Je l'avais dans les oreilles encore ce matin pendant les courses . J'en ai oublier ma liste j'ai fait ça au felling mdr ^^ Je kiff vraiment t'es fort vraiment fort ^^
paroles pnl coeurs On les tord jusqu'au cash monnaie Avant de n'plus être inspiré On les tord jusqu'au cash monnaie Avant de n'plus être inspiré L'être humain a failli m'dégoûter Puis je l'ai rencontrée Et nique la vie d'artiste, tu sais, je viens d'en bas Les cliquos, les grosses têtes et les rats s'rappellent de moi On a tout r'ssenti, on t'a pas menti Sur le bonheur de ma famille, qu'est-c'tu crois? S'rappellent de moi, car j'suis plus dans l'noir Moi j'veux plus les voir, car d'puis qu'j'suis plus dans l'noir, igo je vois On les baise pas par hasard, j'veux être le prince de la ville J'suis plus Tarik que Nabil J'te boufferai pas la chatte On a pris le rap, fait les kils J'veux l'monde, papa veut son île Tu connais pas l'animal, tard le soir, ça tire devant Maintenant j'remplis des salles mais tu sais ma vie me manque Ma vie m'manque (ma vie m'manque) On plie l'temps (on plie l'temps) La vie d'vant (la vie d'vant) Y a plus d'grands (y a plus d'grands) La vie devant (on part) Ma miff me manque (c'est ça) Et l'vide me hante Laisse-moi les tordre, laisse-moi le temps, laisse-moi les pendre Oh, oh oui, oh oui j'combats mon mal On est N'DA, on les baise même seul au monde Zebi, zebi, j'suis pas normal, les démons me font l'aumône J'veux pas savoir quel est l'moyen Tant qu'il y a les couilles tous les moyens sont bons pour nourrir la miff Toi, lève ta patte comme un chien C'genre d'animal dont on m'traitait quand j'errais le soir Fatigué d'tous ces soucis j'ressens comme une apesanteur J'ai l'habitude de souffrir, jamais pour moi mais pour les autres J'porte ambition Herculéenne J'retrace ma vie, ô Dieu, plus grand poète que j'ai vu dans l'abîme C'était si dur mais j'ai toujours commencé par "bismillah" et fini par "amîn" Ouais, tu parles trop, j'suis pas d'humeur J'me sens gêné, demain j'prends l'biff D'un braco en moins d'une heure Tous ces puristes d'MCs m'font rire, dans la rue j'les aurais graille comme dans Pac-Man Et j'suis sûr qu'à deux choix près, Nabil et moi on aurait pu prendre Paname Au final qu'est-ce qu'on devient? Quand on voit tout on revient On meurt, on s'lève, on s'barre, on s'perd Le cœur brûle, le cœur serre (le cœur serre) Ma vie m'manque (ma vie m'manque) On plie l'temps (on plie l'temps) La vie d'vant (la vie d'vant) Y a plus d'grands (y a plus d'grands) La vie devant (on part) Ma miff me manque (c'est ça) Et l'vide me hante Laisse-moi les tordre, laisse-moi le temps, laisse-moi les pendre Oh, oh Pardonne-moi, pardonne-moi, c'est sale
Moi je dis PNL WORLD c’est PNL, obligé, matte cette qualité de fou qu’il ne fournit depuis un moment ! force à toi frérot merci pour tout #QLF #DepuisLala
Dans chaque coin d'rue, ça pue l'amertume. ça vend la verdure. Crois pas qu'l'amour a perduré. on pense qu'à faire du blé, avec la tête dure Combien ont géré des fours ? La juge, tu la vois Quand tes bâtiments t'ont joué des tours J'sais qu'la galère, ça pousse au vice, qu'on s'croit plus intelligent Entre les cours et la rue, on est d'vrais couteaux Suisses J'ai trop entendu ces paroles dans des halls avec les vitres pétées j'craque et j'me répète comme un disque rayé Traîner avec les même gars, parler de tout, de rien, r'porter Les objectifs de la veille et dire qu'on gérera tout demain Serrer les mêmes mains, croiser les même regards des reufrés qui descendent Avec une barrette de dix ou une canette de tise Des packs de bière après la salle de sport, des grecs à emporter, putain d'quartier à tête de mort Y'a l'poto qu'on voit plus trop, sur son dos y'a des rumeurs, des clans qui s'forment, ça pue la pisse Sur l'banc : des gens qui dorment, tu vois ton ex du collège, elle pense que t'as pas changé Que t'es encore la proie d'la BAC et tu la vois monter dans un BM d'un mec costard-cravatte Tu sors d'quarante-huit heures de garde-a'v', c'est pas grave, hein T'as jamais eu peur du placard, ni des bagarres, c'est ta life hein Ça r'ssort tête haute, sans donner d'nom, au tieks, on a tous des blazes Sauf toi, Pareil, y'a rien qui t'correspond Ça rentre dormir quand nos mères se lèvent, faut cacher les yeux rouges Complètement bourré, t'as réveillé ta sœur qui t'as dit : "Mais t'es chelou" Aucun frérot sur Facebook, aucune photo à voir Hier, t'as mis celle de ton père mais tu veux juste entendre sa voix Tu connaissais tous les papas qui partent et les baratineurs Mais pas la souffrance d'un fils quand c'est l'papa qui meurt Le frigo vide, les lettres de pôle emploi, les demandes d'APL Aucun moyen d'trouver le sommeil, tu veux juste être bourré d'oseille Malheureusement, c'est pas l'cas, ça pense aux flingues, aux braquages À venger cette putain d'enfance dont tu parles pas Y'a du shit, plus d'cigarettes, l'épicier a fermé.
Tous les soirs je pleure parce que je ne veux pas que tu partes Je sourie je fais genre mais ce que je ressens je le montre pas Tu vas de plus en plus mal Les sentiments sont à l’arrêt Une partie de moi s’envole qu’elle repose en paix Toi aussi tu te sens seul ? Toi aussi tu