Remarquable ! je comprends si bien l amour de Marie Jo pour son Papa, moi qui ne sait pas qui est le mien et qui rêvait , éveillée, d en avoir un, d être aimée. totalement de Lui ! Combien de fois lors de mes balades , j étais dans des rêves , je m inventais une vie où je le faisais vivre et qu il me chérissait ! Cet entretien me touche donc infiniment et me va droit au cœur car tout me parle dans les propos de cet Homme d exception ! Merci de ce partage
Après tant d'années... Ce qu'il dit à propos de l'éducation des enfants n'a pas de sens. Mais je le remercie car tous les soirs je m'endors en écœurant les histoires de Maigret !
Bien sûr que si il y fait sens...chaque époque a des codes sociaux qui lui sont particuliers et qui n ont plus cours dans les époques suivantes ...bref moi je trouve au contraire ce concept très intéressant
Monsieur Simenon, a vécu pendant la guerre à la Rochelle et à causse des bonbardements à ,l' 'Houmeau à côté de la ville aux deux tours Cela fait plaisir qu' il est apprécié la patrie de Goulebeneze et le climat de Charente-Maritime...
Dans une 'radioscopie' , Jacques Chancel dit à Brigitte Bardot : "vous jouez les jeunes filles" , il voulait dire psychologiquement, eh bien BB à été vexée, à sa place je l'aurais été aussi je crois. Elle avait 36 ans à ce moment là.
@@samirsan9105 non c'est faux, il est un grand interviewer. Il pose juste des questions sans prendre milles pincettes, d'égal à égal, et sait écouter quand il faut écouter, ou interroger quand on a besoin d'explications etc, il est bon.
@@karined8237 Bonjour , et puis Jacques Chancel avait été reporter et avait couvert des théâtres de guerre , l'Indochine par exemple , il en avait vu d'autres . Pour lui , ce n'était rien.
Cher Joachim, je vois invite à lire « l’aîné des Ferchaux » ou « le petit homme d’Arkangelsk » ; ouvrages (parmi d’autres) de Simenon sans Maigret. Vous constaterez par vous même, son immense talent d’écrivain.
Terrible méconnaissance de son oeuvre ! On disait souvent de Simenon que c'était le Balzac du pauvre. Pour moi c'est bien le contraire ! Prenez Camus, Céline et ce monsieur et vous avez la fine fleur de la littérature francophone du 20e
