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Mussorgsky - Khovanshchina Opera + Presentation (Haugland - Century’s recording : Claudio Abbado) 

Classical Music/ /Reference Recording
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Modest Mussorgsky (1839-1881) - Khovanshchina : A Musical Drama of the National History
Click to activate the English subtitles for the presentation (00:00-08:44)
Prelude (00:00)
Act 1
Podojdu, Podojdu.. Pod Ivangorod (05:34)
Ej! Ej ty, stročilo! (08:34)
Aj! Prjamaja pogibel’ ,.. (12:21)
A my zivem none v pochoronkach
Čto b eto Moskve takoe priključilos’? (16:52)
Ljudi pravoslavnye, ljudi rossijskie (25:46)
Pustite, pustite! Otdajsja mne! (30:04)
Tak, tak, knjaze! (33:02)
Slava lebedju..Čto takoe? (36:40)
Marfa, svedi-ko ljuterku domoj (38:50)
Strel’cy! Zivo! V Kreml’!
Act 2
Svet moj, bratec Vasen’ ka (46:02)
Kto tam?
Postav’! (51:46)
Vot v čem resen’e sud’by moej
A my bez dokladu, knjaz’, vot kak! (58:29)
Ne tebe sudit’ moi postupki!
Pobedichom, pobedichom, postramichom (1:07:15)
Knjaze, knjaze! (1:09:19)
Knjaz’ja! (1:10:25)
Act 3
Posramichom, prerekochom (1:12:19)
Ischodila mladesen’ka (1:15:14)
Počto Mjatesisja?..Beliala i besov Ugodnica (1:23:59)
Spit Streleckoe Gnezdo (1:30:08)
Podnimajsja, molodcy! (1:36:11)
Vali valom!
Och, okajannye propojcy (1:38:32)
Oj, da achti z
Och, mne nevmogotu, och, vot (1:40:04)
Beda, beda.. ach, zlejsaja! (1:42:36)
Zdorovo, Dekti (1:49:04)
Act 4
Vozle rečki na luzočke (1:53:16)
Ty Začem?
Dances of the Persian slave girls (1:58:39)
Ty Zacem?..Plyvet, plyvet lebeduska (2:05:11)
Gljan’-ko! Vezut, vezut kak est’! (2:09:19)
Sversilosja resenie sud’by (2:13:10)
Cto z, proznala tyn golubka
A, ty zdes’ zlodejka! (2:17:23)
Vidno, ty ne cujal, knjaze
Ja ne vertu tebe
Gospodi, boze moj!.. Preobrazhensky March (2:20:48)
Act 5
Zdes’, na etom meste sviate (2:25:43
Oblekajtesja v rizy svetlye
Gde ty, moja voljuska? (2:37:09)
Ja ne ostavlju tebja
Gospod’ Spaset Mja.. (2:45:04)
I Gospod’Moj, Spaset Mja
Prince Ivan Khovansky : Aage Haugland
Prince Andrei Khovansky : Vladimir Atlantov
Prince Vasili Golitsyn : Vladimir Popov
Shaklovity : Anatolij Kotscherga
Dosifei : Paata Burchuladze
Marfa : Marjana Lipovsek
Susanna : Brigitte Pochier-Klebel
Scribe : Heinz Zednik
Emma : Joanna Borowska
Kuzka : Wilfried Gahmlich
First Strelyets : Peter Köves
Second Strelyets : Goran Simic
Varsonofiev : Peter Köves
A confidant of golitsyn & Streshnev : Bojidar Nikolov
Konzertvereinigung Wiener Staatsopernchor
Slovak Philharmonic Choir, Bratislava
Winer Sängerknaben
Chorus Master : Helmuth Froschauer & Karl Kamper
Bühnenorchester der Österreichischen Bundestheater
Direction : Ralf Hossfeld / Assistant : Ion Marin
Orchester der Wiener Staatsoper
Claudio ABBADO
Live recording in 1989
Find CMRR's recordings on Spotify: spoti.fi/3016eVr
COMMENTAIRE COMPLET : VOIR PREMIER COMMENTAIRE ÉPINGLÉ.
Le monde de Moussorgski est à la fois un monde de grandeur et d’universalité, ses opéras sont profondément russes. Sa musique, où se fondent la prégnance mélodique et la profondeur du texte, ne se contente pas d’apparaître comme l’expression du peuple russe, elle est une expression universelle.
Epopée tragique et bouleversante aventure humaine, Khovanshchina est une œuvre liée au destin : destin de Moussorgski lui-même dont la mort interrompit l'achèvement de l'œuvre, destin du peuple russe dans son combat pour la liberté, destin de quelques personnages qui en incarnent les expressions contradictoires.
Monologues véhéments, prophéties incohérentes, duos passionnés, chœurs impressionnants qui puisent aux sources du chant liturgique orthodoxe : refusant toute théâtralité conventionnelle, Moussorgski a composé avec la Khovanshchina une fresque brutale, animée d'un souffle lyrique exceptionnel.
On comprend qu'il y faut une conjonction de forces rarement réunies : c'est le cas pourtant avec cet enregistrement d'une hallucinante vérité théâtrale (réalisé pendant une série de représentations magnifiques à l'Opéra de Vienne), qui bénéficie d'abord du formidable engagement orchestral poussé - comme on pousse les feux d'une forge - par Claudio Abbado.
La vaste fresque tragique, dynamisée par Abbado, prend avec ces voix une dimension incandescente, une urgence dramatique qui empêche de reprendre souffle jusqu'à ce Finale poignant, ce suicide collectif par le feu, cette atroce purification, où la musique après l'ultime chant de Marfa, tendre remémoration amoureuse en même temps qu'extase devenue folle (« Je brûlerai près de toi, toujours aimante », chante-t-elle avant d'entraîner celui qu'elle aimait sur le bûcher !), devient une sorte de marche funèbre à la pulsation obsédante. Une œuvre grandiose, étreignante - à découvrir absolument, ou à redécouvrir dans cet enregistrement bouleversant.
Modest Mussorgsky PLAYLIST (reference recordings) : • Modest Petrowitsch Mus...

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27 июн 2024

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@classicalmusicreference
@classicalmusicreference 4 года назад
Modest Mussorgsky (1839-1881) - Khovanshchina : A Musical Drama of the National History. *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-08:44) Prelude (00:00) Act 1 Podojdu, Podojdu.. Pod Ivangorod (05:34) Ej! Ej ty, stročilo! (08:34) Aj! Prjamaja pogibel’ ,.. (12:21) A my zivem none v pochoronkach Čto b eto Moskve takoe priključilos’? (16:52) Ljudi pravoslavnye, ljudi rossijskie (25:46) Pustite, pustite! Otdajsja mne! (30:04) Tak, tak, knjaze! (33:02) Slava lebedju..Čto takoe? (36:40) Marfa, svedi-ko ljuterku domoj (38:50) Strel’cy! Zivo! V Kreml’! Act 2 Svet moj, bratec Vasen’ ka (46:02) Kto tam? Postav’! (51:46) Vot v čem resen’e sud’by moej A my bez dokladu, knjaz’, vot kak! (58:29) Ne tebe sudit’ moi postupki! Pobedichom, pobedichom, postramichom (1:07:15) Knjaze, knjaze! (1:09:19) Knjaz’ja! (1:10:25) Act 3 Posramichom, prerekochom (1:12:19) Ischodila mladesen’ka (1:15:14) Počto Mjatesisja?..Beliala i besov Ugodnica (1:23:59) Spit Streleckoe Gnezdo (1:30:08) Podnimajsja, molodcy! (1:36:11) Vali valom! Och, okajannye propojcy (1:38:32) Oj, da achti z Och, mne nevmogotu, och, vot (1:40:04) Beda, beda.. ach, zlejsaja! (1:42:36) Zdorovo, Dekti (1:49:04) Act 4 Vozle rečki na luzočke (1:53:16) Ty Začem? Dances of the Persian slave girls (1:58:39) Ty Zacem?..Plyvet, plyvet lebeduska (2:05:11) Gljan’-ko! Vezut, vezut kak est’! (2:09:19) Sversilosja resenie sud’by (2:13:10) Cto z, proznala tyn golubka A, ty zdes’ zlodejka! (2:17:23) Vidno, ty ne cujal, knjaze Ja ne vertu tebe Gospodi, boze moj!.. Preobrazhensky March (2:20:48) Act 5 Zdes’, na etom meste sviate (2:25:43 Oblekajtesja v rizy svetlye Gde ty, moja voljuska? (2:37:09) Ja ne ostavlju tebja Gospod’ Spaset Mja.. (2:45:04) I Gospod’Moj, Spaset Mja Prince Ivan Khovansky : Aage Haugland Prince Andrei Khovansky : Vladimir Atlantov Prince Vasili Golitsyn : Vladimir Popov Shaklovity : Anatolij Kotscherga Dosifei : Paata Burchuladze Marfa : Marjana Lipovsek Susanna : Brigitte Pochier-Klebel Scribe : Heinz Zednik Emma : Joanna Borowska Kuzka : Wilfried Gahmlich First Strelyets : Peter Köves Second Strelyets : Goran Simic Varsonofiev : Peter Köves A confidant of golitsyn & Streshnev : Bojidar Nikolov Konzertvereinigung Wiener Staatsopernchor Slovak Philharmonic Choir, Bratislava Winer Sängerknaben Chorus Master : Helmuth Froschauer & Karl Kamper Bühnenorchester der Österreichischen Bundestheater Direction : Ralf Hossfeld / Assistant : Ion Marin Orchester der Wiener Staatsoper Claudio ABBADO Live recording in 1989 Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr Le monde de Moussorgski est à la fois un monde de grandeur et d’universalité, ses opéras sont profondément russes. Sa musique, où se fondent la prégnance mélodique et la profondeur du texte, ne se contente pas d’apparaître comme l’expression du peuple russe, elle est une expression universelle. Epopée tragique et bouleversante aventure humaine, Khovanshchina est une œuvre liée au destin : destin de Moussorgski lui-même dont la mort interrompit l'achèvement de l'œuvre, destin du peuple russe dans son combat pour la liberté, destin de quelques personnages qui en incarnent les expressions contradictoires. Monologues véhéments, prophéties incohérentes, duos passionnés, chœurs impressionnants qui puisent aux sources du chant liturgique orthodoxe : refusant toute théâtralité conventionnelle, Moussorgski a composé avec la Khovanshchina une fresque brutale, animée d'un souffle lyrique exceptionnel. On comprend qu'il y faut une conjonction de forces rarement réunies : c'est le cas pourtant avec cet enregistrement d'une hallucinante vérité théâtrale (réalisé pendant une série de représentations magnifiques à l'Opéra de Vienne), qui bénéficie d'abord du formidable engagement orchestral poussé - comme on pousse les feux d'une forge - par Claudio Abbado. Tous les climats de cette oeuvre multiple, de sa violence déchaînée à sa sensualité troublante en passant par sa ferveur mystique, passent, se croisent, se complètent, déroulent une vision de l'œuvre d'une force constante. Les chœurs, essentiels dans un opéra dont ils sont l'âme et comme le battement, sont déployés tels des drapeaux. Et la distribution réunie par Claudio Abbado est sans doute la plus belle possible de l’époque, avec la Marfa émouvante de timbre, de ligne, de sensibilité écorchée de Marjana Lipovsek, avec Vladimir Atlantov, à la voix d'un métal éclatant, avec un des plus impressionnants Prince Khovanski de la discographie, Aage Haugland, avec le dessin lourd et angoissant du Dossifeï de Paata Burchuladze, sorte de Khomeini vieux russe. La vaste fresque tragique, dynamisée par Abbado, prend avec ces voix une dimension incandescente, une urgence dramatique qui empêche de reprendre souffle jusqu'à ce Finale poignant, ce suicide collectif par le feu, cette atroce purification, où la musique après l'ultime chant de Marfa, tendre remémoration amoureuse en même temps qu'extase devenue folle (« Je brûlerai près de toi, toujours aimante », chante-t-elle avant d'entraîner celui qu'elle aimait sur le bûcher !), devient une sorte de marche funèbre à la pulsation obsédante. Une œuvre grandiose, étreignante - à découvrir absolument, ou à redécouvrir dans cet enregistrement bouleversant. En 1872, sans attendre de savoir quel sort connaîtrait Boris Godounov (la seconde version avait été minutieusement examinée par une commission théâtrale et littéraire), Moussorgski se lança dans La Khovanshchina. «Mettre le passé au présent - voilà ma tâche» écrivit-il à son ami, le critique Vladimir Stassov. A cette fin, il se plongea dans l'étude des conflits et des troubles qui agitèrent l'histoire russe du XVIle siècle, en particulier ceux impliquant les Vieux-Croyants. Bientôt, la trame initiale suggérée par Stassov - le combat entre l'ancienne et la nouvelle Russie - s' avéra trop vague. Pierre le Grand et la Tsarine Sophie devaient-ils être les protagonistes? Devaient-ils constituer la cause principale du conflit et servir de support au développement de l' action? Moussorgski hésita entre les divers scénarios, puis, selon Rimski-Korsakov, «comprit que l'opéra devenait bien trop long, et commença à le réduire avec une certaine hâte, ôtant non seulement le superflu, mais aussi les passages inachevés». Après la mort de Moussorgski, Rimski rassembla les fragments dispersés de l'opéra, et orchestra l'ouvrage pour le publier en 1883. *SUITE DU COMMENTAIRE : VOIR Ci-DESSOUS.*
@classicalmusicreference
@classicalmusicreference 4 года назад
*SUITE DU COMMENTAIRE CI-DESSUS.* La Khovanshchina, nom donné à la révolte des Princes Khovanski, devait constituer après Boris Godounov (1874), le deuxième volet d’une trilogie d’opéras historiques dont le dernier ne fut jamais composé. L’entreprise était comparable à celles de Verdi et Wagner à une époque où l’opéra, art synthétique et populaire, avait aussi pour ambition de fonder l’identité nationale. La Khovanshchina est une grande fresque épique pleine de fureur et de passions dans laquelle se joue le destin d’un peuple déchiré entre slavophiles et admirateurs de l’Occident, combat dont les lointains échos retentissaient encore dans le monde musical du XIXème siècle ! Le livret fut écrit par Moussorgski d’après un ensemble de documents historiques relatifs aux événements qui ont jalonné la transformation de la vieille Russie par le redoutable modernisateur que fut Pierre le Grand. Avec un sens dramatique très sûr et sans véritable souci d’exactitude historique, le compositeur condense sept années d’agitation et de trahison (1682-1689) en une progressive et inéluctable marche au supplice de tous les protagonistes voués à l’élimination en vertu de l’implacable nécessité qui préside aux grands bouleversements de l’histoire. Trois personnages exceptionnels, Marfa, Dossiféï et Khovanski, unis par leur commun attachement à la cause de la vieille Russie, sont les protagonistes d’affrontements politiques et religieux qui sont les derniers soubresauts d’un univers sur le point de disparaître au profit de l’énergique reprise en main opérée par Pierre le Grand. Cette œuvre impressionnante que Moussorgski appelait « drame populaire musical » voit se succéder à un rythme haletant les confrontations spectaculaires, les complots, les envolées mystiques portées par la puissance du chant liturgique orthodoxe, jusqu’à la terrible fin du suicide collectif par le feu purificateur. En 1897, l'Opéra privé de Moscou - qui comptait Chaliapine parmi les membres de sa troupe - décida de monter La Khovanshchina. Le décorateur, Appolinari Vasnetsov, proposa une «visite» de la communauté des Vieux-Croyants établie près de Moscou et demeurée en grande partie comme autrefois. «Nous nous rendîmes au temple, relate le ténor Vassili Chkafer, à côté duquel se trouvait un petit cimetière. A la porte de celui-ci se tenait un vieux gardien, un personnage haut en couleur, une icône vivante. D'une voix chevrotante, il commença à parler du Vieux Dogme. Dans ses propos résonnait la vérité qu'il défendait si âprement, et en laquelle il croyait fermement. Notre esprit et notre cœur en furent profondément frappés. Parmi ces silhouettes et ces visages, certains devaient nous servir de modèles. Bien entendu, ce n'était pas la Russie authentique d'avant Pierre le Grand, mais nous n'avions besoin que de traces, d'empreintes et de signes laissés par un art de vivre, et notre quête ne fut pas vaine.» L'opéra était centré sur Dossifeï, chanté par Chaliapine. A la différence des autres interprètes, qui abordaient avec difficulté les récitatifs de Moussorgski, Chaliapine témoigna dès les premières répétitions d'un sens aigu du style du compositeur. Son Dossifeï n'avait rien d'un ermite humble et doux, mais figurait un homme d'une grande force morale, en proie à de violentes passions. Le Prince Michetski (l'identité précédente de Dossifeï) était resté vivant en lui et se faisait sentir par moments. Ce Dossifeï affichait une foi inébranlable en la justesse de ses opinions. Chacune de ses paroles se ressentait d'une conviction profonde selon laquelle il n'existait qu'un chemin possible pour la Russie. Loin d'offrir de faux espoirs à ses compagnons, il les avertissait des terribles épreuves qui les attendaient. «Sa foi absolue dans le salut par le feu, l'éblouissante peinture d'une agonie si stoïque, la bonté de son regard pénétré de la conscience d'avoir raison - c'était inoubliable» écrivit l'un des critiques, ajoutant que la scène de l'immolation fut représentée avec une intensité tragique telle, que le public, sous l'emprise de l'émotion, ne pouvait se résoudre à rompre le silence par ses applaudissements.. Deux ans plus tard, en 1899, Chaliapine quitta la troupe de Mamontov pour le Bolchoï. A la fin de chaque saison, il retournait régulièrement au Théâtre impérial pour proposer de monter La Khovanshchina, mais la direction ne voulait pas en entendre parler. Elle finit pourtant par se laisser convaincre en 1911, et Chaliapine, non content de chanter le rôle de Dossifeï, assura également la mise en scène, la direction artistique et la préparation des chanteurs. Avec l'avènement du rôle du metteur en scène au début du siècle en Russie, la manière de diriger les répétitions changea. éléments séparés de l' action étaient désormais reliés entre eux pour créer une unité dans la trame, celle-ci devenant ainsi harmonieuse et sans ruptures. Chaliapine commença la première répétition en expliquant sa vision de l'opéra et son interprétation des différents rôles. Grâce à son sens infaillible du verbe et de la musique, il sut mettre à nu l'essence de l'œuvre. De l'imbrication des nombreuses intrigues entre elles, il extraya toute information pertinente sur les Vieux-Croyants, de sorte que Marfa (E. Zbruevna) et Dossifeï (Chaliapine) se situèrent au cœur de l'opéra. Les coupures qu' il effectua - la scène de l' exil de Golitsyne et celle de l'exécution des Streltsy, par exemple - se justifiaient par son interprétation. Plus rien n'existait seul; tout était lié. Enthousiaste, la critique salua en Chaliapine «le plus grand maître des artistes lyriques, une réelle source d'inspiration pour les chanteurs». Modest Mussorgsky PLAYLIST (reference recordings) : ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-stbY96rf_rE.html
@aleksandraszwacka329
@aleksandraszwacka329 2 года назад
Q
@ljiljanastanic9076
@ljiljanastanic9076 3 года назад
Top performance of it magnificent and sublime opera!
@classicalmusicreference
@classicalmusicreference 5 лет назад
Wonderful excerpts to discover the work : Please take your time to listen this absolutely Masterpiece. This is the second masterpiece of Mussorgsky after Boris Godunov. Act 1 : (00:00) ; (22:44) ; (26:16) ; (28:40) ; (36:40) ; (43:38) Act 2 : (46:02) ; (54:51) ; (1:00:21) Act 3 : (1:17:12) ; (1:27:49) ; (1:31:05) ; (1:36:49) ; (1:40:43) ; (1:47:25) Act 4 : (1:53:16) ; (1:58:39) ; (2:07:58) ; (2:09:19) ; (2:22:26) Act 5 : (2:34:09) ; (2:39:29) ; (2:41:25) ; (2:44:00) Modest Mussorgsky PLAYLIST (reference recordings) : ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-stbY96rf_rE.html
@marcalexandrefontenay9801
@marcalexandrefontenay9801 2 года назад
Une des œuvres majeures de l’opéra russe qui dépeint si bien l’histoire agitée de la Russie aux prises à révoltes ,,coup d’état et révolutions ! Révolte des vieux croyants conservateurs face au Tsar Pierre et les réformateurs. Solistes et chœur sont superbes sous la baguette inspiration du regretté Claudio Abbado .A voir à L’opéra Bastille a p du 26/1/22
@jakovskok1465
@jakovskok1465 5 лет назад
Great opera, superb performance! Many thanks for this jewel:)
@svetlanarodriguez7429
@svetlanarodriguez7429 5 лет назад
Awesome. Thank you for the upload.
@TheEdsmithparis
@TheEdsmithparis 4 года назад
I am very happy to find this here. Thank you.
@classicalmusicreference
@classicalmusicreference 4 года назад
You're welcome :-)
@baltaznerk
@baltaznerk 4 года назад
Masterpiece indeed!
@stefanmuller1269
@stefanmuller1269 3 года назад
Russian opera is so unique...
@mohamedhamza456
@mohamedhamza456 5 лет назад
Thanks for this man!
@steveegallo3384
@steveegallo3384 5 лет назад
True, brother Mohamed....and The Persian Slaves Dance (1:58.39) prefigured Khatchadourian and Rózsa by a century! The whole opera is of Wagnerian proportions and power......سلام عليكم المكسيك
@wandahelenagorecka-fichten9258
Opera Chowańszczyzna Godunowa robi na mnie wrażenie ze względu na monumentalizm dostojeństwo w ten sposób kompozytor wyraża wielkość narodu rosyjskiego dziękuję
@pavelchenarev7215
@pavelchenarev7215 4 года назад
Omg! As a Russian, I could kind of understand this! I did take Polish in University tho.
@musicaantigua869
@musicaantigua869 5 лет назад
Gracias y saludos cordiales desde Mallorca para vosotros classical music
@classicalmusicreference
@classicalmusicreference 5 лет назад
Gracias, saludos :-)
@no_Ray_bang
@no_Ray_bang 4 года назад
Great upload. Some great perfomances here. Is this one of the alternate orchestrations? At times it was pretty different than what I've heard before. All in all I'm very glad to run accross this on YT
@anon-rf5sx
@anon-rf5sx 3 года назад
I think this version has the Stravinsky finale (you know because the ending chorus fades out, both the Rimsky.Korsakov and Shostakovich editions end loudly). I think this opera sometimes is played with the Shostakovich orchestration but the Stravinsky finale, but I don't know here. With this work one should specify in the description which edition is being played
@yanderex13
@yanderex13 5 месяцев назад
This is Shostakovich's orchestration and the Stravinsky finale.
@JimTLonW6
@JimTLonW6 3 года назад
This opera set me off reading about Peter the Great!
@aboudaqn
@aboudaqn 4 года назад
March begins 2'09"17
@gpcrawford8353
@gpcrawford8353 2 года назад
If l am correct didn’t Modest Mussorgsky serve in the preobrazhensky regiment ( March Act4) for a little while.
@dmitryburkov3759
@dmitryburkov3759 3 года назад
Orchestration by D. Shostakovich. Final - Stravinsky??
@iyadkanaan5991
@iyadkanaan5991 3 года назад
indeed. though I prefer Korsakov's ending.
@andreasslateffPersonalChannel
Just for reference: 24:38 and 28:40
@jandavis4436
@jandavis4436 Год назад
I liked the music, what is the story?
@maksimk1080
@maksimk1080 20 дней назад
Khovanshchina (Russian: Хованщина, IPA: [xɐˈvanʲɕːɪnə] ⓘ, sometimes rendered The Khovansky Affair) is an opera (subtitled a 'national music drama') in five acts by Modest Mussorgsky. The work was written between 1872 and 1880 in St. Petersburg, Russia. The composer wrote the libretto based on historical sources. The opera was almost finished in piano score when the composer died in 1881, but the orchestration was almost entirely lacking. Like Mussorgsky's earlier Boris Godunov, Khovanshchina deals with an episode in Russian history, first brought to the composer's attention by his friend the critic Vladimir Stasov. It concerns the rebellion of Prince Ivan Khovansky, the Old Believers, and the Muscovite Streltsy against the regent Sofia Alekseyevna and the two young Tsars Peter the Great and Ivan V, who were attempting to institute Westernizing reforms in Russia. Khovansky had helped to foment the Moscow Uprising of 1682, which resulted in Sofia becoming regent on behalf of her younger brother Ivan and half-brother Peter, who were crowned joint Tsars. In the fall of 1682 Prince Ivan Khovansky turned against Sofia. Supported by the Old Believers and the Streltsy, Khovansky - who supposedly wanted to install himself as the new regent - demanded the reversal of Patriarch Nikon's reforms. Sofia and her court were forced to flee Moscow. Eventually, Sofia managed to suppress the so-called Khovanshchina (Khovansky affair) with the help of the diplomat Fyodor Shaklovity, who succeeded Khovansky as leader of the Muscovite Streltsy. With the rebellion crushed, the Old Believers committed mass suicide (in the opera, at least).
@francescosiragusa2460
@francescosiragusa2460 4 года назад
No!!!
@alexa-lc2gx
@alexa-lc2gx 11 месяцев назад
1:04:56
Далее
53. Мусоргский. Хованщина
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