La décohérence sur des modèles non-observés (donc non-influencés par notre besoin irrépressible de déterminisme) ne pourrait-elle pas être due à un reliquat de conscience "microscopique" de la matière elle-même. Conscience qui ne serait donc pas réservé à l'être humain, ni même à l'être vivant, mais qui pourrait bien pré-exister dans la matière elle-même, et donc influencer son environnement. "Objets inanimés avez-vous donc une âme..."
L'état de superposition existe dans la physique classique justement ...mais on ne le voit pas...Le chat existe et simultanément n'existe pas dans tous les cas de figure tout comme tout ce qui nous entoure selon le principe de l'ENE postulat proposé par Elran Valceka chercheur indépendant
Je me disais bien qu'il y avait une incohérence entre la qualité de la photo (très début XXème) et les informations que je trouvais sur internet sur ce monsieur Hofstadter.
Pourquoi dans les expériences d'interférence (comme les fentes d'Young) on ne peut pas considérer que l'objet interagit avec l'environnement (par la préparation, avec le fil, ou avec les côtés des fentes) avant l'arrivée sur le détecteur, et donc devrait décohérer et alors exhiber un résultat classique (le bord de la fente gisant comme la première bulle dans le cas des radiations)...?
Je me suis posé la même question. Je n'ai pas de réponse. Peut-être qu'il y a un phénomène de décohérence "partielle" : lorsque la particule projetée se trouve à proximité d'autres particules alors elle diminue son état quantique pour se rapprocher de son état corpusculaire, mais sans toutefois l'atteindre. Et qu'une fois être passée à côté d'une particule, la particule projetée retrouve son état quantique complet pour finalement donner son état ondulatoire. La vidéo de scienceclic illustre ce phénomène de transition entre l'état quantique et l'état corpusculaire.
je crois que c'est mal compris de la part de ce monsieur , même un objet macroscopique peut être en état d'intrication avec son environnement et la décohérence n'explique absolument pas le problème de la mesure
C'est vrai que je toujours surpris que des scientifiques de haut niveau n'arrivent pas à faire une prise de son et image correcte alors que des RU-vidr bep en poche y arrivent très bien.
Il n'existe aucune localité dans l'espace donc tout cela est logique. C'est comme le temps juste une affaire de "perception" ou de division d'un observateur avec son univers par un référentiel apposé . Il n'existe absolument aucune localité et cela explique les "problèmes" de délocalisation en physique quantique. Idem pour les dimensions ou pour la vitesse et la distance, elles n'existent simplement pas et nous pouvons le prouver. Nous calculons toujours une vitesse à partir d'un point vers un autre point..n'est ce pas ? Ces points, ils existent dans la réalité ? Dans l'espace ou notre univers ? absolument pas. Le jour où vous en trouverez, appellez-moi ;) mais ça ne risque pas. La dualité "onde" "particule" cela n'existe pas. Sinon c'est admettre 2 natures différentes pour la même chose. C'est comme E et Mc2 , après on dit que c'est égal mais si il n'existe pas 2 natures mais une seule l'égalité n'a plus lieu d'être. C'est nos identités dans les calculs le problème ou la "dualité", pas l'univers !
aucune possibilité de lier une opération quantique à un marteau par définition... l'expèrience de Schrödinger n'a strictement aucun sens... Ceci étant il existe un état de "méta superposition" faisant que les choses existent et simultanément n'existent pas.
Si vous plait, allez vendre votre livre ailleurs. Vous n'avez aucune légitimité sur le sujet. Ni l'astrophysique ni la cosmologie ni la mécanique quantique n'est votre domaine si j'en crois la jaquette de votre ouvrage : Elran Valceka, professeur d'histoire-géographie. Il est tout à fait possible d'associer un actionneur (pouvant activer un marteau par exemple) à la détection d'une désintégration atomique. Il semblerait que l'ingénierie électronique ne soit pas non plus votre domaine... De plus, l'expérience de Schrödinger est une expérience de pensée : un substrat pour une réflexion. Vous ne semblez pas non plus comprendre le concept d'expérience de pensée...
La décohérence résulte d'une survenue de masse atomique suffisante en lien avec des éléments "perturbateurs" externes au système quantique (dits maladroitement environnementaux, car qu'est ce qui ne serait pas environnemental ?) faisant basculer le système comportemental de la matière et de l'énergie de type quantique à type classique. C'est donc le processus autorisant le passage entre le comportement dit quantique et le comportement dit classique de la matière et de l'énergie. La décohérence, comme son nom l'indique, correspond ainsi à un moment précis de fin du stade quantique lié à son "environnement" ce que j'appelle "l'infractif", car le terme "environnement" est trop imprécis, on peut dire aussi le "Système" et y inclure d'autres facteurs extérieurs comme l'espace-temps ou même encore, la matière noire et/ou l'énergie noire. La décohérence correspond au moment où une relation de non retour intervient entre de la matière et de l'énergie et les molécules quantiques étudiées, ayant pour conséquence d'interrompre leur nature ondulatoire et/ou corpusculaire : la fameuse superposition quantique. Le moment de ce changement dépendrait donc d'un seuil de "masse" puisqu'il est question d'un apport nouveau de matière et d'énergie. Et l’occurrence d'apparition de ce seuil de "masse" serait vraisemblablement inversement proportionnel à l'effondrement d'une étoile sur elle même et bannirait l'idée de l'existence d'un quelconque graviton. La décohérence serait en lien direct avec ce principe de seuil de masse. Donc en calculant quel est le seuil d'apparition de masse proportionnellement au seuil d'effondrement d'une étoile sur elle-même, on trouverait de facto le seuil de décohérence maximal entre système quantique et classique. Dans le cas contraire, quel serait le sens de la décohérence en mécanique quantique ? En et pour chaque chose a lieu des transitions. Il en va de même pour la gravité qui est le corolaire de la masse. Ainsi, comment expliquer les passages entre l'absence apparente de gravité quantique, son apparition, puis, son évolution en gravité faible (Newton), puis gravité forte (Einstein), puis sa singularité, c'est à dire son effondrement : ce que l'on pourrait appeler les "transitions de gravité" ? Pour moi, le stade de l'effondrement (les trous noirs), constitue un retour au stade "quantique". les trous noirs serait le stade de "recyclage" de la gravité. Ils la dissémineraient ailleurs sous forme de gravité fantôme, avant l'apparition d'un seuil de masse suffisant à son expression physique (a priori inversement proportionnel à l'effondrement d'une étoile sur elle même). La boucle serait ainsi bouclée, conformément à la thermodynamique. Ainsi, la décohérence serait la trace (la transition) de ce nouveau stade de gravité "fantôme" suite à son effondrement antérieur en attente du seuil minimal d'expression de la masse observable et ainsi de suite... De plus, la mesure anthropique fait aussi partie de cet environnement, car elle fait intervenir le mode proactif* de la tme infractive*, la mesure faisant indirectement partie de l'infractif, elle perturbe donc naturellement le champs quantique. Quelle est la nature du lien entre ce seuil de masse intrinsèque et l'existence humaine ? Ce seuil de masse est aussi lié à son existence extrinsèque anthropique. *La mécanique quantique est en lien avec la thermodynamique. Or, la thermodynamique est scindée en deux modes non vus jusqu'à présent : le mode infractif et le mode proactif. Le mode infractif correspond à un système thermodynamique primitif ou classique (sans humains) et le proactif correspond à un système thermodynamique anthropique lui même inclut dans l'infractif (comme des poupées russes). livre.fnac.com/a13310865/Elran-Valceka-Les-trois-cles-de-l-Univers
WOW ! Quel merveilleux exemple d'emploi d'un jargon scientifique qui n'a ni queue noire tête. Je ne fus pas surpris de ne trouver aucune publication scientifique à votre nom. D'ailleurs, il semble que ni l'astrophysique ni la cosmologie ni la mécanique quantique n'est votre domaine si j'en crois la jaquette de votre ouvrage : Elran Valceka, professeur d'histoire-géographie.
Allez, je me fend même de quelques "debunk". Juste pour le plaisir ;) Vous dites "La décohérence résulte d'une survenue de masse atomique suffisante en lien avec des éléments "perturbateurs" externes au système quantique" or c'est faux. Regardez mieux la vidéo, l'expérience décrite à partir de 25:00 utilise une cavité à photons. La décohérence a lieu car des photons s'échappent de cette cavité (voir 31:54). Les photons n'ont PAS DE MASSE. Il n'y a donc ni survenu ni disparition de masse. Vous dites "leur nature ondulatoire et/ou corpusculaire : la fameuse superposition quantique" or c'est incorrect. La dualité onde-corpuscule n'a rien à voir avec la superposition quantique. Vous mélangez des concepts qui n'ont rien à voir les uns avec les autres. Vous dites "Le moment de ce changement dépendrait donc d'un seuil de "masse" puisqu'il est question d'un apport nouveau de matière et d'énergie." là aussi c'est incorrect. La déshérence apparait soit explicitement : l'état quantique du système est mesuré et donc le système se précipite ; soit implicitement : la complexité du système est telle que même sans intervention extérieure il va finir par perdre sa cohérence (à partir 30:06 dans la vidéo).