, ordre foncièrement « injuste » mais malgré tout souhaitable dans lequel le lion mange la gazelle. Il faut donc qu'il en soit de même chez les humains : le « fort » doit avoir le droit d'asservir, tandis que le « faible » doit rester à sa place d'esclave ou bien... mourir. Pour les nazis (idéologie bien plus aboutie que celle du très opportuniste Mussolini), ce tri dépend de facteurs raciaux clairement établis par leurs idéologues. Pour les fascistes italiens, ce tri dépend de facteurs plus variés selon les cas, ethno-culturels, parfois familiaux, voire individuels. Mais dans l'un comme dans l'autre, l'Humanité n'existe pas en tant que telle (rejet de tout universalisme) : n'existe que des animaux qui s'affrontent pour la suprématie de territoires (espaces vitaux, visions impériales...). La vitalité remplace la vertu comme motivation dans la vie de chacun, et donc le combat, la violence, et l'affirmation de sa supériorité innée, biologique ou ethno-culturelle, sur autrui. On notera ici que Nietzsche a été récupéré pour servir un État ou une collectivité, là où le philosophe s'en tenait aux seuls individus. Cela dit, cette violence ne se suffit pas à elle-même : elle ne peut être exercée que par le fort, pour assurer sa suprématie. Elle doit demeurer la manifestation de la supériorité du fort sur le faible. Le faible n'a pas le droit d'y avoir recourt : il doit rester à sa place et accepter sa condition servile. Accepter le monde, accepter la vie telle qu'elle est. Ainsi, la violence du faible contre le fort est assimilée à du ressentiment, à de la jalousie, de l'ingratitude. Bref, du Nietzsche tout craché. Les marxistes prônaient clairement cette violence là d'ailleurs : celle qui « élève les humbles » et « renverse les puissants » (on retrouve curieusement ces expressions dans les évangiles avec le discours de Jésus ou même les textes catholiques sur la Vierge Marie ; à ceci près que la violence dans cette religion n'est théoriquement pas encouragée). Pas étonnant à ce qu'avant le XIXe siècle, beaucoup des grandes révoltes populaires, paysannes ou serviles, admirées par Marx et Engels, furent motivées par des raisons religieuses, chrétiennes surtout (mais aussi musulmanes comme avec les mawali du Khorasan lors de la révolution abbasside, les Zanj d'Irak au IXe siècle, etc...). Quand des catholiques « anti-wokistes » (on se demande parfois lequel est le plus insupportable entre le wokiste et l'anti-wokiste...), crachent sur Saint Paul, parce que je les cite « il avait une maladie de peau qui le rendait laid » (Rochedy), renient l'engagement des premiers chrétiens parce qu'ils se « salissaient avec les lépreux et les esclaves »... ils ne commettent pas seulement l'erreur de trahir les sermons de Jésus (béatitudes en particulier) et d'inverser totalement les principes de tous les saints de l'Eglise catholique, ils vont jusqu'à confondre, comme Nietzsche avant eux, la puissance et l'arrogance. Au final, chose comique, et puisque les fascismes ont pas mal dénaturé, « étatisé » / « collectivisé » (certains disent « hegelianisé ») les idées de Nietzsche, les nietschéens plus fidèles à sa pensée, individualistes, devraient pouvoir trouver leur bonheur du côté de « l'Eglise de Satan » en Californie, ou des autres petites chapelles satanistes légales aux Etats-Unis, engagés notamment contre la « morale chrétienne » et en faveur du retour à une sorte de loi de la jungle « encadrée et civilisée », où les handicapés et les sous-hommes en tout genre (fainéants, origines misérables, femmes « laides », etc...) seraient méprisés, rabaissés, écrasés ou humiliés « en douceur », « naturellement », dans une société pourtant spirituelle et conservatrice, valorisant toujours les plus "forts" (Anton Lavey pour ne citer que lui, ayant cherché à unir Nietzsche et Ayn Rand dans sa « Bible satanique »). En ce qui concerne plus spécifiquement le nazisme, je conseille les conférences de Johann Chapoutot. Elles révèlent de fait, les racines philosophiques nietzschéennes de cette idéologie (Hitler comme Nietzsche au passage, faisaient porter la responsabilité de la dégénérescence de l'Europe sur le dos à la fois de l'universalisme chrétien de Saint Paul, du marxisme et de la phase jacobine ou rousseauiste de la Révolution française, celle de 1793-94 ; les trois étant favorables sur papier, à une certaine forme d'égalité entre tous les humains). Même si je peux avoir de sérieuses divergences avec tes vidéos depuis l'ouverture de ta chaîne (en particulier à propos de l'histoire de l'Algérie contemporaine), il n'en demeure pas moins que je trouve tes vidéos hautement qualitatives et instructives, c'est un régal à chaque fois.
Très solide analyse historique de l'Italie fasciste. Très intéressante analyse théorique et philosophique du fascisme. En géneral, une excellente production, extrêmement bien illustrée (j'ai beaucoup apprécié les références graphiques à cet art de l'époque, curieusement proche du soviétique). Enfin, Martin, tu es très éloquent et passionnant. Merci beaucoup et un grand bonjour du Chili.
Un grand bravo pour cette excellente analyse, tout parallèle avec certaines choses se passant aujourd’hui est fortuit et involontaire… merci de nous apporter rigueur et pédagogie. À bientôt pour la suite.
Toujours au top. Par contre sur Nietzsche, pour l'avoir pas mal étudié, c'est pas sûr que ce dernier aurait vu d'un bon oeil sa récupération par les fascistes (et les nazis via sa sœur Elisabeth qui a carrément falsifié des pans entiers de son œuvre...). Par exemple, dans le concept de "volonté de puissance", Nietzsche oppose une volonté de puissance créative (celle des forts) à la volonté de puissance des faibles, animée par la haine, le ressentiment, qui est la volonté de puissance des esclaves par exemple. Au vu de l'exposé idéologique des fascistes que tu nous as dépeint, on peut donc imaginer ce que Nietzsche aurait pensé d'eux... De la même manière que Nietzsche n'a jamais eu de mots assez durs pour qualifier les antisémites et les nationalistes de tout poil...
Bonjour, Je pense également que Nietzsche aurait été dérangé par le fascisme, car il réserve l'idéal du surhomme aux individus et certainement pas aux Etats. Et il n'est pas du tout antisémite, comme tu le rappelles bien. Il faut dire qu'il est trop intelligent et perçant pour succomber à quelque chose d'aussi "troupeau" que l'antisémitisme. Mais pour autant, je trouve que la filiation du fascisme avec Nietzsche avait quelque chose de prévisible et il a délibérément fermé les yeux sur les désinhibitions que pouvaient entraîner la lecture de ses livres.
Très bonne vidéo comme d'habitude et essayer de disséquer une pensée comme le fascisme n'était pas chose évidente et tu as réussi à le faire même si je pense que tu as oublié de dire que le fascisme a un autre aspect ; il est opportuniste. C'est Mussolini qui le disait lui-même dans un article publié en 1922. Sinon petite idée de vidéo même si c'est pas sur un chef à proprement parler ; une vidéo sur Nestor Makhno pour montrer que le Communisme ce n'est pas que le totalitarisme Stalinien.
Makhno, l'anarchiste libertaire ukrainien. Excellente suggestion! Ce mouvement est étrange et pour le moment, il est entouré d'un certain mystère qu'il serait intéressant de lever!
L'Anarchisme n'a rien à voir avec le communisme, bien que se situant à l'extrême gauche. Pendant la guerre civile espagnole certaines régions vivaient en Anarchie, celle de Barcelone en particulier et sauf erreur de ma part, seule expérience d'un régime anarchique dans le monde. Expérience fort peu concluante au demeurant, chacun faisant ce qu'il voulait, après une brève euphorie, l'économie s'est écroulée. D'où vient peut être l'expression " c'est l'anarchie !" Une émission ARTE sur le sujet parle d'une réussite, ce qui est faux. La perestroïka et la glasnost de Gorbatchev avaient un air de ressemblance avec l'anarchisme, aboutissant ... à l'anarchie et à l'échec de la réforme du régime soviétique.
Une narration toujours aussi hypnotique ! Maintenant que ta série sur Mussolini est terminée, tu as des idées d'autres personnages ? Par exemple continuer sur les dictateurs européens comme Franco ou alors revenir dans les régimes arabes avec le roi Hussein de Jordanie, qui fit de son pays un îlot de stabilité ! A moins que tu préfères jeter ton regard sur l'Asie (Mao, Pol Pot, Tchang Kai-Tchek,...) ?
Ce que je peux dire, c'est que le candidat pour la prochaine série a déjà été choisi ;-) Je note que tu as cité Tchang Kai Tchek, c'est la première fois qu'un internaute le propose, je crois, et il aurait très certainement mérité qu'on le cite bien plus tôt.
Excellente analyse du fascisme, l'explication est parfaite. Certains sites, journaux ou vidéos considèrent le fascisme comme du totalitarisme, ce qui est faux. De plus totalitarisme est synonyme d'extermination. Vous montrez bien que Salazar et Franco n'ont rien à voir avec Mussolini. Votre vidéo sur Salazar est très intéressante et m'a permis de découvrir votre chaîne. Vos vidéos valent bien mieux que quelques dizaines de milliers de vues. A force, petit à petit le succès devrait arriver, laisser du temps au temps, vous sujets sont accrocheurs. Pas encore vu celle sur Franco. Reste pour vous à en faire une sur Hitler, peut être la plus compliquée !
Ce qu'on pourrait lui reconnaître également c'est d'avoir sérieusement affaibli la mafia à l'issue d'une campagne impitoyable, alors qu'elle renaîtra après 1945. Excellents épisodes en tout cas!
Décevant par rapport aux épisodes 1 et 2 . Exercice délicat que cet épisode 3. Une mise en perspective des différents systèmes d'interprétation du fascisme eu été souhaitable ..et moins périlleux.
Cet épisode fait ressentir comme un immense gâchis que la question romaine. Le Saint-Siège, tournant le dos à la maison de Savoie pour de raisons compréhensibles, priva la jeune Italie des trois facteurs d'intégration qui transforment les masses en nation : une spiritualité morale, une fierté culturelle et une prospérité collective. Mais là où les libéraux échouèrent et où les fascistes trompèrent, d'autres réussirent à refonder un pays résolument moderne et audacieux. Seul souverain (non temporel !) désormais de l'Italie d'après-guerre, le pape Pie XII encouragea la démocratie chrétienne qui rebâtit un pays autour d'un consensus national réellement pacifique et ouvert au vaste monde. Le Souverain Pontife limita l'influence du parti communiste et l'action catholique fit jouer patrons et ouvriers dans la même équipe de calcio. L'art de vivre à l'italienne rayonna dans le monde entier à travers une offre culturelle de grande qualité et un confort de vie inouï. Bref, le Risorgimento ne s'acheva réellement qu'en 1946 par l'éviction des piémontais qui l'avait initié !
Hello Martin, C'est passionnant et instructif ! Merci pour cette vidéo J'espère qu'on aura un jour un épisode sur le Front Populaire Qu'on en découvre plus sur cet épisode que ce que veut bien nous en dire une certaine histoire Et c'est quoi la musique utilisée ? Elle est pas mal du tout!
Merci à toi ! Dans mon "annonce" à l'époque j'expliquais que l'Allemagne Nazie et la Turquie serait sur la chaîne privée, mais ce n'est pas sûr du tout (car le temps a passé..). Aujourd'hui sur ma chaîne privée se trouvent : Franco, l'Iran, les débris de l'Autriche Hongrie (on y parle des alliés des Nazis), le Congo, De Marx à Lénine. On y accède soit par mon site letoffedunchef.fr, soit en cliquant sur Rejoindre
20:32 En écoutant ce passage, je pense au marquis de Sade qui accusait les Chrétiens de favoriser, par leur charité, des vices tels que la faiblesse, la paresse ou la lâcheté.
Bonjour, je suis pratiquement sûr que je la tiens de la biographie de Le Moal sur Victor-Emmanuel III. Je l'ai remis dans une bibliothèque proche de chez moi. Si j'ai le temps, j'y jetterai un coup d'oeil lundi pour voir s'il y a une référence à une source primaire.
@@LEtoffedunChef je pense avoir trouvé, c’est Le discours d'Obersalzberg, du 22 août 1939, juste avant l’invasion de la Pologne découlant du pacte Germano-Soviétique. Je me disais bien que c’était étrange que Hitler cite Staline comme un grand homme dans le contexte de la guerre mondiale, mais là, ça a un sens.
@@adonis7626 Bonjour, n'hésite pas à me dire comment as-tu trouvé la source originale. Le Moal la cite à partir d'une source secondaire italienne : Massimo Leonardis, "Germania nazista e monarchia italiana. La cattura della principessa Mafalda di Savoia", nuova storia contemporanea, 4/2010, p. 47. J'imagine que Leonardis doit en donner la source primaire, mais je n'ai pas ce périodique sous les yeux.
j'ai apprécié cette vidéo mais je la trouve moins juste que les deux premières Pour ce qui est de l'interprétation de la jalousie de Mussolini vis-à-vis de Hitler, cette même jalousie qui l'aurait poussé à entrer en guerre, on pourrait objecter un argument tout autant bancal à savoir que Mussolini était un homme de parole qui a dit un jour "lorsque le fascisme a un ami, il suit cet ami jusqu’au bout". A mon avis, dans un premier temps, conscient du manque de préparation de son armée, et sur les conseils de son gendre Ciano, le Duce a bien décidé de ne pas suivre l'allié allemand dans la guerre. Ce n'est qu'en constatant l'écroulement du front et la déroute française que Mussolini décide de déclarer la guerre afin, espère-t-il, de s'assoir à la table des vainqueurs.
28:12 de plus user la pensée nietzschéenne pour une politique quelconque est assez drôle et étrange. Nietzsche n’a jamais fait de politique et n’a jamais fait de philosophie publique mais toujours de la philosophie individuelle. Il aura aussi amplement conspué le fascisme qui se pare de force et de courage pour cacher son ressentiment et sa jalousie outrancière
00:50 Je ne sais pas quelle est votre définition de la propagande. Vous le presentez comme si c'etait en soit quelque chose de.negatif... alors que c'est juste l'ancien nom de la communication. Et à forcela propagande est devenje, comme la communication est en train de le.devenir, un gros mot. Mais dans le contexte des années 20 ou 30, ca veut juste dire "communication" comme dans les années 80-90.
Le travail est sympa mais l'analyse est bien plus politique qu'historique, ce qui est un peu incompréhensible. Une politisation de la chaine ou alors une tentative ratée ? Et la conclusion est un peu bizarre dans ses conclusions...
Bonjour, n'hésite pas à être plus précis (par exemple quelle phrase selon toi révèle une politisation et quel type de politisation) et je te répondrai avec plaisir.
