Parcoursup, ou le jeu des osselets avec ton avenir...? 

Bien vu !

Elle est géniale, mais je pense que tu ne sais pas ce que veut dire "avoir de la répartie" :) C'est un monologue ici ...

mercurexi Oui, c'est un monologue, mais c'est dans son sens de l'à propos et sa façon d'être à la fois pertinente, incisive et efficace dans son élocution. Ça relève quand même d'un certain talent rhétorique, qui doit se cultiver pour avoir du répondant. Ce serait pas mal de la voir en réel débat avec un contradicteur.

+1

I realize it's kinda randomly asking but does anybody know a good site to stream newly released tv shows online?

@Sean John i would suggest flixzone. You can find it on google =)

l'opinion publique n'est peut être plus le baromètre de nos dirigeants

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Elea Dahan cetait moins pire que maintenant je confirme

Une question plus intéressante, doit on adapter les élèves au nombre de places disponibles quitte à vendre le nouveau sparadrap sur une jambe de bois comme la panacée, ou ne serait il pas mieux d'adapter l'enseignement aux populations dont on peut anticiper le nombre des années à l'avance ?

Grâce a la merveilleuse idée que j'ai pu avoir de me réorienter cette année, j'ai eu l'immense chance de vivre APB et Parcoursup... APB avait le mérite d'être relativement anonyme et même si l'algorithme était gardé secret, on en entre apercevait une certaine logique... Là avec Parcoursup on a deux ou trois bonnes idées positives par rapport a APB, mais on a aussi cassé certains atouts forts d'APB et de mon avis, le bilan qu'on en retire est négatif. (Je dis ça en toute objectivité, j'ai été pris dans un des vœux qui m'allaient bien sur Parcoursup, je ne suis personnellement pas à plaindre). Quant à la question de bob moran (j'aime beaucoup Indochine, très bon pseudo) : Je pense qu'il faut au moins adapter le nombre de places au nombre d'élèves en première année dans toutes les filières saturées puis équilibrer les effectifs en fluidifiant les orientations entre chaque semestre et entre chaque année (il me semble que ça se fait dans d'autres pays et que ça se passe très bien). Les compétences demandées dans le supérieur sont tellement différentes de celles du lycée que préjuger de la capacité d'un élève a réussir dans telle ou telle filière en fonction de ses notes (ou pire en fonction du prestige du lycée auquel il appartient, sujet de la chronique, merci Nicole) est une méthode à mi-chemin entre la bêtise et l'arbitraire...

Elea Dahan de mon temps (j’ai 55) on envoyait autant de dossier que souhaité directement aux écoles. Les écoles avaient des commissions (y ai participé plus tard), on regardait les parcours et les lettres de motivation après un premier classement par les notes en fonction des filières. Chaque école se passionnait sans avis des autres écoles. Pour les facs il y avait qu’un critère, avoir le bac puis s’inscrire assez tôt pour avoir de la place.

Purple Moon & Stars oui, vous avez peut-être raison mais là la lune a été promise et au final c’est une solution pour éviter de mettre de l’argent dans les universités et pousser le priver à prendre la place. Mon premier fils a fait Ingènieur en informatique pour 400€ par an, mon deuxième veut faire du management/commerce c’est 10 000€ par an (sans logement) !! On voit bien que les riches peuvent faire du management d’entreprise et les autres de la technique ! On battit une élitiste décisionnaires dans les entreprises qui a un profile bien particulier ayant aucune idée de la France d’en bas !

Franck Sport C'est vrai, mais c'est un autre sujet