Gwen est incapable de tomber amoureuse, comme quelque chose de cassé en elle, auquel elle n'aura jamais accès. Et puis elle découvre un pan inconnu de sa propre vie.
Gwen. Si tu passes par là, tu as le rire communicatif, tu es drôle, touchante, émouvante, on rit avec toi, on pleure avec toi, on entend les larmes que tu contiens quand tu parles de la mort de ton papa. Parce que quoiqu'il en coûte, C'EST ton papa, et rien ne peut changer cela. Tu as l'air d'être pétillante, bourrée de vie, pas usée, pas désabusée, bien au contraire. Tu étais en suspens parce que tu avais besoin de connaître la vérité et de t'autoriser alors ce bonheur. Je suis convaincue qu'il y a aussi des personnes qui ne sont pas faites pour être amoureuses mais qui peuvent trouver leur bonheur dans pas mal d'autres manières d'aimer: ami.es, enfants, famille etc. Mais toi, tu avais besoin d'ouvrir un coffre qui contenait un secret trop longtemps contenu. Je te souhaite beaucoup, beaucoup, beaaaaaaucoup de bonheur et je te remercie pour cette tranche de vie qui réchauffe fortement le coeur. Belle route à toi et ton homme ...
Superbe histoire ! Pleine d'émotion, de justesse, de sincérité, de rire, de bien-être, de complicité... Bravo à Gwen et bravo à toute l'équipe qui a mené à la construction de ce si joli podcast. (Des comme-ça, je pourrais en écouter un chaque jour ! ^^)
17:10 On parle beaucoup de la maltraitance physique et/ou psychologique des pères parce qu'ils sont sévères mais les mères ne sont pas les dernières à faire en sorte que leurs enfants gardent des séquelles psychologiques à vie.
Très beau témoignage ! Plein de rebondissements, je ne pensais pas avec le titre que cela se finirait ainsi 😊. Le rire de Gwen est très communicatif ! :D
Les protagonistes des rencontres et des histoires d'amour, ou de sexe, toutes plus mignonnes, ou éclatées, les unes que les autres, suivent ce même schéma : l'écart d'âge entre hommes et femmes, petit ou grand, est, sauf exception, à sens unique, et ce n'est jamais le sujet. C'est bien là le problème, que cette systémique recouvrant les oripeaux de préférences et opportunités de gens heureux ou malheureux, ne soit jamais le sujet alors qu'il s'agit d'un silence énorme sur le pattern le plus commun de l'Histoire de l'oppression des femmes. Peu importe, bien sûr, qu'il y ait des femmes qui ne remarquent pas ici la flagrante persistance d'un pattern limitant les conditions d'existence des femmes, sur des bases foncièrement misogynes.
