Un grand homme qui nous montre ce qu'on n'a toujours su mais qu'on n'aime pas s'avouer. Avec l'explication la plus claire que j'entendu sur les neurones miroirs. je viens de le découvrir et il me manque déjà !
@@sylvainm757 comment perdre tout crédit en une phrase "l'allumé qui se prenait pour un phare" alors oui j'imagine que ce genre de phrase fait un peut jouir le petit dominant de bureau 🙃, rené pommier qui sent le seum comme dirais les djeunes .. mais sa plais dans les milieu autorisé 😂 le clash j'imagine les universitaires avec leur 12 centimètre pièce qui n'a pas servi les 6 dernier mois dressé vers le ciel
Deux remarques Primo pourquoi ça ne passe pas à la TV ce genre de conférences... Suivie par un débat d'idées pourquoi pas Et Secundo Je pourrais écouter l'orateur pendant 8 h non stop Tertio Ce type est un génie
Bonsoir à la télé il ne faut pas réveiller les esprits endormis pour mieux les manipuler je ne connais pas très bien ce Mr je le découvre bonne continuation
tu la sens la coupure pub au milieu de la conf ? c'est pas sérieux. la télé, du fait de sa vacuité, est un outil de l'ancien monde à jeter dans votre poubelle.
sauf que les pouvoirs sont reservés a des psychophates de toute accabis ( ils s'entraide et se font elire par toute les ruses et monsonges)depuis la nuit des temps.......dans tout les pays.
Merci pour la richesse de cet exposé qui, 7 ans plus tard revêt encore plus de sens, pour ce qui me concerne... En conclusion, je voudrais savoir si nous pouvons admettre que la famille, première structure sociale, peut être aussi être le lieu de désignation d'une victime expiatoire, et ce afin de générer une forme de cohésion de ce groupe.
Je pense que oui, si ça t'intéresse c'est un sujet que j'ai vu abordé dans la méta-genealogie de Alexandro Jodorowsky, c'est une approche assez mystique mais ça reste très intéressant.
Bonjour je vous conseillerais également de lire " les vilains petits canards" de Boris Cyrulnik comme le conte auquel fait reference le titre du livre, il est possible à un etre humain après en avoir souffert (d'être désigné comme le "vilain" ( choisir l'acceptation moyennageuse plus étendue qu'aujourd'hui) de rêver, se laisser transporter par ses rêves afin de deployer non seulement ses ails mais son long cou de cygne et s'envoler vers sa liberté (si chèrement gagnée) en reconnaissant aussi que cette epreuve fut nécessaire à l'accomplissement de ce qui nous apparaissait comme un miracle impossible. Sans rancoeur mais avec reconnaissance (le coeur leger donc) on peut ouvrir un nouveaau chapitre bienveillant, chaleureux, joyeux même ! Signé : un feu vilain petit canard Bonne lecture, bon voyage ! Namasté
@@patriciajob7829 , je vous remercie pour votre conseil. Cependant, vu pour ce qui me concerne, le rôle qui m'a été assigné, j'ai toujours mis un point d'honneur à défendre " bec et ailes" les choix que j'ai fait, quoiqu'on en pense et en dise 🙂 🙏
La famille est le berceau de la Domination (parent/enfant) ; il ne serait donc pas étonnant d'y retrouver les phénomènes d'agressivité puis de violence s(de rivalités pour le contrôle du territoire, forme archaïque du Pouvoir). De là, a tirer des conclusions sur la généralisation dans ce cadre de la figure expiatoire du bouc émissaire, peut-être pas...
Une intervention , qui pousse la réflexion, sur la réelle nature de notre propre conscience et notre véritable identité en tant que personne vu par personne(s) à travers les hommes et l'homme. Ce simple Merci , qui n'est en réalité pas un simple merci.
Dérrida reste un immense philosophe N’est pas génial qui veut. Girard est brillant mais il doit faire une plus grande place à Rousseau. Dont il parle fort bien.
L’intelligence artificielle peut s’accrocher à son mythe tout puissant…elle n’arriverait que maladroitement à la cheville de ce penseur extraordinaire, digne des plus grands de l’histoire humaine ! 🌿✨
A quoi servirait la culture générale si ce n'est que pour exhiber un faux semblant d'intelligence ? On peut simplement être curieux et écouter ce que quelqu'un raconte
@@oiseaudeminerve1478Avec tout mon respect, Oiseau de minerve est bête, et René Pommier se croit très malin … Allez, les opinions sont libres 😅 croyez ce que vous voulez !
ça part d'un présupposé qu'il faudrait tester: la violence vient uniquement de la rivalité. Mais dans ce cas, pourquoi y a-t-il des viols? En quoi y a-t-il rivalité dans ce cas ? Et les conjoints violents, est-ce uniquement par rivalité ? ça ne me parait pas certain. Ou du moins, j'aurais aimé une exploration des différents cas de violences, parce que l'affirmation qu'elle est basée uniquement sur la rivalité me semble non étayée. Qu'elle soit une cause, c'est certain. Qu'elle soit la cause unique, j'aimerais qu'on m'en fasse la démonstration. Pas hyper convaincue par cette thèse qui me semble partielle.
Tout comme le cancer est un processus parasite de la division cellulaire, les meurtres et viols sont des phénomènes parasites à la violence originelle. Tout comme cette violence induite par la rivalité induite par les neurones miroirs est un phénomène parasite de la rivalité. La vie est un processus imparfait qui essaie toute le spectre des possibles avec de nombreux échecs et de nombreux effets non désirables.
Dans le cas d'un viol, la rivalité peut se traduire par le fait que le violeur est en compétition avec les autres individus sur le marché de la séduction. Ne parvenant pas à dominer la concurrence, il se retrouve frustré et désespéré et fini par tenter d'obtenir par la force ce que ses rivaux parviennent à obtenir par la séduction. Dans le cas d'un mari violent, la violence et l'emprise qu'il exerce sur sa femme est une manière pour lui de s'assurer que les autres hommes (ses rivaux) ne pourront pas la séduire car elle lui est soumise Ce ne sont que des suppositions mais cela peut être une manière de retrouver la rivalité comme cause de la violence pour ces deux exemples
La rivalité en ce cas se joue pas le fait que la femme détient, par ce qu’elle peut séduire, un pouvoir que l’homme n’a pas. Bcp de femme n’ont pas conscience de cela….mais cette capacité à être désirée, quand l’homme, lui, quand il se regarde, n’est en rien désirable, crée de fait une rivalité…de plus la femme est la mère des enfants. Les enfants aiment leur mere, et donc là encore l’homme (s’il ne sait pas complètement réfléchir, mais cela fait bcp de monde…) se sent aussi exclu de cette relation. Finalement, beauté, seduction, maternité etc….tout met la femme en avant dans la société au détriment de l’individu de sexe masculin. Pour une personne qui n’est pas structurée correctement, cela engendre vite la violence…
Je n'adhère pas à ce discours que je trouve suranné. La psychologie introspective de Paul Diel que je pratique(c'est pas une preuve) établit que la violence est liée à la peur. Celle-ci engendre deux réactions contradictoires: attaque ou fuite ces deux forces opposées si elles sont égales s'annulent. Ça s'appelle l'inhibition. Les pulsions de bases font nos désirs sur le monde extérieur avec au gré, satisfaction ou insatisfaction, avec à la clé joie ou souffrance. Nos imaginaires excités font nos films, par ex: amour/ partagé ou égocentrisme débridé jusqu'au geste de trop. La peur est immédiate( obstacle) dans l'imaginaire, c'est l'angoisse. La peur nait de l'ignorance, de l'étrange, de l'étranger, c'est le travail personnel d'élucidation qui libére de la peur, loin des à priori et des ragots. C'est la montée des inégalités qui amène le couple peur/ violence, les infos tronquées et partisanes et les faits divers qui font diversion....
"quitte à me faire traiter de catho" ben voyons.. ce n'est pas comme ci toute la philosophie de Girard était poussé par son catholicisme.. non, non, surement pas... juste un hasard.
Lis René Pommier sur Girard. Ainsi qu'un livre de Bernard Dubourg ( j'ai oublié lequel mais peut-être est-ce L'invention de Jésus) , où il explique que Girard fait un énorme contresens sur le mot paraclet. Je te conseille de lire également René Pommier sur Freud. On trouve beaucoup de textes de Pommier sur son blog. Girard n'a évidemment jamais répondu aux textes de Pommier... Il n'avait aucun argument à lui opposer.
Didier Vidry yavait des gens biens à Stanford y’a 30 ans. Je me souviens y avoir partagé un camembert avec Michel Serre. Maintenant dans ces départements il n’y a plus que des #metoo agressives et incultes. Il doit y avoir une leçon girardienne là dedans. Elles voulaient les « jouets » des vieux mâles (des postes de profs) et les ont transformés en kommandantur. Henry Kissinger once said: “The battles were so ferocious because the stakes were so small. » Je cherchais où j’ai (re)trouvé cette citation que je pensais être de Thiel. Dans un post de blog sur Thiel et Girard, son prof. www.perell.com/blog/peter-thiel
Je trouve ça très intéressant mais la partie sur la psychologie est très mal exprimée ou trop vulgarisée parsque ça ressemble à beaucoup de sophismes en faisant appel à des concepts qui n'ont pas forcément de rapport sans les prendre dans leur globalité mais juste comme arguments d'autorité scientifique
Démonstration majestueuse des horreurs du désir mimétique. L'intronisation de Jésus comme victime innocente, fait retomber la culpabilité sur les chrétiens. Vous avez Monsieur Girard, un esprit incisif, et agitateur de la pensée, qui nous manque aujourd'hui.
Génial René Girard ...Sauf sur la fin.Le nationalisme n'est pas nécessairement polarisation face à un ennemi extérieur , il peut aussi être avant tout le souci des siens , le souci du bien commun comme on disait jadis.En cette période de mondialisme désastreux pour les prolétaires européens il est bon de le rappeler.Sur ce point Girard reste un homme de la seconde moitié du 20 ième siècle.
Être nationaliste c'est opposer ceux qui sont dans les frontières/partagent une même culture et les autres. C'est une vision du monde qui se focalise sur les différences, en réponse à de la peur.
Il est important de faire le distinguo entre nationalisme et patriotisme. Le nationalisme c'est la religion de la nation, alors que le patriotisme c'est juste aimer son pays et être naturellement prêt à la défendre s'il est attaqué. Notre mondialisme actuel qui veut la destruction de toutes les frontières en nourrissant un multiculturalisme délirant qui nous conduit droit dans le mur est davantage le miroir inversé du nationalisme.
Dans le christianisme donc, l'image du sacrifice universel du Christ qui par ce caractère universel rend ce sacrifice absolu tente de réconcilier non pas un clan visé ou bien une tribu visée mais bien l'humanité tout entière, ce qui rend le Christ dans l'histoire complètement exclusif et unique.
Si peu d’intervenants dans les médias en cette période de guerre font référence à René Girard ! Quel gâchis … ! ( la guerre c’est du sang et de la merde ! dixit un ambassadeur de France citant un oncle au retour de 14 . )
À mon sens la partie un peu dangereuse de cette thèse réside dans le fait qu'elle légitime cette violence sacrificielle. Il est évident que nos dirigeants peuvent s'emparer de ce concept pour justifier certaines manipulations d'État pour apaiser voir museler le peuple. Il serait peut-être intéressant de faire le constat de ce mécanisme comme résultant de dérives et proposer un autre système dans lequel la violence ne serai pas transactionnelle, pas justifiée, mais symptomatique de l'urgence d'un changement de fonctionnement sociétal et politique.
Si vous croyez que la thèse de Girard "légitime cette violence sacrificielle", c'est que vous n'avez strictement rien compris à ses propos (et, probablement, que vous ne l'avez pas lu) : son oeuvre consiste précisément, au contraire, à expliciter en quoi consiste la fausse solution que représente le mécanisme du bouc-émissaire.
@@mistercroche915 Pour Girard la crise mimétique qui conduit au lynchage collectif d'un seul individu , qui ainsi rétablit la paix bien malgré lui, et bien malgré le groupe ainsi apaisé "mécaniquement" de ses tensions, cette crise mimétique et sa résolution originelle, ensuite reproduite volontairement dans le rituel sacrificiel de façon récurrente pour prévenir tout retour de la crise interne , ce mécanisme socialisant aveugle, inintelligent, ne peut fonctionner que dans l'inconscience , l'incompréhension de leurs propres actes par ceux qui les commettent...Cela ne fonctionne que tant qu" 'ils ne savent pas ce qu'ils font".
Mécanisme socialisant inconscient qui peut bien évidemment être utilisé par un pouvoir parfaitement conscient pour contrôler des populations naïves ...Les thèses de Girard sont comme un ouvrage dénonçant la sorcellerie et qui en donnerait le mode d'emploi tout en enjoignant de ne surtout pas l'utiliser...hum, tentant pour certains...
Souvent je me dis que notre détestable, caricatural, présent est une sorte de démonstration, par l'absurde, de la pertinence chrétienne; cet anthropologue littéraire méconnu qu'aura été R. Girard, entre la Bible monumentale,... révélatrice ! et une certaine littérature particulièrement anthropologiquement chargée, nous place très immédiatement dans l'évidence chrétienne....
Même pour qui est familier avec ses thèses, il me semble que dans cette conférence il rhapsodie particulièrement bien à partir d'elles, que ça ajoute quelque chose.
Les français devraient fréquenter les universités étrangères en particulier les universités iraniennes et japonaises. Ils découvriraient la faiblesse de leurs propositions de réflexion
Je ne vois pas trop la relation en exogamie et réduction de la violence (à moins de la mettre en pratique strictement). L'exogamie est plutôt relié à une bonne pratique d'enrichissement du patrimoine génétique d'un groupe, apprise au court du temps.
Si j'ai bien compris. l'obligation d'exogamie exclut les femmes du groupe du désir de la communauté, et par là diminue le risque de violence de rivalité intra-communautaire.
@@christianboland J'ai bien compris cette explication. Mais qu'est-ce qui empêche les nouvelles femmes qui arrivent dans le groupe d'être elles aussi source de tension ?
J'imagine qu'on tuait un animal au lieu de tuer son voisin après que ce dernier nous ait mis en colère. Et puisqu'il en résulte d'une quantité non négligeable de nourriture, on en faisait une fête ou un BBQ. C'est l'abondance. Je trouve que l'histoire racontée est souvent fallacieuse dans la nature pratique du symbolisme. Le symbole historique est mystique. Rarement a-t-on besoin de mysticisme. Tout est pratique, ou presque.
L'imitation, la violence, mais pourquoi ne pas mettre son auditoire en contact avec une dimension historique consistante au lieu de se penser sur les singes ou les bébés ? Pourquoi ne pas se pencher sur le Mahabharata, un des Védas les plus vieux de toute la littérature mondiale, et qui demeure un document anthropologique incontestable et unique car il décrit les mœurs d'une des plus grandes civilisations de l'histoire de l'humanité avec force détails qui devraient en émouvoir plus d'un si l'on veut comprendre ce que ces gens, qui sont décrits dans le Mahabharata, pensaient du sacrifice et de la violence, d'autant plus que cette histoire, qui est la plus longue jamais écrite dans les temps jadis, traite de la guerre. Et je vous assure que cela change de tout ce que l'on a l'habitude d'entendre et qui s’appuie toujours sur le paradigme monothéiste. En plus, un de ses chapitres constitue un des livres les plus célèbres des Hindous et bien connu à travers le monde parmi les spiritualistes, c'est la Bhagavad-gita.
Girard a reconnu que la remise en cause de la violence sacrificielle n'était pas exclusivement présente dans les Evangiles,qu'on la retrouvait déjà dans la tragédie grecque,ainsi que dans les Brahmanas:www.amazon.fr/Sacrifice-Ren%C3%A9-Girard/dp/2717722637
Merci pour ce retour. Je sais bien qu'il en parle, j'ai lu son livre. Mais c'est vague tout cela, et le Mahabharata détaille l'évolution de la société et donne une meilleure perspective de ce qu'était cette littérature des Brahmanas. Bouddha, par exemple, s'est opposé à ces sacrifices qui, de son temps, n'avaient plus de sens et étaient mal utilisés, ils produisaient de la violence au lieu de la paix, ce qui était l'inverse du but du sacrifice. Bref, il y a beaucoup à dire là-dessus, c'est pour cette raison que j'insiste sur le fait de s'intéresser plus sérieusement à la littérature védique. Bien à vous PS. Sur mon blog j'en parle plus.. maroudiji.over-blog.fr/
je rajoute : Seul Jésus est une victime ! Une vraie, la seule VRAIE. (selon Monsieur Girard) ... Jésus n'est coupable de rien. Sa mort apporte la paix. A réfléchir. Il faudrait aussi écouter R.G. sur la notion de la catharsis.
Jésus est victime mais responsable tout simplement parce qu'il s'est exposé à la déraison humaine. En vérité nous sommes tous victimes de notre condition, de nos fonctionnements physiologiques. Nous sommes victimes du créateur qui lui-même est sûrement victime de ses fonctionnements. Mais cela n'empêche pas qu'il y ait des coupables.
Bien c'est la mauvaise question, puisque justement la culture, comme la religion, servent à dépasser la violence, c'est pourquoi il est dit "tu ne tuera point", et "aime ton prochain comme toi-même". De même que la culture, ce sont des loi, et donc des interdits à la violence, celle de l'état de nature (hypothétique). La violence c'est la nature, et pas la culture qui dans un premier temps y est opposée. Ceci n'enlève rien à l'intérêt de la violence pour l'espèce. Mais dans la culture on ne la rencontrera que sous forme encadrée, et dérivée. Et on ne la comprendra pas. Donc dès le début, à la façon dont la question est posée, on sait que l'auteur n'a pas compris l'essentiel.
L'humanité a toujours chercher à éviter l'autodustruction en inventant les règles de conduite et les mécanismes qui la préservent de sombrer dans la violence
Spencer brown , Rene girard , F . Varela , Jean pierre Dupuy 4 geniuses Classical logic is entangled with the scapegoat mechanism. Founding violence was the original active distiction. Longitude 127 Seoul Okinawa Soul Axis -- Bahai Faith Rael Jesus Huh kyung young Great aletheia .
Pourquoi utiliser l'expression "évitement de la violence" quand il discute à l'évidence des formes et modalités de regularisation des rapports humains/familiaux/ethniques/etc ? Pourquoi ne pas forger et employer des concepts operationnels rigoureux plutôt que d'utiliser des expressions proto-conceptuelles lenifiantes ? Un deal portant sur l'échange extra-communautaire de cadavres comme facteur de dissipation des tensions découlant des problématiques de réparation intra-communautaire d'un héritage ? M'est d'avis que la question de la redistribution de l'héritage demeurera, indépendamment des mistigris employés : et a cette etape là, on est soit dans la confrontation directe, soit dans la mobilisation d'outils de régularisation du conflit potentiel (Droit, etc). La problématique trouvera de fait une voie de résolution, qui fera l'économie de l'hypothèse d'actions "d'évitement de la violence".
il faudra joindre au prof. Girard René ses disciples qui ont veritablement fondé phylosophyquement la théorie mymethyque, entre autre le prof. Fornari Giuseppe qui ha beaucoup éditée en langue italienne et anglaise; il est probablement encore prof. à l'Universitè de Bergamo Italie. Je ne diminue pas la grandeur du Prof. René, seulement je voulais proposer d'autres noms inspiré à Girard et que discrètement ont "enrichis" son intuition avec un fondation scientiphyque. Excusez mon intrusion...D'ailleur je suis sur que le Prof. Girard René et "ses disciples de la première heure" sont les suls qui ont dis quelque chose de neuf, soit nouveau depuis 1960; et on ne pourrà en futur rien dire sans les tenir strictement et soigneusement dans la tete avant d'approcher d'une Chathedra Universitaire! Point.
Une belle pensée, tout ce qu'il dit sur le sacrifice et le collectif est parfait (même si Freud et Lévi-Strauss ont dit exactement pareil, avant lui), et qui aboutit au catholicisme d'une manière inattendue. Hélas une pensée qui se limite au sociologique. On a dit que c'était le Hegel du christianisme ; non : c'est plutôt son Durkheim. Girard nous parle des catastrophes du désir, mais jamais du mystère de la désirabilité (et donc de la mort et de la finitude). D'une certaine façon dans son monde le désir est déjà sauvé par ce qui va suivre ; il n'est pas véritablement tragique puisqu'il est racheté à l'avance. Girard parle comme si la Parousie avait eu lieu, et que le Christ était déjà revenu...
le désir....son origine....c'est l'affection du corps qui enveloppe l'essence du corps extérieur qui nous affecte...nous sommes des êtres de désir. enfin je ne fais que citer Spinoza donc le mystère de "la désirabilité" n'est pas mystérieux du tout...... quand à la mort (notre mode et défini et déterminé et comme notre essence n'enveloppe pas l'existence, l'être humain est fini. Seule l'essence de la Nature (Dieu) enveloppe son existence.
Au contraire ça serait une crise mimétique, me semble t-il... Il n'y a qu'à voir le masque qui gomment les visages à l'image des masques carnavalesques qui rejouent la crise mimétique originelle.
La violence vient de la COLERE OU RAGE, des Peurs.. refoulees et abreagies, defoulees sur une victime innocente. EXPRIMER ses coleres et satisfaire ses vrais besoins est de salut public. Travailler sur et depasser ses peurs est necessaire pour grandir et s individuer.
Tant qu’on considère la relation à la violence et sa propagation de manière intellectuelle on tourne en rond à savoir toutes les explications sont bonnes mais elles ne permettent pas l’éradication de celle ci. Si on se place à un niveau plus haut que intellectuel et la je vais perdre les trois quart des gens, si on se place à un niveau spirituel, c’est évident alors que la rivalité d’énergie et le contraste entre le criminel ou l’agresseur et sa victime sont la seule explication. Car c’est bien ça qui est en cause et qui est le but: déposséder l’autre de son énergie vitale jusqu’à la mise à mort symbolique (psychique) et même la mort effective de la cible. Car pour ceux qui en ont fait l’expérience c’est une évidence qu’on peut mourir d’épuisement et de harcèlement quand on a été pris pour cible, il y a des milliers de cas chaque jours et chez les jeunes aussi qui se suicident pour ne plus supporter d’être le souffre douleur. Je prends l’exemple le plus infâme qui existe, le pedocriminel veut déposer son mal dans l’enfant qui est le bouc-émissaire et veut le desposseder de ce qui le constitue par nature c’est à dire son innocence. Car il sent bien que la perversion qui l’anime ne peut être acceptée en aucun cas et qu’il en est responsable puisque cela lui appartient mais n’est pas du tout provoquée par l’enfant (contrairement à ce que certains pervers modernes veulent faire croire en disent que les enfants séduisent et qu’ils ont droit à une sexualité dès le plus jeune âge cfr politique de l’OMS sur les droits sexuels des enfants). La solution c’est la prise de conscience collective d’une mécanisme archaïque et millénaire qui est aussi un levier employé au niveau etatique et societal (choisir une communauté, arabes, juifs, gitans etc etc ou un individu comme bouc-émissaire F. Hollande durant son mandat pour prendre un exemple pas classique) pour pas faire face à ses responsabilités et ses dysfonctionnements. Précisément l’exemple de la religion catholique et la figure de Jesus est archi juste et adaptée pour démontrer comment les sociétés occidentales et modernes se sont bâties sur cette dynamique et politique sacrificielle et la banalisation de la mécanique relationnelle entre un martyre ou un bouc émissaire sacrifié au profit d’une cohésion sociale ou societale pour expier son mal qu’elle porte tjs en elle car « rien ne se crée, rien ne se perds tout se transforme » de Lavoisier vaut aussi pour l’énergie ou le karma d’une famille, d’un peuple, d’une nation etc. A tous les niveaux et dans tous les milieux on ne s’étonne même plus de prendre pour cible ou d’humilier un membre ou un groupe au nom de la cohésion générale. Alors que si ce phénomène existe c’est bien la preuve que de base il y a perversion et que le bouc émissaire ne résulte pas d’une crise, l’extermination du bouc émissaire vient bien du fait que celui ci n’accepte pas ou plus son rôle et ne veut pas subir la violence du groupe mais s’en rebelle ou la dénonce, c’est là que la dynamique est à son apogée car la personne choisie est sensée être la victime mais aussi le sauveur du groupe comme le dit Girard et quand on ne se soustrait pas au rôle alors là tous les crimes sont permis car le groupe et son désir mimétique l’emporteront toujours sur l’innocence de la victime qui la plupart du temps a été conditionné pour endossé le rôle du souffre-douleur/sauveur. A moins que celle ci accepte de s’isoler un moment et de s’exclure du groupe qui voulait de base la sacrifier pour se marginaliser par rapport à la folie collective et son manque de soutient et de compréhension car la plupart des gens sont si ignorants sur la mécanique sacrificielle qu’ils vont même jusqu’à culpabiliser et accabler la victime d’avoir été choisie pour expier le mal du clan/groupe/famille/état etc. T’as forcément fait qqchose ou tu as une responsabilité mais c’est faux, c’est le fait d’être simplement qui fait qu’on est choisi pour cible, pas pcq on a une culpabilité supposée. Avec de nouveaux liens sociaux et relationnels alors on peut guérir la personne prise pour cible et le groupe qui sera de tte façon voué à imploser sans bouc émissaire. Car le groupe en choisira une autre si la cible se dérobe… Donc le pouvoir supposé du bouc émissaire (adulte) est colossale puisque si tous les boucs émissaires décident de ne plus porter ce rôle sacrificiel alors le groupe n’aura plus d’autre choix que de faire face à lui même. Et c’est bien pour ça que nos société sont en faillite car quand on ne protège même pas les enfants des crimes commis à leur encontre, eux qui n’ont aucun pouvoir vu leur jeune âge, ça prouve bien que nous sommes collectivement immatures et responsables de la mécanique sacrificielle qui opère à tous niveaux et dans tous les pays aussi modernes qu’ils sont soit disant. A la place, nos société encouragent la rivalité et récompensent les narcissists et les pervers qui n’ont honte de rien du tout car ils ne peuvent que projeter chez l’autre leur mal et ne veulent pas le contenir ou le sublimer. H. De Montherlant dit: « Il y a le monde de ceux qui aiment et le monde de ceux qui n’aiment pas. Je fais parti de ceux qui aiment. » C’est donc un combat spirituel avant toute chose, sinon on n’aura pas de sacr(é)ifice de base !
Ce qui est de l'ordre du fait visible: deux lions s'approchent d'une même lionne Ce qui est invisible et invérifiable ou de l'ordre de l'opinion personnelle: le deuxième lion s'approche par rivalité. -peut-être qu'il était là en premier - peut-être que c'est sa soeur -peut-être que .......................................................................................
Un vrai dévoilement ou une petite astuce bien mentale pour avoir l’impression de tout comprendre, de tout apprehender par la puissance de sa pensée, de donner un sens à bon compte. ?
Oui, Merci, comme quoi notre animal ité doit faire l'objet d'un retour à soi inéluctable vers une conquête axiologique des plus urgente au regard des enjeux existentiels qui se trament.
La violence n'appartient pas à l'etre humain intelligent et mature donc tous les violents peuvent s'attendre a se reincarner encore et encore jusqu'à ce qu'ils soient devenus intelligents
Depuis quand on a besoin de "justifier" quelque chose pour commettre un meurtre ? Pas besoin de cela pour tuer. (Même si généralement les gens le font)
L athéisme se justifie par des théories avec des idées intéressantes mais qui reste dans le domaine intellectuelle : des pensées et des pensées qui se prennent pour le centre de tout...elles devraient rester juste des idées sans remettre en cause la possibilité que la Spiritualité existe et qu'on peut non pas croire mais connaître L'Esprit se connecter à l'énergie qui nous a créé... Élever sa conscience au delà du paradigmes des pensées et ses masturbations... Mais l 'athée dogmatique agnostique ne cherche pas ne cherche plus il est sûre de sa théorie comme 1+1=2 et pourtant la vie nous montre tout les jours que 1+1 donne souvent un autre résultat
Là où les religions sont irréductibles à l'athéisme, c'est qu'elles ne relèvent pas du champ des "idées". Leur raisonnement procède par images, métaphores. La philosophie athée a passé son temps à ridiculiser les théories de l'existence de Dieu. Elle manque sa cible.
Si y a des gamins en difficulté dans les collèges qui se suicident c’est à cause de l’homophobie mais pas parce qu’ils vont mal et qu’ils ne trouvent pas leur place dans la société et qu’ils préfèrent se réfugier dans la secte lgbt… ? Donc c’est la faute des autres, y a aucune discussion là-dessus ? Un gosse qui ne sait pas si il est mâle ou femelle, il ne peut être stable psychologiquement et évidemment le suicide est une des résultantes… à mon époque y avait les punk ou les gothiques pour les gamins un peu déboussolé, c’était quand même nettement moins malsain que cette secte lgt machin et par la suite, l’adolescence passée, tous ces gamins sont sortaient et quittaient leurs fringues noires ou les crêtes/piercings. Là avec leur secte, ces gens vont trop loin et jamais ne sauront avoir une vie normale, ils finiront dans des endroits glauques à faire des trucs glauques. Faudrait peut-être les aider au lieu de les enfoncer mais vu la déviance de ceux qui gouvernent… c’est loin d’être fini. Ces gens-là veulent nous imposer la Maltraitance qu’ils ont subi … comme un certain président maquer avec une vielle de 25 ans son âge… ces gens là sont traumatisés à vie…et pensent que les gens normaux doivent subir ce qu’ils ont vécu .