Stretching the genre of documentary, this experimental essay-film is a composition of thoughts, images and scenes, mainly from Japan and Guinea-Bissau, "two extreme poles of survival".[1] Some other scenes were filmed in Iceland, Paris, and San Francisco. A female narrator reads from letters supposedly sent to her by the (fictitious) cameraman Sandor Krasna.
Sans Soleil is often labeled as a documentary, travelogue, or essay-film. Despite the film's modest use of fictional content, it should not be confused as a mock-documentary; the fictitious content works as a device to assist meaning in the film which, along with its occasionally nondescript movement among locations and lack of character-based narrative, is derived from the juxtaposition of narrative and image.
Le film est construit autour du discours d'un cameraman fictif, Sandor Krasna, rédacteur de lettres lues tout au long du film par Florence Delay. Dans ses écrits, il va traiter successivement du temps, de la mémoire, de la fragilité humaine face aux séismes du Japon ou encore face à la famine, menace constante au Cap Vert ou en Guinée-Bissau. Le cinéaste voyage alors aux « deux pôles extrêmes de la survie » tel qu'il le dit lui-même. Il montrera non pas les difficultés pour ces sociétés à s'en sortir, mais plutôt leur façon de vivre et d'exister au-delà de ce qui peut leur coûter la vie. Car comme il l'annonce : « Moi, ce que je veux vous montrer, ce sont les fêtes de quartier ».
7 сен 2013
