Quand les Mineurs vivaient dans les baraquements 

Quand nos ancêtres faisaient grandir la France à la sueur de leur front. Respect et gratitude !

Quand je vois ces images et que je pense aux sacrifices qu'ont fait ces mineurs et les gens de leur génération, j'ai honte. J'ai honte de voir ce qu'est devenue la France, j'ai honte de la faiblesse des syndicats et de la veulerie des partis politiques qui ne travaillent plus que pour eux... Pourtant L'AVENIR ÇA S'INVENTE !

Super reportage. Né en 52 Creutzwald je me rappelle de quelques baraquements à la cité Nassau. Une photo aussi avec la SAMER les épiceries des mineur lorrains. Bravo et génial ce reportage. Si on pouvait connaître quelques endroits ce serait une fameuse plus-value. Je ne pensais plus à tout ça, mais quelle explosion : je m'aperçois que je n'avais rien oublié. Mon père bossait aux HBL On était en cité ni riches, ni pauvres, on n'avait pas d'orgueil, pas la flemme, juste la fierté d'avancer dans la vie à fond en ne comptant que sur nous sans pleurnicher qu'une société ne nous entretenait pas. Pas de racisme, mon école était pleine de Polonais, d'Italiens et parfois il y avait bien quelques différents mais pas une atmosphère générale. Dans ma cité y avait du Rital, du Polak, du Lorrain, du Français... de l'intérieur et je me rappelle très bien nos parents jouer aux cartes ensembles, boire des bières se passer des outils. Bref une sérénité crée par un emploi sûr sans le goût immodéré du genre humain pour se croire le meilleur. Des gens aussi qui avaient vécu la guerre et avaient l'immense expérience d'avoir vécu le néant et le drame en même temps. Ils savaient que la vie avait un prix , que rien n'est gratuit. Alors vivre en baraque c'était le tarif mais tous savaient qu'un jour ils auraient un beau logement. L'espoir est le premier moteur du bonheur. Aujourd'hui le mental s'est déplacé dans le confort bourgeois d'une société qui veut créer des rentiers immédiats.

j'ai beaucoup d'admiration pour les gens du nord ils sont courageux et pourtant la vie était si dure ! ils gardent une joie de vivre et ce battent sans relache ! vraiment bravo a vous tous

Malgré la dureté de la vie, des sourires partout, adultes et enfants bien tenus, des jeunes filles coquettes, des fleurs dès que possible dans ces baraquements - et pas de drogués, pas d'enfants inadaptés ou médicamentés, d'adolescentes anorexiques, de femmes dépressives : les mineurs de ce temps-là étaient plus heureux que nous.

Pourquoi on aime cette époque même si on est pas de la même génération... ?❤

Très belles photos. Merci infiniment de les avoir pertager

Très belles photos belle époque les mineurs un métier très dur et de belles personnes merci à vous

Merveilleux souvenirs de ma famille maternelle dont les hommes travaillaient à la mine. C'était à Lamure sur Isère (sur la route de Gap) Les maisons de la cité minière avaient été construite en dure avec WC a l'intérieur, un vrai confort. Ayons une pensée pour tous ces hommes décédés de la silicose. Douce musique très appréciée.

Magnifiques photos des gens simples mais heureux.... Merci pour ce partage ! 🖤☀️🖤☀️🖤☀️🖤☀️

Merci Marcel un grand merci mais que de nostalgique. La musique est magnifique de nous emporte dans une époque tellement lointaine, vraiment sur une autre planète. Continuez à nous faire rêver Marcel ça nous fait tellement du bien!🎈❤💚💛🥰

J'ai vécu avec ma famille dans des baraquements à Périgueux et j'en garde un bon souvenir car nous avions appris ce que c'était le partage entre gens pas très riches....notre meilleur école de la vie....

Une toute autre époque où existait une grande solidarité entre les habitants des cités minières. Attention, cependant, à ne pas idéaliser trop... Le métier de mineur était extrêmement dur et risqué, la silicose faisait des ravages, peu de mineurs pouvaient profiter longtemps de leur retraite... Et très peu voulaient que leurs enfants descendent à la mine.

Merci beaucoup , la photo de 1,36 à 1,42 ce sont mes parents 😍❤🙏🙏

Que de sourires. Merci Marcel

une vidéo qui me touche vraiment car moi-même , je suis né en 1952 dans un de ces baraquements des houillères . ( le temps que mes parents récupèrent une maison en briques ! ) que de belles mais dures images d'une période déjà si lointaine ...........

Bonsoir et merci Marcel pour ces photos dures et souriantes ! malgré les maigres salaires les gens étaient soudés et se rassemblaient pour des petits moments heureux! les gens du Nord sont pleins de générosité ! ! il y avait de l'entraide , c'était naturel ! merci à Alfred Goldstein pour la musique ! elle m'embarque depuis que je l'ai découvert sur RU-vid . Bonne soirée. Eliane

Super beaux vos photo-montages Marcel! Merci!

j ai connu la vie des barraquements ,en 1957 puis avons habité la cité ,maisons de Monceau Fontaine a Pieton pere travaillais aux bois des vallées ,a Carniere puis au Martinet ...meme a Marcinelle au bois du cazier ...avant la catastrophe beaucoup de ces collegues ont disparu lors de la catastrophe ,ont ramassait les galliettes sur le terril ,pour nous chauffé ,parfois la mine donnait un bon de 500 klg de charbon ,une belle solidarité que je n oublierai jamais ....dans la cité c était dur ,mais ont étaient habitué ...merci pour ce beau reportage

Que de souvenirs Marcel dans ces corons en briques.... J'ai passé mes 15 premières années. J'allais chercher de l'eau à la pompe pour aider maman... En regardant tout remonte à la surface... Bravo super montage 👏😉

Travail très dur et risques importants ; mais c’est gens étaient tous solidaires ; c était comme une grande famille ! Aujourd’hui c est tout le contraire ; c est chacun pour sois ! Il n y a que le fric qui compte

Merci pour le partage, la tante de mon père habitait un baraquement a avion ,on disait au 8,j'y suis allee, l'habitat était très bien entrenu, il n'y avait pas de salle de bain .cela se passait dans les annees 7o.

MERCI TRES BIEN A VOTRE VIDEO Mr MARCEL🤠🤠👍👍💗💗🍵🍵

C'est drôle mais ces gens ne cherchaient pas la victimisation à outrance. C'etait juste des français. Pauvres.

Les gens se contentaient de peu et tout n'était que du bonheur ! A certaines périodes , ils n'avaient même pas de quoi se chauffer et pourtant ils étaient heureux !!!

Merci pour se partage je suis né dans un baraquements à aniche rue du moulin blanc en 1966 nostalgie !

MERCI pour se reportage les jeunes devraient voir cette vidéo aujourd'hui les jeunes 30 ans achetent déjà leur maison NOUS quand on voulait acheter le credit était 14/15% sur 30ans

Bonsoir Marcel et oui ceci devait être dur et dans l ensembles les Personnes restaient souder avec cette vie j imagine dur pas facile surtout ce travail qu' ils ont réaliser sincèrement merci de ces Photographies Magnifiquement belles et en plus toujours un sourire c est beau merci tu peux êtres Fier Marcel de cette Vidéo bisous de ce Jeudi soir DANNN

Etes-vous sûr que ce sont des photos du début du siècle dernier, sachant la valeur de la photo dans les années1900/1920. Les mineurs à la sortie de la 2ème guerre avaient des difficultés à acheter des vêtements, ils travaillaient avec des vêtements très usés.

hey oui c'est grace à eux que l'ont pouvait se chauffer l'hiver un grand respect à tous ces hommes.

Pourquoi les mineurs??? Avec mes parents je vivais aussi en baraque et mon père était maçon. Tous les autres des quartiers de baraques étaient à la même enseigne, même notre docteur, car il n'y avait plus de logements, les ricains et les anglais avaient tout détruit.

Merci ca me fait penser a mon enfance avec mes parents mon frère Jacques et ma soeur odette Mille merci 👏🙏

Jai connu une tente vivre dans ceux en bas de la rue cote d'ivoire à coté du terrils avant d'être détruit .L hiver elle faisait fondre de la neige pour avoir de l'eau pou le ménage et autre et ma grand mère vivait 3 rue cote d'ivoire. Hennion Laetitia .Bon souvenir.

trop beau et belle vidéo ; j ai un grand respect pour ses gens courageux qui produisais notre énergie a cet époque et ils arrivaient de temps en temps a prendre la vie du bon coté

tant de sacrifice mais on etait heureux

Merci beaucoup Marcel pour cette merveilleuse vidéo. Rien à faire, j'aurai vraiment aimé vivre cette époque ou certes difficiles mais plus sincère , honnête ,courageuse qu'aujourd'hui. La très belle musique se marie bien avec ce délicieux reportage. Merci encore Marcel.😪 Souvenir du temps qui passe.

Au-delà de l'émotion, pensons à tous ces émigrés comme mon grand-père arrivé en Belgique en 49. Sans autre choix que la mine et les baraquements. Sans se plaindre. Il a fait venir sa femme et ses enfants, dont mon père, 5 ans plus tard. Je suis né moi même dans ces baraques. Aujourd'hui les migrants veulent une maison, un boulot et du pognon. Qu'ils aillent se faire foutre.

Merci pour ces images...c'est vrai ...ça me fait battre le coeur...moi,j etais près d Angers ,je suis né en 1955,mais des baraques comme cela,j en ai vu...je pense que elles ont été construits pour les mineurs des ardoisieres ....moi,je suis pas du milieu...faudrait demander aux anciens mineurs...mais dépêchons nous,...le temps cavale ....😚

Merci monsieur Marcel. Belle vidéo qui nous permet de découvrir. De voir ces photos on devrait réfléchir avant de se plaindre. Bel après-midi 😃

L'avantage à l'époque, il n'y avait pas de télé donc les journaleux des chaines d'intox ne pouvaient pas sévir et on avait à faire à de vrais journalistes à la radio et sur les journaux..

Merci Marcel pour cette vidéo qui me rappelle avec beaucoup d'émotions mon arrière Grand'mère Sophie, lorsque tout petit, je lui rendais visite dans le baraquement qu'elle habitait à Abscon.

Quelle musique ! Ca m en donne des frissons ,et en totale harmonie avec les images .Bravo

Merci Marcel cela releve dautant la grandeur de cette video !!!!

et bien en ce qui me concerne je n'ai pas connu : Bonne soirée Marcel Amitié Pierre

C'est de la que je viens, comme mes parents et leurs parents avant eux, et même si ils étaient quasi réduits à la servitude, mon Dieu j'en suis fier ,...

en ce temps là.......il n' y avait pas de commerce illégal de farine !

Pas de Macron ni de Jean Michelle

En ces temps là, c'étaient de vrais hommes, durs dans leur façon d'être car le contexte l'exigeait, mais avec un coeur immense. Et les femmes, étaient en permanence dans l'inquiétude quand retentissait la sirène annonçant un accident ou un coup de grisou, qui leur disait qu'elle avaient peut-être perdu le père de leurs enfants, leur époux. J'ai appartenue à cette catégorie d'hommes.

Min père à Denain. Au top Marcel.

Dans ces images je revoie mes racines mes origines ont vécu de la même façon en 1947 dans le pas de Calais

je suis une fille d un papa mineur de fond oui c était une époque chaleureuse les gens étaient gentils mais la vie de mineur etait dangereux pénible mais on était heureux mais une vie pour les mamans rudes par leurs ménage lavé le linge dans des lessiveuses ont prenaient le bain dans des bacs en fer l e feu a charbons qu il fallait allumé tous les jours ont étaient heureux on avait du respect envers les parents en sachant que la vie de mon père mineur etait a tout moment dangereuse au fond de la mine

Il convient aussi d'écouter attentivement la chanson "Jaures" du dernier album de Jacques Brel . Dans les années '50, même après la relance économique portant le nom de "Plan Marshall", les conditions de vie des mineurs et leur famille n'avaient pas évolué de manière significative. Les photos rappellent bien ces conditions sociales.

GRANDIOSE 👍 💕

Merci! Très émouvant!

Les plus beaux moments de ma vie

Né en 53 je n'ai aucun souvenir de ces baraquements dans les mines du pas de Calais, mais j'ai peut-être oublié. Gérard.

Merci pour cette vidéo 👍👍👍🎩🎩🎩🎩🇫🇷🇫🇷🇫🇷👍👍👍🎶🎶🎶🎶🎶🎶🎶

Surtout la musique 🙏😪

Je suis né en 1940 à denain. Je n'ai aucun souvenir de l'existence des ces baraquements

Au début du siècle dernier avec une deux cv ? plus certainement après la deuxième guerre mondiale , jusqu'aux débuts des années soixante ...

Le bonheur à travers les regards, et pourtant la vie était autrement plus difficile que celle de maintenant.. Merci Marcel pour ces instants de nostalgie qui me font du bien😢❤

MERCI DE cette belle video et belle musique qui rappelle la vie de nos ancetres plein de solidaridarité et moins de violence comme notre ere 2022

Modestes, travailleurs et dignes. Pas de Gilets Jaunes à ces époques-là.

Famille nombreuse avec un seul salaire crevé pas le temps de voir ses enfants grandir et la contraception s'exercer comment ?

bonjour moi aussi j ai connu les baraquements sur Fresnes sur Escaut années 67 a 70 la cite était le trouez des bons souvenir

Mon grand père maternel était un mineur de fond. 🍀

" LOVE STORY " c'est quoi un AVC ? entr'aùtres ???? DANS LE 30 170 ? yogi ou yoga ?

🌺❤️🌺

Merci

Les Européens blancs privilégiés...

M

Beau partage ,la vie avant était un conte de fée ,les gens vivaient malheureux, mais heureux super vidéo j'adoreeee 👍👍👍♥️

Saluton Fille de mineur dans les houillères des Cévennes Je vous remercie pour votre vidéo. Mes grands parents avaient ces baraques Mes parents en 1953 on eut droit dans la petite cité des espagnols 2 grandes pièces en dur conford minimum et petit jardin Un métier très dur et tj l angoise des coups de grisou dans la mine Mais heureux avec toutes ces petits cités dont la mains d'œuvre etaient Italien espagnol polonais algérien marocain français ect ect Et la tu es dans la profondeur de la terre Solidaires entre tous Frate