@@GLITEULBURG Un peu agressif ton commentaire. Par définition, une ville a 10'000 habitants. Confignon comporte environs 5'000 habitants. Parmi eux, on peut y retrouver toutes les classes populaires
Honnêtement track vous idéalisez vraiment le truc, j ai travailler dans un bistro de quartier en job d été pire expérience de ma vie. Entre les hommes qui viennent se soualer des 11h du matin, les remarques déplacées, l addiction flagrante au jeu, les bagarres entre clients, le racisme et la misogynie décomplexée Je ne remettrai plus jamais mes pieds dans ce genre d’endroit
Tu n'as pas compris que ces bars pas chers de prolo sont coolises pour cacher le déclassement social et qu'ils ne peuvent plus se permettre le verre a 10€?
Pour le coup c'est vrai que je me suis rapidement dit qu'effectivement le PMU est un lieu populaire, mais que c'est un lieu où très très peu de femmes mettent les pieds puisque dès l'entrée on te matte salement de la tête aux pieds. Pas du tout évoqué dans le reportage alors que c'est un ENORME point négatif de ces lieux ... Et dans la plupart toutes les remarques misogynes et racistes sont permises effectivement :/
@@TRACKSARTEFr penser les classes populaires comme un sujet d’étude artistiques c’est une très bonne définition du mépris. Moi je n’ai rien contre mais assumez le plutôt que de le cacher derrière des concepts bancales comme celui de l’appropriation culturelle, sachant qu’en plus tous ces gens sont de la même culture. Vous devriez parler d’appropriation de classe qui est un phantasme récurant chez la bourgeoisie.
@@TRACKSARTEFr Vous ne pouvez pas vous satisfaire de sa réponse. Le mec arrive avec ses gros sabots, son sac de 200m3 et il demande direct a photographier des gens tout en garant sa "blotmobile" devant le bistrot, plein d'humilité évidemment. On est loin du superbe documentaire de création "Atlantic Bar" de Fanny Mollins. Ca c'est un vrai travail. Je suis bien content de ne pas avoir acheté son bouquin a guillaume blot.
Je récapitule pour être bien sûr d'avoir compris : Le mec du collectif Bouledogue (avec tout le respect que j'ai pour lui et son initiative) il nous apprend en l'espace de 2 minutes que "le PMU c'est avant tout un lieu qui appartient à ses habitués" MAIS "que la soirée à l'arrière du bar n'est accéssible que grâce à un code secret trouvé sur [notre] site internet". En gros pour résumer : "Bernard, 54 ans, ouvrier, tu nous fais bien rigoler en début de soirée, mais là maintenant désolé , j'ai soirée hipster instagrammable avec Maité, Solène, Hugo et Jean-Gregoire à l'arrière de ton rade...." "Le truc c'est d'être un peu des victimes..." "C'est un peu de la flemme ... on s'en fout de l'esthétisme". C'est tellement involontairement condescendant 🤣 Personnellement (ça n'engage que moi), ce que j'ai entendu c'est "Ouais des fois on aime bien être moches et pauvres comme eux". Ce terme de "schalgwave" est d'ailleurs très révélateur : il signifie "se grimer en "schlag", adopter l'esthétique "schlag" pour se donner un genre". Les personnes prolétaires qui ont toujours eu l'habitude d'être comme ça sans avoir le sentiment d'être "schlags" apprécieront sûrement. Puis "l'anti startup nation", à d'autres hein. Vous êtes à 90% des designers et graphistes. Le pire c'est que j'ai démarré la vidéo avec curiosité et enthousiasme en me disant que c'était cool que la culture bistrot redevienne considérée. Je ne sais pas si c'est l'angle choisi ou les invités sélectionnés, mais ça a magistralement foiré. Cette gentrification de hipster va faire passer nos demis de Meteor de 2,30€ à 5€ ! Trop bien ! J'ai tellement eu le sentiment pendant tout le reportage de voir des petits bourges aller en safari "poverty p0rn". Restez à vos places, et arrêtez de romancer la classe populaire s'il vous plait.
@@baronantoine a quel point ils s'en rendent compte ? Le pire c'est que @TRACKSARTEFr ne se remets pas en question dans les commentaires. Ils sont sur d'eux, ne voient pas le probleme.
@baronantoine En effet, il semblerait que vous n’ayez pas bien compris. Le jeu du code secret proposé par le collectif Bouledogue sert à faire gagner des verres gratuits, l'entrée est libre pour toutes et tous. C'est ce qui différencie en grande partie cette soirée d'une expérience classique en club. Concernant le terme « schlagwave », le duo Gwendoline l’utilise au second degré car certaines personnes l’ont employé pour qualifier leur musique. Ils n’ont pas eu pour prétention de créer un genre musical. Pour le reste, les intervenants ont bien conscience des enjeux de la gentrification, et nous les avons d’ailleurs interpellés à ce sujet pendant le reportage (par exemple à 05:11). Il n’empêche que leurs démarches sont sincères, et à nos yeux, intéressantes.
De belles histoires dans un beau reportage. Bravo à Tracks et toutes les personnes interrogées dans cette vidéo de faire vivre ce patrimoine nationale. Sortons de chez nous et rencontrons-nous, c'est tellement important !
Le reportage dédié aux accapareurs de 30 ans. Bravo pour la reconstitution de la France Bistrot! Heureusement on voit pas trop longtemps les vrais clients mais plutôt les copies/cool
Ya pas a chié, je me rappelle plus jeunes, je débarque pour du boulot,il y avait un rad d'habitués, a la débauche, je connaissais personne dans ce patelin, au bout d'une semaine, je connaissais tout les petits anciens autant que les travailleurs passé 17h, puis après j'ai arrêté de boire, mais la vérité mes meilleures débat et rencontre, c'était dans des bar ,l'un des seul endroit où tu peux engagé une conversation avec ton voisin sans le connaître, sans regarder son origine sociale.
Super reportage, comme toujours sur cette chaîne ! Il faut à tout prix conserver ces lieux et pas seulement à travers le prisme d'artistes ou d'entrepreneurs, mais comme lieux de vie et d'expression du vivre-ensemble. Je pense que la disparition de ces espaces de débat, de discussion et de rencontre pousse aussi beaucoup de gens, en particulier dans les milieux ruraux ou isolés, à choisir les politiques individualistes et haineuses d'extrême-droite, comme on a pu en voir la couleur tout récemment. Les gens n'ont plus ces lieux où ils pouvaient se confronter aux autres et former des communautés. Ces bars doivent aussi rester abordables, d'où l'importance de ne pas tout laisser aux Parisiens ou aux artistes, entrepreneurs etc., bien que leurs démarches soient tout aussi essentielles et enrichissantes. Bref, vive le bar PMU, le rade, comme lieu de construction sociale !
Je pense qu’il ne faut pas tout mélanger. Ce qui pousse à voter aux extrême chez les actifs en périphérie c’est l’échec de représentativité du bipartisme, le replis des élites dans un entre-soi excluant et leur ton moralisateurs. Les gens dans la « France périphériques » n’ont pas les moyens de vivre repliés sur eux même dans des quartiers barricadés et des écoles privées. Le problème vient de la classe supérieure, les gens populaires vivent avec tout le monde mais voient leur condition se dégrader de jours en jour et en ont marre du discours bien-pensant des bobo qu’ils soient de gauche ou de droite 👍
En quoi faire des soirées techno dans un bar PMU cela sauvegarde leur existence ? Ce n'est pas tout simplement de la gentrification ? Comment l'usager du PMU s'y retrouve ?
Perso, je vais pas au PMU pour écouter cette musique de merde, mais des tubes français anciens. Jentends cette musique techno de cocaines, je change de bar.
Trop cool les Hipster au Bar Tabac, quel hype de prolo, avec les moustaches et tout, manque plus que le bleu de travail nickel, repassé et sans une tâche. Vous payez vos coups avec des montres connectées ?
C'est là que je vois une véritable différence entre la Belgique et la France ... Ce genre d'initiatives a toujours existé en Belgique (et les clopes, on peut les acheter partout 😂)
En province, dès que le lieu est un peu touristique, beaucoup de commerces dont les bars n'ouvrent plus qu'en période touristique, aux horaires touristiques avec des produits adaptés aux touristes à des tarifs touristiques. Tendances qui s'harmonise assez facilement. La vie sociale n'a plus qu'à s'adapter. En général lors de soirées événement qui attirent beaucoup d'inconnus de facon disparate pour le meilleur et pour le pire. Alors, des gens motivés en créent mais en général ça ne dure pas, d'autres essaient à leur tour puis d'autres et encore d'autres. Les bistrots avec les mêmes tenanciers qui tiennent des décennies avec les générations qui grandissent dedans et autour ça n'a plus l'air de trop exister.
Je bosse pas mal sur les routes, et à chaque fin de journée avant de rentrer à l'hotel, j'ai un rituel: le PMU Dans les villes, villages, banlieues, j'en aurais des trucs à raconter, bon sang, ce sont des lieux RICHES en gens de tout profil: des intellectuels, des gens simplement agréables, sympathiques, quelques gens louches aussi, des originaux. J'adore mes fins de journée avec ma bière à 2€50 et l'inconnu de passage à ma table
Soyez honnête et changez le nom de cette émission. C'est devenu du journalisme instagram. Le slogan c'était "toujours aux avant postes" et ben on en est loin. Franchement je suis tellement déçu de ce que c'est devenu alors que ca faisait longtemps que je regardait. Vos reportages était toujours curieux et surprenants et bien foutus. Parfois wtf mais ça avait son charme. Repose en paix tracks.
J'adore mon bistrot, mon café du quartier, un vrai bar sans jeux, sans planche de bouffe, avec des amis, des autres, des touristes, et des cons... j'aime allez découvrir à chaque voyage des bistrots de villes ou villages. j'aime les bistrots tout court.🤪
Je ne comprends pas à la fin, la réflexion sur la "France moche", c'est pas censé désigner justement les espaces déshumanisés et étriqués que sont les zones commerciales et autres chaînes de café/fast food ? En opposition justement aux "rades" qui sont censés être à l'image du taulier et ses clients ?
Nos rades se meurent aussi à cause des PMUs, ces dépots de paris avant tout, qui n'ont rien de l'esprit de nos bistrots (qui sont eux les débit de boisson qui proposent aussi des repas) ou de nos bars, ces fiefs où peut boire des coup en discutant, l'intimité de ces moments garantie par la seule musique du lieu ! Un peu confus à mon sens de ne pas discriminer les différentes dénominations et donc d'amalgamer ces lieux si différents !
Maintenant c'est remplacé par le nouveau concept bobo, le tiers lieu. Un bar mais associatif, avec des jeux, des ateliers ecolo... sympa mais très éloigné du bar où on croisait autant le lyceen, le poivrot ou le cadre ...
Petite rectification, en allemagne les späti ne se trouve quasiment qu'à Berlin, en allemagne on irais dans des kneipe, cela se rapproche beaucoup plus des pub en Angleterre et des bar pmu en France.
Demat les rageux ! Vous êtes dans le négatif niveau pari sportif pour mettre des coms aussi fanés ou quoi? Un ptit cash et ça repart les compères. Mersi les rades et vive Kim. Kenavo les bouseux
La journée jai le pmu et le soir jai les jeunes en techno. Ya pas de mélange, cest du commerce. La première partie est intéressante, le travail du photographe est vraiment intéressante et il lexprime tellement bien. Par contre les 3/4 j'ai pas compris, avec les 2 caricatures de south park, on comprend pas, juste ils parlent de bistrot dans leur chanson ? Ca en fait une thematique Tracks ? Ca aurait ete tellement bien de sortir de Paris parce que là pardon mais ça me semble creux.
Bar PMU transformé en discothèque n'est plus un PMU. Un filon pour faire du fric à moindre coût. A part le décor je ne vois pas la préservation de l'esprit PMU
Mais lol, les mêmes bobos qui ya dix ans méprisait, nous les bôfff qui buvait du blanc pas cher et mangeait un plat du jour.... mais maintenant en 2024 faut sauver les bistrots... c'est du patrimoine gnagna.
En Bretagne on dit an Davarn (= la taverne) Complète dans ta langue ;) : En Gallo: En Corse: En Basque: En Catalan: En Occitan: En Alsacien: En Mosellan: En Ch’ti: Complète Baby ;)
Les bobos , lassés des bars lounge "ambiance tamisée , mojito à 10E " vont s'encanailler dans des pmu dégueulasses...... ca doit être triste votre vie , de toujours devoir trouver quelquechose de nouveau.....
un späti c'est une épicerie, les allemands vont au kneipe pour boire une bière pas chère et jouer aux fléchettes ou à la machine à sous dans une salle bruyante aux murs jaunis par le tabac
C'est fini. C'est terminé. Ces lieux ont quasi disparu...pas assez "inclusif", trop terroir. Remplacés par les bars à "ambiance", à chats, à chicha etc...Effacement d'une culture à laquelle Arte participe activement...
@@GLITEULBURG tu es un génie toi...les bar tabac pmu était un lieu de prolos rêvant de gagner un tiercé pour arrondir les fins de mois ou prendre une cuite. Donc oui forcément ce n'était pas une population vivant dans l'opulence. Tu en as d'autres des remarques intelligentes ?
J'aime bien la nouvelle direction de tracks, mais je regrette les sons des anciens (rapport à Gwendoline, là ). Je ne comprendrai jamais l'engouement pour ces groupes que je trouve musicalement misérables, faussement inspirés, et complaisants de surcroît... Cela dit, je suis toujours surpris des sujets abordés dans l'émission et je soutiendtai toujours les reportages "tranche de vie". Avec toute ma sympathie.
@@Wazkatymais il a tout dit, franchement le "pmu" que l'on voit dans la vidéo ne reflète en rien aux pmu's actuels... C'est vraiment pas des lieux que tu a envie de fréquenter...
@@larietournelle7904 C'est le désir de "reboot". Un narcissisme fétide de codeur informatique. Horrible à regarder. Ils vampirisent leur proie puis les traitent de boomer une fois qu'ils ont terminé leur hack 👍
mais vous aimez vraiment ces endroits remplis de beaufs ? Faut savoir que lorsqu'un PMU est la seule activité possible dans des petits villages, tout le monde aimerai faire autre chose qu'aller au PMU mais y'a que ça. Donc voir des parisiens adorer ces trucs miteux ça fait pitié
y'avait pas de parisiens dans le "documentaire" en fait. Mais oui c'était des "gens de la ville". Juste pas la capitale. Et non, personne n'aime aller au PMU, sauf en vacances pour voir la faune locale.
@leonfaure8432 Le sujet à l'air de te plaire mais tu n'arrives pas à y répondre avec des arguments. Je pense qu'Alejandro aura réussi à résumé ma pensée mal développée dans mon commentaire, car c'est bien ce que je reproche à ton petit monde. Regarde moi ces 'brankignols' sans goût, parce qu'un mec qui bosse toute la journée peut ne pas en avoir esthétiquement (laissé aux 'riches') mais la richesse de son parlé de ses blagues aussi folles, douces, vulgaires et sexistes que tu voudras n'appartiennent qu'à des gens ayant expérimenté la vie. Voilà que les small-richous s'en mêlent et viennent donner des cours sur les 'rades' oui, un mot bien schlague qui finalement semble bien désuet. Bistrot, ne l'est pas. Si je parle de ça, c'est pas dans le vent, c'est que je le vois, car contrairement à tous, quand j'ai soif, je ne paie jamais 5€ un verre de blanc, et si il m'arrive d'y goûter, c'est invité par des potes. La différence entre un bistrot et un bar de bob's, ou bar classique d'ailleurs, c'est le goût, le service et la classe. Je reprends mon cours de branchitude pour ton plus grand plaisir: le look de ces jeunes, jeunes de mon âge, n'est autre que du mauvais goût, trop large, décoloré, tatoué, historie de bien montrer qu'ils sont pas riches et bien crades, presque en manque de moyens. Trop classe le déclassement. Les ouvriers eux sont beaux naturellement de leur gouaillles et de leur 'saleté'. J'ai fait du chantier (sans aller au rade après, on mélange pas tout!) - Les maghrébins, ceux que vous essayez tous de sauver en voyant front gauchiste, mais que vous ne fréquentez pas, ou si jamais il y en a un dans la bande, il est bien français, bien propre, bien conforme à vos attentes: du même adn que le vôtre. Mais les vieux au regard furtif et profond, souvent drôles et précis, parfois loufoques selon l'humeur, ceux-là jamais vous les provoquez, laissés à l'autre bout du bar. Un bar pas mixte n'est pas un bar. Un rade, c'est pas parceque vous en trouvez une définition de par votre multiplication accrue qu'il existe. Il existera toujours sans vous, et surtout sans moi. Car moi je m'en tape, j'y vais car je suis français. J'y vais pas pour paraître français, paraître cool ou paraître buveur. Et surtout pas pour un café, car j'en bois pas! J'y vais pour parler, et picoler, seulement si le blanc est bon. En tout cas s'il est mauvais, il a le même goût que celui des bars branchés que vous avez investis depuis plus d'une dizaine d'années. Ce 'photographe' n'a aucun vrai talent, et j'imagine même qu'il est le fils de David Blot (ou de son frère) pour ceux qui s'intéressent à Radio Nova, enfin, la nouvelle version... Avant, c'était avant. Mais Gwendoline, c'est la mort, en musique et en interview, et ça marche car ça parle tout seul à tous ces gens morts de l'intérieur, ni rebels, ni penseurs, étouffés par eux même, comme Fauve parlait de la dépression. C'est pas de la musique, c'est de la p*sse. Je vous laisse savourer l'itv Gonzai. La mort du petit écran par les petits, petits fils à maman.
Ben si mon gars, tu t'exprimes super bien, mieux que moi en tout cas je trouve. Et en vrai Léon, je pense que c'est un bon bougre, et on debat avec lui. (Meme s'il me traitre de réac frustré, je m'en tape lol) Bisou ;)
J'ai 26 ans mais je trouve cette génération paumée, ils ont tous le même parlé, une voix qui ne monte ni ne descend... Neutre. Ils n'incarnent rien, même pas la branchitude. Des hipsters fils à papa, qui croient parler de qqc alors qu'ils paient leurs bière 8eu, puis soudain réalisent qu'en PMU c'est moins cher. Ils ne connaissent rien aux codes qu'ils empruntent, voilà livré le néant, schlague et omniprésent. On peut en rire ou en pleurer, ils n'intéressent qu'eux et ne couchent qu'entre eux.
@@leonfaure8432 @leonfaure8432 Le sujet à l'air de te plaire mais tu n'arrives pas à y répondre avec des arguments. Je pense qu'il aura réussi à résumé ma pensée mal développée dans mon commentaire, car c'est bien ce que je reproche à ton petit monde. Regarde moi ces 'brankignols' sans goût, parce qu'un mec qui bosse toute la journée peut ne pas en avoir esthétiquement (laissé aux 'riches') mais la richesse de son parlé de ses blagues aussi folles, douces, vulgaires et sexistes que tu voudras n'appartiennent qu'à des gens ayant expérimenté la vie. Voilà que les small-richous s'en mêlent et viennent donner des cours sur les 'rades' oui, un mot bien schlague qui finalement semble bien désuet. Bistrot, non. Si je parle de ça, c'est pas dans le vent, c'est que je le vois, car contrairement à tous, quand j'ai soif, je ne paie jamais 5€ un verre de blanc, et si il m'arrive d'y goûté, c'est invité par des potes.
C'est juste qu'ils sont tellement déclassés socialement qu'ils ne peuvent pas se permettre de payer une bière a 10€, donc doivent camoufler ça en présentant les PMU comme des endroits branchés.