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Pour un OUI ou pour un NON 

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1 сен 2017

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Комментарии : 28   
@yougoslav6765
@yougoslav6765 3 года назад
Grosse dédicace a vous madame Grenier sans qui j'aurai pas su que se chef d'oeuvre théâtrales existent, jen sort grandis et ému... MAGNIFIQUE
@rzn.9588
@rzn.9588 3 года назад
🥶🥶🥶🥶🥶🥵🥵🥵
@angie565656
@angie565656 Год назад
Fayot 🤣
@pascalebg5641
@pascalebg5641 3 года назад
CRITIQUES Pour un oui ou pour un non : La signifiance de l’insignifiant  PAR AURÉLIE OLIVIER 19 JANVIER 2013 COMMENTAIRES 0  Pour un oui ou pour un non est sans doute la pièce la plus jouée de l’auteure française d’origine russe Nathalie Sarraute, mais elle n’avait jamais été montée dans la métropole. Sa représentation sur nos scènes remonte à la version du Français Jacques Lassalle, présentée en 1999 dans le cadre du FTA. Il était temps qu’une compagnie québécoise s’y attaque, ici le Théâtre Galiléo, à qui l’on doit également Malaussène au théâtre (2006) et Kamo, l’idée du siècle (2010), de Daniel Pennac. Dans ce brillant dialogue où les non-dits ont autant d’importance - sinon plus - que les mots eux-mêmes, deux hommes se penchent sur ce qui fait leur amitié, ou plus précisément ce qui la rend impossible. Ils se côtoient pourtant depuis longtemps, et on pourrait croire que rien ne viendra se mettre en travers de leur relation, encore moins une broutille comme celle qui est brandie par H2 - les personnages de Sarraute ne sont pas nommés, ce qui en dit long sur le peu d’importance qu’elle accorde aux individus en tant que tels, pour ce concentrer sur ce qu’ils disent -, incarné par Vincent Magnat, pour justifier à H1, joué par Marc Béland, sa récente prise de distance. C’est que H1 lui a répondu «C’est bien ça…» de manière condescendante lorsqu’il lui a fait part de l’un de ses récents succès. Aux griefs de l’un répond l’incompréhension maladroite de l’autre, et, progressivement, les vieilles rancoeurs font surface et l’amitié se fissure. H1 est rigoureux, a une vie sociale et familiale bien établie, la capacité de mettre des noms sur tout. H2 vit reclus, dans un monde poétique, et a de la difficulté à nommer. Ce qui représente la stabilité et la sécurité pour H1 est perçu comme une cage, un enfermement par H2. Quant à la liberté de H2, elle est vécue par H1 comme un flou, une inconsistance insupportables. L’un représente le pôle du langage, l’autre celui de la sensation. L’originalité de la pièce est de montrer comment chacun, tout en décriant l’univers de l’autre, y aspire. Ainsi, H1 et H2 peuvent être perçus comme deux opposés irréconciliables ou comme les deux revers d’une même médaille, les deux pôles de la personnalité en contradiction dans chaque individu. La fin de la pièce, d’ailleurs, ne résout rien (pas plus que l’unique scène où des voisins, interprétés par François Trudel et Julie St-Pierre, sont pris à témoin), et semble plutôt montrer que ces deux positions sont complémentaires comme peuvent l’être le oui et le non. Marc Béland et Vincent Magnat, sous la direction de Christiane Pasquier, font bien ressortir cette ambivalence, ce balancement entre le rejet et l’attirance pour le monde de l’autre. L’ensemble de leur prestation est impeccable, comme l’est la mise en scène d’une grande précision de Pasquier, qui n’est pas sans rappeler la rigueur dont elle fait preuve en tant que comédienne, notamment sous la direction de Denis Marleau. La pièce peut être perçue comme un drame psychologique sur l’amitié ou comme un logodrame. La progression vient du dialogue, du jeu sur les mots et non de l’action. Sarraute montre la difficulté de nommer le ressenti, d’exprimer ce qui peut n’être pour nous qu’une impression fugace, à la limite de l’inconscient, mais pourtant porteuse d’une grande complexité. Ce sont les non-dits, les sous-entendus, ce qui se tisse entre les mots qui sont la source des malentendus, qui minent les relations humaines. H1 a-t-il vraiment tendance à rompre “pour un oui ou pour un non”, c’est à dire pour des raisons insignifiantes, ou bien n’est-ce pas plutôt sa difficulté à exprimer sa pensée qui donne cette impression, et l’énormité de ce qui est sous-tendu par les insignifiances ne justifie-t-elle pas pleinement la rupture? La scénographie de Geneviève Lizotte, un espace vide avec un fauteuil, est à l’image des personnages de Sarraute, des entités indéfinies, dont on ne connaît ni le passé ni la situation actuelle, qui ne sont au fond que les supports du langage. Au fond de la scène se trouvent deux écrans sur lesquels se meuvent des personnages animés ressemblant fortement aux deux comédiens principaux (création de Thomas Corriveau), qui représentent les élans intérieurs inconscients de H1 et H2 (on voit par exemple les personnages animés se bousculer, ou l’un d’eux saisir une batte de criquet tandis que les échanges verbaux restent relativement courtois). Ils font ainsi intelligemment le lien avec les idées de l’auteure sur les tropismes, ces mouvements intérieurs tenus, presque insensibles, déclenchés par le présence et les mots d’autrui qui « glissent très rapidement au seuil de notre conscience » (Le Gant retourné). ( Copié )
@Paloma-vq3yu
@Paloma-vq3yu 5 лет назад
Une très belle mise en scène !
@raphaeled8029
@raphaeled8029 4 года назад
Vous savez de qui elle est ?
@dangeloantoine8166
@dangeloantoine8166 3 года назад
C est moi Antoine le metteur en scène. Amitiés et mervi
@marcb8354
@marcb8354 4 года назад
Hé merci Vous me sauver 🙏
@husseinalmoussaoui2737
@husseinalmoussaoui2737 5 лет назад
4:18
@PinkAroused
@PinkAroused 2 года назад
Faire vivre la pièce, c'est bien,bien ça... mais je reste sur l 'interprétation de JL Trintignant et Dussolier.
@jean-francoisbrunet2031
@jean-francoisbrunet2031 2 года назад
La pièce m'avait enthousiasmé il y a 30 ans avec Trintignant et Dussolier, une sorte de glissement vertigineux des mots entrelacés aux indéfinissables sentiments et ressentiments; dans cette interprétation, je trouve ça plat, faux, fabriqué, presque du boulevard. Comme je me souviens, Trintignant et Dussolier avaient un côté névrotique, tarabiscoté, insinuant, pervers presque, qui rendait le texte naturel; ici (et dans une autre interprétation que je trouve sur RU-vid), les acteurs prennent un air normal, incarnent des personnages banals, francs d'encolure, ce qui rend le texte artificiel.
@chapeljoseph680
@chapeljoseph680 6 месяцев назад
quel jeu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
@etlavictimeetlebourreau
@etlavictimeetlebourreau 4 года назад
Ces émouvan
@dangeloantoine8166
@dangeloantoine8166 3 года назад
Merci. Antoine
@rzn.9588
@rzn.9588 3 года назад
Oue Muhamed Filip ou Yanis si vous passez par là bien ou quoi 🥶🥶🥶🥵shhheeeeesh
@muw9197
@muw9197 3 года назад
Bien et toi 🥶🥶🥶🥶🥶
@F3nn_
@F3nn_ 3 года назад
Sheeeeeeeeeesh mon reuf 🥶🥶🥶
@yougoslav6765
@yougoslav6765 3 года назад
Bien et toi🥶🥶🥶🥶sheeeeeeeeeesh
@laroyalgirl597
@laroyalgirl597 3 года назад
Est ce qu'il est complet?
@many7208
@many7208 3 года назад
toi ta pas lu livre pour tes devoirs
@dangeloantoine8166
@dangeloantoine8166 3 года назад
Oui. Le metteur en scène. Amitiés.
@LLawliet-uc4yk
@LLawliet-uc4yk 2 года назад
@@many7208 mais dcp c complet?
@Jessicarita452
@Jessicarita452 4 месяца назад
​@@dangeloantoine8166J'ai très aimé la pièce ! 👏 merci