La première fois ,que j'ai écouté cette belle chanson' j'ai eu des larmes ' comme quand j'ai entendu la Montagne de Jean Ferrat ' car ces 2 chansons ' m'ont 'rappelé 'ma jeunesse ' la pauvreté , la fuite vers la ville ', les grandes villes ' des destructrices de Vie ' et cela continue ... le fric contre la Vie ...
La première fois que j'ai entendu cette chanson avec ces paroles, ,sur l'air de la chanson de Jean FERRAT, , je l'ai entendue au Mas de "Bardouine" en plein coeur de la Camargue, c'était lors d'un repas entre Amis , et c'est Monsieur le Maire de l'époque qui l'interprétait très bien , étant lui même un pur Camarguais J'en ai encore les frissons Un ex Santen qui a vécu 40 ans là-bas
S’il n’avait pas un beau jour posé ses valises sur les bords de la Volone mais quelque part au milieu des bras du Rhône, aux Saintes Marie peut être, monsieur Jean aurai put sans doute écrire ces paroles.Merci madame pour ce petit clin d’œil a un grand poète.
En écoutant cette chanson ça m'a rappelé des souvenirs que je suis allée en Camargue ou je suis montée à cheval destiné au guardian et je suis même assistée à l'abattage du taureau dans l'arène et on l'a degusté c'était très bon. Ca remonte à mes années de classe découverte au temps de ma primaire. Merci de m'a fait rappelé. Bonne continuation et bon chance.
Voilà ce que j'ai, mais ce ne sont pas les paroles exactes de Francis Amphoux (sauf a priori premier couplet) fa, sol,do,fa,sol,do,fa,mim,fa,sol,do. Coda : do,fa,do,fa,do. Un pays entre mer et ciel, des chevaux blancs sous le soleil, dans le fond des taureaux qui chôment. Et là bien adossée au vent une cabane de gardian affalée sous un toit chaume. L’étalon s'en va hennissant parmi les roseaux frémissants au vent léger flotte sa crinière et le poulain insouciant gambade tout près de l'étang sous l'œil attendri de sa mère. ref : C’est vrai, que la Camargue est belle Comment peut-on l'imaginer sans sansouïre et sans saladelle amis, y avez-vous pensé ? Un port gluant de carburant de gros engins vociférants surmontés de grues gigantesques tout a été épargné et notre paradis camarguais est devenu l'enfer ou presque des fumées de la pollution de toute part c'est l'invasion et le progrès que rien n'arrête des routes que l'on a bitumées qui sans ménagement ont chassées le vieux cheval et sa charrette ref. L’un après l'autre ils sont venus tous ces promoteurs farfelus qui soucieux de reconstruire restructurer aménager notre beau pays camarguais ont bien failli oui tout détruire laissez la Camargue aux taureaux aux flamants roses et aux chevaux et offrez votre architecture aux gens qui ne connaisses pas et à ceux qui ne savent pas lire au grand livre de la nature
TRÈS BELLE CHANSON ET TRÈS BIEN CHANTÉE : MAIS RÉTABLISSEZ LA VÉRITÉ... CETTE CHANSON N'A PAS ETÉ ÉCRITE NI MÊME CRÉÉE PAR RÉGINE PASCAL LES PAROLES SONT DE FRANCIS AMPHOUX !!! ET ELLE A ÉTÉ CRÉÉE ER ENREGISTRÉE SUR UN 45 TOURS EN 1992 PAR LE DUO PLEIN CIEL !!!
Bonjour Jean-Marc !Je suis à la recherche des paroles originales. Chacun chante cette chanson à sa manière, ce qui n'est pas un mal en soi, mais j'ai grande curiosité d'avoir l'original de Francis Amphoux !Merci pour ton aide,