PHILOSOPHER EN TEMPS DE CRISE n°31 - Qu’est-ce qui donne du sens à la vie ? (Wittgenstein) Bon visionnage ! Voilà le lien pour écouter l'émission sur France Culture. www.francecult...
C'est exactement le sentiment que j'ai pu ressentir lorsque je découvrais certaines poésies... ce déplacement dont vous parlez... cela fonctionne aussi avec la musique ou la peinture... c'est ce qui m'attire le plus dans l'art, sortir de son propre regard et s'émerveiller, ressentir sans avoir besoin de définir. Merci Fabrice 🙏
La philosophie est une invitation à l'écoute, à la compréhension des phénomènes et de la nature qui nous entoure à l'instant ou on les observe. Une manière à la fois simple et élaboré de découvrir le monde. Le questionnement, le sens des mots, la discussion, la sagesse et bien sur l'émerveillement. Merci pour cette discussion philosophique.
Merci pour cette belle et surprenante réflexion sur le sens de la vie. Cela m’évoque la fameuse phrase de Newton : *Ce que nous savons est une goutte, ce que nous ignorons est un Océan.* Finalement n’est-ce pas cela : Plutôt que de nous confiner tel un rationaliste moderne à démontrer à quel point nous expliquons la forme de cette goute, ne devrions-nous pas prendre le temps à nous surprendre de l’idée d’un océan qui est inaccessible à nos sens ?
Très court, très fort et très juste cet étonnement que le monde existe et que pour un temps j' existe avec lui et il existe en moi. Ça m'a rendu très joyeuse! Merci et bravo
Vous nous ouvrez à une interprétation plus humaine , plus réelle et ça me rassure car je culpabilisais beaucoup de ne pas être capable d'accepter et de vivre mes émotions. Merci !
Sens éthique, étonnement, deux mots employés par Fabrice Midal. Être saisi !, voilà, me semble-t-il, un mouvement qui origine de l'intérieur, que nous sommes en mesure de nommer : la grâce.
Je ne sais pas si vous lirez ce message l étonnement de la vie comme le dit ce philosophe a mon sens existerait sauf si on prend les deux variété VIE Mort dans une pensé qui est la vie est une exception et la mort une constante Càd une regle
Avoir placé l'éthique hors du langage comme le fait W. c'est vraiment avoir une conception étroitement "logicienne" du langage. Comme si celui-ci par exemple était incapable de se dépasser, ni de montrer ce qu'il vise hors des faits. Sur le principe ill ne peut y avoir d'"extérieur" du langage, car cela signifierait une pensée sans mots. Ce qui est absurde.--- De plus renoncer à dire l'éthique c'est tout bonnement "renoncer au droit" en in de compte. Une société est-elle envisageable qui ne dit pas ce qui est éthique et ce qui ne l'est pas?? ---- W; constitue un retour à une espèce d'empirisme logique qui implique un intuitionnisme obsolète.: des choses que l'on ressentirait mais qu'il faudrait taire parce qu'on ne peut les dire?? Mais monsieur W. je vous rappelle que la poésie est remplie de choses que l'on ne peut pas dire en langage univoque!! L'équivoque est inscrite au coeur même du "sens" puisque ce dernier ne peut être autre que "quête de sens". Votre thème de correspondance du logique et des faits révèle une vision fort statique et eronnée du langage et de la conscience humaine. Il me semble que vos tableaux de faits sont plutôt des tableaux de "fées".
