Quai d'Orsay, au coeur de la diplomatie française 

Un officier de l’armée, catholique. Ce n’est pas un avocat ou un banquier d’affaire…

D zzz

AHAHAH bien dit ;p

A Jérusalem.

Ils ont même créé un renvoi d'appels...

Ils sont tous des menteurs et des assassins les tiers des africains et africaines

Il fait parti de la "communauté."

​@@TheRightONe-et3ghEt comme par hasard, il cite Léon Blum...

@@harbaouimohamedmalek3390 natisimite

pour lui Alqmi et Nosra ont fait du bon boulot ..

Tu préfères monsieur le Maréchal Pétain, ma biche ? 😅 🤓 😁 😋 💩

La notion de « tiers monde » est un héritage de la Guerre Froide utilisée par des leaders comme Jawaharlal Nehru (indépendantiste Indien) pour qualifier les pays qui n'étaient ni du côté OTAN/Américain, ni du côté Soviétique (« tiers monde » signifie « troisième partie du monde » en fait). Aujourd'hui, ont parle plutôt de pays en voie de développement et beaucoup de ces pays ont quitté la voie du développement. Et la plupart des ces pays souffrent de leurs propres leaders. Donc ne sors pas le discours selon lequel la France serait un pays oppressif sur le reste du monde : les premières victimes des politiques menées par l'actuel gouvernement français, ce sont les français eux-mêmes.

@@sebastiaodavila9747 je ne vous crois pas mon pays change depuis qu'on a changé nos relations avec la France je vous parle en connaissance de cause pas par des informations....

​@@sebastiaodavila9747 On a vu, à l'échelle de l'économie mondiale, que le sous-développement et la colonisation sont des facteurs en interaction. Le 20 janvier 1949, dans son discours sur l'état de l'Union, le président des États-Unis Harry S. Truman utilise pour la première fois le terme « sous-développé », ainsi que le terme « développement », pour justifier l'aide aux « régions sous-développées » dans le cadre de la lutte contre le communisme et de la doctrine Truman. Il y déclara être du devoir des pays développés de diffuser leurs connaissances techniques et leur assistance aux pays en développement, pour que les niveaux de vie convergent vers les niveaux occidentaux. En 1952, le démographe français Alfred Sauvy et le sociologue Georges Balandier inventent le terme « tiers monde » pour désigner ces pays4. La fameuse expression « Tiers Monde », est initialement publiée dans un article dans L'Obs écrit en 1952 par Sauvy : « Nous parlons volontiers des deux mondes en présence, de leur guerre possible, de leur coexistence, etc. oubliant trop souvent qu'il en existe un troisième, le plus important […] C'est l'ensemble de ceux que l'on appelle […] les pays sous-développés […]. Ce Tiers Monde ignoré, exploité, méprisé […] veut, lui aussi, être quelque chose ». L'expression « le tiers monde », du fait de son caractère générique ne doit toutefois pas occulter les spécificités historiques et le contexte socio-politique de chacun des pays censés y correspondre. Le terme de « non-alignement » a été inventé par le Premier ministre indien Nehru lors d'un discours en 1954 à Colombo. La conférence de Bandung (ou conférence de Bandoeng) s'est tenue du 18 au 24 avril 1955 à Bandung, en Indonésie, réunissant pour la première fois les représentants de vingt-neuf pays africains et asiatiques dont Gamal Abdel Nasser (Égypte), Jawaharlal Nehru (Inde), Soekarno (Indonésie) et Zhou Enlai (Chine). Cette conférence marqua l'entrée sur la scène internationale des pays décolonisés du « tiers monde ». Ceux-ci ne souhaitant pas intégrer les deux blocs qui se font face, menés par les États-Unis et l'URSS, choisissent le non-alignement. L'expression « pays en développement » remplace des dénominations antérieures, jugées inadéquates, obsolètes ou incorrectes : les pays du tiers monde, les pays sous-développés. Elle s'est substituée à « pays en voie de développement ». La majorité des pays sous-développés ont été des colonies, puis au cours des années 1940 à 1960, ont vécu la décolonisation. L'objectif d'assistance aux pays les plus pauvres s'inscrit alors dans la continuation de la « mission civilisatrice » pensée par certains européens, laquelle était accomplie selon eux par la colonisation pratiquée par les pays d'Europe. Le terme pays en voie de développement n'est qu'une appellation parmi d'autres pour désigner un même type de problème. La manière de désigner ces pays change selon l'angle sous lequel on les aborde et selon les solutions envisagées pour remédier à leurs problèmes. Chacun de ces termes a des significations au-delà de son apparence première.

@@sebastiaodavila9747 On a vu, à l'échelle de l'économie mondiale, que le sous-développement et la colonisation sont des facteurs en interaction. Le 20 janvier 1949, dans son discours sur l'état de l'Union, le président des États-Unis Harry S. Truman utilise pour la première fois le terme « sous-développé », ainsi que le terme « développement », pour justifier l'aide aux « régions sous-développées » dans le cadre de la lutte contre le communisme et de la doctrine Truman. Il y déclara être du devoir des pays développés de diffuser leurs connaissances techniques et leur assistance aux pays en développement, pour que les niveaux de vie convergent vers les niveaux occidentaux. En 1952, le démographe français Alfred Sauvy et le sociologue Georges Balandier inventent le terme « tiers monde » pour désigner ces pays4. La fameuse expression « Tiers Monde », est initialement publiée dans un article dans L'Obs écrit en 1952 par Sauvy : « Nous parlons volontiers des deux mondes en présence, de leur guerre possible, de leur coexistence, etc. oubliant trop souvent qu'il en existe un troisième, le plus important […] C'est l'ensemble de ceux que l'on appelle […] les pays sous-développés […]. Ce Tiers Monde ignoré, exploité, méprisé […] veut, lui aussi, être quelque chose ». L'expression « le tiers monde », du fait de son caractère générique ne doit toutefois pas occulter les spécificités historiques et le contexte socio-politique de chacun des pays censés y correspondre. Le terme de « non-alignement » a été inventé par le Premier ministre indien Nehru lors d'un discours en 1954 à Colombo. La conférence de Bandung (ou conférence de Bandoeng) s'est tenue du 18 au 24 avril 1955 à Bandung, en Indonésie, réunissant pour la première fois les représentants de vingt-neuf pays africains et asiatiques dont Gamal Abdel Nasser (Égypte), Jawaharlal Nehru (Inde), Soekarno (Indonésie) et Zhou Enlai (Chine). Cette conférence marqua l'entrée sur la scène internationale des pays décolonisés du « tiers monde ». Ceux-ci ne souhaitant pas intégrer les deux blocs qui se font face, menés par les États-Unis et l'URSS, choisissent le non-alignement. L'expression « pays en développement » remplace des dénominations antérieures, jugées inadéquates, obsolètes ou incorrectes : les pays du tiers monde, les pays sous-développés. Elle s'est substituée à « pays en voie de développement ». La majorité des pays sous-développés ont été des colonies, puis au cours des années 1940 à 1960, ont vécu la décolonisation. L'objectif d'assistance aux pays les plus pauvres s'inscrit alors dans la continuation de la « mission civilisatrice » pensée par certains européens, laquelle était accomplie selon eux par la colonisation pratiquée par les pays d'Europe. Le terme pays en voie de développement n'est qu'une appellation parmi d'autres pour désigner un même type de problème. La manière de désigner ces pays change selon l'angle sous lequel on les aborde et selon les solutions envisagées pour remédier à leurs problèmes. Chacun de ces termes a des significations au-delà de son apparence première.

On a vu, à l'échelle de l'économie mondiale, que le sous-développement et la colonisation sont des facteurs en interaction. Le 20 janvier 1949, dans son discours sur l'état de l'Union, le président des États-Unis Harry S. Truman utilise pour la première fois le terme « sous-développé », ainsi que le terme « développement », pour justifier l'aide aux « régions sous-développées » dans le cadre de la lutte contre le communisme et de la doctrine Truman. Il y déclara être du devoir des pays développés de diffuser leurs connaissances techniques et leur assistance aux pays en développement, pour que les niveaux de vie convergent vers les niveaux occidentaux. En 1952, le démographe français Alfred Sauvy et le sociologue Georges Balandier inventent le terme « tiers monde » pour désigner ces pays4. La fameuse expression « Tiers Monde », est initialement publiée dans un article dans L'Obs écrit en 1952 par Sauvy : « Nous parlons volontiers des deux mondes en présence, de leur guerre possible, de leur coexistence, etc. oubliant trop souvent qu'il en existe un troisième, le plus important […] C'est l'ensemble de ceux que l'on appelle […] les pays sous-développés […]. Ce Tiers Monde ignoré, exploité, méprisé […] veut, lui aussi, être quelque chose ». L'expression « le tiers monde », du fait de son caractère générique ne doit toutefois pas occulter les spécificités historiques et le contexte socio-politique de chacun des pays censés y correspondre. Le terme de « non-alignement » a été inventé par le Premier ministre indien Nehru lors d'un discours en 1954 à Colombo. La conférence de Bandung (ou conférence de Bandoeng) s'est tenue du 18 au 24 avril 1955 à Bandung, en Indonésie, réunissant pour la première fois les représentants de vingt-neuf pays africains et asiatiques dont Gamal Abdel Nasser (Égypte), Jawaharlal Nehru (Inde), Soekarno (Indonésie) et Zhou Enlai (Chine). Cette conférence marqua l'entrée sur la scène internationale des pays décolonisés du « tiers monde ». Ceux-ci ne souhaitant pas intégrer les deux blocs qui se font face, menés par les États-Unis et l'URSS, choisissent le non-alignement. L'expression « pays en développement » remplace des dénominations antérieures, jugées inadéquates, obsolètes ou incorrectes : les pays du tiers monde, les pays sous-développés. Elle s'est substituée à « pays en voie de développement ». La majorité des pays sous-développés ont été des colonies, puis au cours des années 1940 à 1960, ont vécu la décolonisation. L'objectif d'assistance aux pays les plus pauvres s'inscrit alors dans la continuation de la « mission civilisatrice » pensée par certains européens, laquelle était accomplie selon eux par la colonisation pratiquée par les pays d'Europe. Le terme pays en voie de développement n'est qu'une appellation parmi d'autres pour désigner un même type de problème. La manière de désigner ces pays change selon l'angle sous lequel on les aborde et selon les solutions envisagées pour remédier à leurs problèmes. Chacun de ces termes a des significations au-delà de son apparence première.

learn french.

Pas seulement la démocratie, toute la France

Portant les multinationales sont la moitié du pib français

👩🏻‍✈️👩‍🚀😮

Poutine c’est exactement la même pauvre crétin