Mes 15 ans quelle belle époque oh que ça me manque. En écoutant toutes ces chansons de l'époque grâce à RU-vid. Enfin je retrouve mon adolescence. La légèreté et l'insouciance. côté musical beaucoup de douceur et de tendresse. Hélas ce qui nous manque beaucoup de nos jours ❤💛💙😍
née en 67, c'était un de mes chanteurs préférés, avec yves simon, jean-michel carradec, francis cabrel et même dave plus tous ceux que j'oublie, ça me fait du bien de réentendre tt cela aujourd'hui , ah l'époque bénie de l'enfance
Jolie chanson que j'aime...Muriel "Et Trenet avait mis des années, Brassens commençait à en baver Et Bécaud astiquait son clavier. Monsieur Brel ne parlait pas encore des folles Et mon père venait de débarquer Là où restait quelque humanité, Là où les gens savaient encore parler De l'avenir... même s'ils sont fatigués."
le café était très très chère juste après guerre alors "on croquait" du café était une pratique courante 3 grain à mâcher et tu fessais durait tout en jouant aux cartes... sa signifie aussi que son père était très fauché...
L'argent ne faisait pas la loi. Tu mettais des semaines Et des semaines, Parfois des années. Si t'avais pas de tripes, Ta boutique, eux, Pouvaient la fermer Ca c'est pour les Star ac, graine de star, voice et les autres......
La mélodie est intéressante, mais les paroles médiocres et choquantes. De parler de « l’oncle Adolf » avec autant de désinvolture, de légèreté, d’insensibilité envers toute la souffrance qu’il a fait vivre, c’est vraiment pas fort. Et de revenir à chaque couplet sur les folles pour y désigner possiblement les homosexuels est, même en son temps, offensant, gratuit et assez bas de gamme. Ce morceau a vraiment sa place dans les poubelles de l’Histoire!
Une époque en juge une autre. Et les petits enfants maoïstes endoctrinés par l'air du temps plein d'interdits et le sentimentalisme puritain croient rééduquer leurs parents.
Les paroles sont étranges ... un peu homophobe quand même ! "Aragon n'etait pas un minet' (allusion à la cour de minets qui entouraient Aragon) les folles du café de Flore (même chose) , et le pire : Dieu sait s'il y a des folles la haut ...
Bonjour, Plus simplement, la référence à Aragon explique que quel que fut la polémique sur sa bisexualité supposée, il ne se comportait pas comme une "folle" (au sens de efféminé et excentrique) ni dans sa vie, ni dans son oeuvre. Qu'il n'était pas exubérant. La référence au "Café de Flore" et aux "folles" est simplement là pour dire que quoiqu'on pense de l'époque, Paris était déjà moderne. Finalement, ça ne choquait pas. Ensuite dans le contexte d'Adolphe Hitler cette fois, c'est clairement une allusion à "l'impuissance (sexuelle)" de ce dernier. C'est très ironique. Nicolas Peyrac utilise ici le rebond de cette référence aux homos efféminés de couplet en couplet pour servir le propos du texte et finalement "smasher" Hitler au dernier rebond d'un jet ironique. Il crée un effet inattendu en fin de partie. C'est un effet stylistique. :) Cdt,