J'ai vécu l'horreur j'entendais des voix et des étranglement a en mourir je croyait que jetait folle j'ai été guéri sans médicaments en fait c'était des démons javai besoin d'une délivrance JÉSUS CHRIST m'a sauvé et libéré demandé lui Jésus sauve moi libere moi et il viendra vous libérer si il a fait pour moi il le fera pour vous aujourd'hui je lui rend grace il est mon seigneur et sauveur soyez béni
Chacun trouve sa solution. Qu'importe le type de solution, le principal pour moi est de trouver une solution qui fonctionne. La prise de médicament n'est sans danger...
je te croie moi ya ma fille qui viens de avoir des résulta sur la psychose pour lins temp je suit croyante je vais prier pour elle et quand elle va sortirai de l'hôpital je veux lui parler de jésus je vais attendre 2 a 3 jour pour quelle se repose avent ensuite je tente le coup
Aucun rapport avec Dieu Mon frère est schizophréne. Son premier épisode psychotique remonte à 10 ans rémission sans médoc. Second épisode il y'a 2ans rémission avec médoc. Troisième épisode cette année. 8 ans dans symptômes positifs. Ça peut reparaître n'importe quand madame.
@@Titantimon quand tu sens que tout ton être est sur le point d'éclater, ce ne sont pas des 'idées', c'Est la traduction de quelque chose qui se produit en toi...et qui est d'une violence inouïe. il y a pas un endroit où tu peux te cacher, c'est une entropie qui rend débile, à terme. Quand le point de non-retour est passé, c'est la démence. Expliquez maintenant pourquoi les schizophrènes deviennent démens si jeunes... si ce n'est qu'ils n'ont pas une grande réserve de Vie, de vie psychique, d'énergie, À la BASE... et appelez-ça comme vous voulez. Après, pourquoi ont-ils moins de cette énergie de Vie ? il y a plusieurs théories, certaines meilleures que d'autres. En tous les cas, nous sommes des damnés. Pourquoi ? car nos hallucinations sont des tortures qui ne visent qu'à nous tuer sans relâche, sans jamais connaître de répit, exactement comme tous les suppliciées des mythes... qui ne voient jamais de fin à leur calvaire. Après on est des humains aussi... je veux pas choquer par ce mot de damnation, peut-être préfèrera-t-on le mot : souillure. Oui il y a souillure quand on arrive plus à savoir ce qui est dedans ou dehors, et qu'on se perd dans le grand Tout archaïque. C'est une errance sans fin, personne peut le nier. oui je provoque, mais je m'en fous, je suis anéantie.
J ai énormément souffert d un membre de ma famille. J étais petite maintenant je comprend mieux la maladie de cette personne. Je l aime mais c est très dure.
Bonne vidéo, merci. Cela fait quelques années que j'ai construi mon délire. Avec le temps, il devient difficile à remédier effectivement. Aujourd'hui, j'ai pu arrêter la consommation de stupéfiants grâce aux fraternités Anonymes. Mes délires persistants, je dois bien m'avouer vaincu par ma maladie. La rationalisation est un phénomène malsain.
Euh,cela dépend si tes voix(perso je dis interprétations des sons,pas encore eu la chance d'être dans une chambre anaechoique),mais pour certaines elles sont positives,gentils et ameliorantes.Perso dans mon cas c'est plutôt,seul contre tous,et plus débile les uns ou unes que les autres.Mais je ne lâche rien,et je sais que des thérapies comme la stimulation transcranienne,ou la modification génétique ou encore pour certaines l'amélioration du biotope intestinale,peuvent aider.Courage et force devant l'adversité.Le monde pour nous demain sera meilleur (et je rappelle à micron,son engagement à l'inclusivite, même si tout ne dépend pas que de lui(allez les entreprises,il est temps de recruter des neuro-atypiques,merci d'avance)
Moi j'étais malade au moins depuis l'âge de 15 ans, et c'est seulement à 35 ans que j'ai su et eu un traitement qui fonctionne bien. J'ai voulu arrêter me disant que avant j'en prenais pas, j'ai eu une grosse crise très vite après bref le psychiatre m'a dit que la malade avait empiré depuis au moins 16 ans quand j'ai eu une première grosse crise en 2004 j'avais rien pris et je suis reparti dans la nature sans être traité. maintenant je suis tranquil grâce au Risperdal
Par rapport à la société, on peut dire que la psychiatrie a fait un pas gigantesque, au 20ème siècle, et ceci, surtout grâce aux psychotropes. En effet, ce qui prouve ce progrès considérable, c'est le changement du rapport entre le schizophrène (malade mental, d'une manière plus générale) et l'ensemble de la société : avant les traitements, on devait enfermer les "fous". Depuis les traitements, les psychiatres font leur maximum, non seulement pour soigner, non pas des "fous", mais des malades (terme moins péjoratif, et qui, en plus, indique que l'on reconnaît la souffrance psychique), mais aussi pour faire sortir de l'hôpital les malades, afin qu'ils se réintègrent d'une manière "normale" au sein de la société. Le progrès est donc considérable : grâce à la psychiatrie (les médicaments, en particulier), le malade peut trouver un travail, comme toute personne saine d'esprit (pour éviter de dire : personne "normale"). Le travail, bien qu'il soit une obligation, une forme de contrainte, quelque chose qui limite la liberté individuelle, est surtout l'indication que l'individu, malade ou pas, est capable d'exploiter ses capacités (intellectuelles ou physiques). Ainsi, par l'exercice de ses facultés, en travaillant, le malade mental va pouvoir devenir un élément à part entière de la communauté, de la société. Le travail est important parce que l'homme, en particulier le malade mental) se sent utile : "JE VEUX ETRE UTILE" (Julien Clerc). Le malade mental n'est plus "celui-qui-est-différent-de-nous" mais celui qui travaille, comme nous. A cela n'oublions pas l'idée de Kant : le travail est une véritable occupation.
@hello hi quelles "idéologies" ? L'idée d'insérer les "schizophrènes" dans la société, parce qu'ils ont du mal à travailler: je ne vois pas le rapport avec les "idéologies" ? Quelle belle critique, si c'est une critique, d'ailleurs, en une si petite phrase !!
@hello hi oui, je comprends votre point de vue, mais ce n'était pas mon intention d'"idolâtrer" ce que justement, je ne considère pas comme une "norme subjective" : celle de la société. Il me semble que ce qui serait normal, ce serait une vie dans la Nature : mais là, je rêve ! Par conséquent, j'ai juste voulu souligner le fait que la société se débrouille comme elle peut. Mais il va de soi que, de mon point de vue, peut-être comme le vôtre, l'usage des médicaments n'est pas du tout une "norme" : mais, comment faire mieux, dès lors que nous sommes, en quelque sorte, prisonniers de notre propre société ?
@hello hi votre propos est intéressant. Mais, puisque vous envisagez, pour l'avenir, "la chute du capitalisme", ne pensez-vous pas, à force d'observer le comportement et la vie quotidienne des hommes, dans notre société, que le "capitalisme" est devenu une sorte de "seconde nature" ? Dès lors, expliquez-moi comment on peut "s'arracher" à cette tendance devenue presque naturelle dans notre société ?
@hello hi nous sommes d'accord.... j'ai écrit "seconde nature" entre guillemets, par prudence, car il va de soi que l'homme, sur Terre, n'est pas né dans le capitalisme. D'ailleurs, je ne sais pas si vous connaissez un peu la philosophie de Rousseau, mais je voudrais rappeler à tout le monde que pour Rousseau, c'est la société qui a perverti l'homme. J'accepte volontiers votre terme de "conditionnement". Cela me fait penser aux animaux, aux expériences sur les animaux : la première fois, je crois, que j'ai découvert, avec images à l'appui, ces expériences "scientifiques", c'était en clase terminale, en biologie. Dans ces expériences de laboratoire, les scientifique font en sorte que les animaux vont vers une direction, sans réfléchir : c'est le "réflexe conditionné". Votre mot "conditionnement", appliqué au capitalisme, me fait penser à ces expérience. Du coup, je me dis que les hommes, sortis de l'état de nature, pour entrer dans une société sont devenus inconscients, comme dans tout conditionnement, justement. C'est un plaisir de réfléchir avec vous. Bien cordialement.
@hello hi je vois que vous vous informez beaucoup sur cet aspect de la réalité (la réalité sociale). Si, à nouveau, j'essaie de trouver un point intéressant sur le plan philosophique, je dirais ceci : dans la mesure où l'homme ne voit le monde qui l'entoure que par une politique capitaliste (pour moi, ce n'est pas une philosophie), que par ce que vous appelez son "intérêt", ne peut-on pas dire que, finalement, c'est à cause de sa nature égoïste qu'il finira par mourir dans son propre monde ? Je suppose que vous êtes d'abord avec cette idée d'un égoïsme très agréable (à tel point que l'homme ne voudra jamais s'en défaire). Mais j'aimerais ajouter ceci : ne pensez-vous pas non plus, vous qui avez l'air de bien suivre l'actualité, que, finalement, cet intérêt pour le monde qui nous entoure, ce "calcul d'intérêt" (exemple évident : la recherche du pétrole), ne reconnaissez-vous pas, malgré votre "critique" (si j'ai bien compris) que cela arrange beaucoup d'hommes, finalement ? (et c'est le moins qu'on puisse dire) Ceci étant dit, cela rejoint, je suppose, ce que vous appelez le "conditionnement". Est-ce que je vous ai bien compris ? Etes-vous d'accord avec moi sur cette idée que cette recherche intéressée arrange une écrasante majorité d'hommes ? Qu'en pensez-vous ?
Ne perdez jamais l espoir de guerrir avec le traitement et la grâce de dieu . Mon fils est schisophrene .il guerri. Il travail il vie sa vie comme tout le monde
Hélas dans les commentaires : certains parlent de possessions. Vous n êtes pas possédé mais malades.ce sont les médicaments bien dosés et bien pris qui vous aideront (on ne guerrit pas:les symptômes sont masqués ):certainement pas les exorcismes.
Car ce qui alimentent leur délire hallucinatoire, c'est le stress, l'angoisse. En gros notre cerveau produit des molécules qui vont provoquer du stress (on en a besoin par exemple en cas de danger), et des molécules dites du plaisir (quand on mange quelque chose que l'on adore par exemple), dans un cerveau sain, il y a un équilibre lors de la sécrétion de toutes ces molécules, lorsque le cerveau est malade, il y a un déséquilibre, et comme on le sait, tout excès est mauvais, si le cerveau se met à sécréter des molécules de façon "hors contexte", sans les stimuli appropriés, cela peut créer des épisodes hallucinatoires. Je simplifie les choses bien sûr.
j'ai tout perdu avec cette maladie, ma femme n'a pas supporté de me voir malade, et je la comprends, aujourd'hui, je suis totalement seul, je n'ai plus aucune envie, je n'ai même plus d'appétit, je n'ai plus de sommeil, je n'ai plus rien, je vais vendre mon âme au diable !
J'ai déjà mis un message mais la schizophrénie,ne pourrait elle pas être liée à une confirmation d'autres ondes (ex on est capable de capter des sons entre 20hz et 20khz,pourtant d'autres fréquences existent.-20hz infrasons et plus de +20khz ultrasons.Grace à des appareils on peut les capter et les mesurés. Donc peut d'autres frequences sont possibles !!Et je pourrais dire la même chose sur le spectre de la lumière (ultraviolet ou infrarouge,ou dans notre spectre visuel ,petit mammifère que nous sommes aux sens si dépassé par la réalité.Une suite d'image rapide ne forment elles pas un film,ou??😅
Ma sœur a un diagnostic de cette maladie, et plus je me renseigne dessus, plus je me dis que ce diagnostic ne colle pas avec son comportement, elle ment volontairement, elle est très consciente et a le souhait de mentir, elle s'invente une vie volontairement (la pauvre est polytraumatisée), parcontre elle dit que: sous médicaments uniquement, ça lui ai déja arrivé de voir des choses qui n'existent pas, tout en étant consciente que ça n'existe pas et que c'est une hallu, alors qu'il me semble qu'un schyzo ne sait pas qu'il nage en plein délire et ne ment pas volontairement, il croit vraiment ce qu'il dit ou voit. Moi je n'ai jamais d'hallu, j'ai un diagnostic de TDA/H, de dyspraxie, et une légère anxiété sociale, et aussi un syndrome d'ehlers danlos hypermobile et un SAMA (comme par hasard le SAMA dont souffre ma fille aussi, c'est une maladie créant des réactions sévères aux médicaments), j'ai aussi une biologie SAPL 8 fois sur 10 (8/8 à un labo, 0/2 à un autre labo), je suppose qu'il faut faire confiance aux médecins de ma sœur mais j'ai quand même un doute, de plus, des porphyries, des maladies autoimmunes cérébrales et des maladies vasculaires etc peuvent créer des perturbations mimant une origine psychotique. Qu'en pensez vous?
Quel âge a votre sœur? quel genre de petite fille était-elle avant l'adolescence? Par rapport à ce que vous décrivez, il n'y a rien de contradictoire avec la schizophrénie (mensonges, invention d'une vie) bien au contraire. Et puis il faut se dire qu'il n'y a pas UNE schizophrénie mais plutôt DES schizophrénies, si je peux me permettre de dire ça comme cela.
Seul moyen c'est mettre le médicament dans la bouffe, c'est ce qu'on a fait. C'est normal qu'il admet pas ça fait partie de la schizophrénie. Faites gaffe à vous, les schizophrénes sont très dangereux quand ils sont en plein psychose.
Vous avez la possibilité de le faire hospitaliser sans son consentement, il faut l'amener aux urgences et demander à signer son internement. Ca c'est quand il est vraiment en crise (ou bouffée délirante) et qu'il devient dangereux pour lui-même et pour les autres. Après, je suis plus d'avis de profiter des moments calmes pour essayer de lui parler. Il aura tendance à se renfermer sur lui-même car "il n'y a que lui qui peut comprendre", sans parler de la peur qu'il a à s'avouer à lui-même qu'il est malade avec des phrases du type "je ne suis pas fou!". Je vous conseille d'en apprendre le plus possible sur sa maladie, de ne jamais le juger et cela quoi qu'il fasse, et bien sûr, beaucoup de patience et d'écoute. Les schizophrènes paranoïdes, ne font confiance en personne, gagner sa confiance petit à petit, ne lâchez rien et ça malgré ce qu'il peut se passer, faites la part des choses, essayez de reconnaître lorsqu'il est bien, donc lui-même et lorsqu'il est en crise, même si une crise peut être violente avec des propos vexants, le premier qui s'en voudra de s'être mal comporté, c'est lui donc les reproches après crise, à bannir svp! Courage, courage
On écoute tout vos discourss et tous vos reportage bien intéressant mais c'est pas comme ça que ça marche dans la vie j'ai un fils beaucoup de problèmes pour avoir des gens pour s'occuper de coup de problème pour avoir des aides selon leurs besoins on est loin d'être bien entouré nous les parents de schizophrène et ce qui me fait le plus peur c'est mon départ ' comment va t'il finir dans un foyer pourri car a la télé on nous montre que les exceptions de foyer très bien tenu....
Il n'a même pas remarqué. C'est un psychiatre donc un abruti, ne l'oubliez pas. Mais c'est bien sûr fait exprès par le créateur originel de l'image qu'il a trouvé sur Internet.
Bref ce sont des médiums qui entendent les voix des d'esprits invisibles ! Qui sont les "normaux" ? C'est une grande question ! Je vous laisse à vos débats ! Je citerai juste cet exemple : au XIIIè siècles, des personnes de notre époque seraient perçues comme des fous ! Tout est relatif et avec les théories de Freud sont erronées.
à une certaine époque on pensait aussi que la Terre était plate. Aujourd'hui... nettement moins. En quoi les théories de Freud sont-elles erronées? Je ne dis pas spécialement le contraire mais j'aimerais connaître vos arguments parce que je sens qu'il y a une petite lacune théorico-réaliste qui se base sur quelques clichés.
je suis d'Accord. mais il y a aussi la souillure... quand tu sens que tout ton être est sur le point d'éclater, ce ne sont pas des 'idées', c'Est la traduction de quelque chose qui se produit en toi...et qui est d'une violence inouïe. il y a pas un endroit où tu peux te cacher, c'est une entropie qui rend débile, à terme. Quand le point de non-retour est passé, c'est la démence. Expliquez maintenant pourquoi les schizophrènes deviennent démens si jeunes... si ce n'est qu'ils n'ont pas une grande réserve de Vie, de vie psychique, d'énergie, À la BASE... et appelez-ça comme vous voulez. Après, pourquoi ont-ils moins de cette énergie de Vie ? il y a plusieurs théories, certaines meilleures que d'autres. En tous les cas, nous sommes des damnés. Pourquoi ? car nos hallucinations sont des tortures qui ne visent qu'à nous tuer sans relâche, sans jamais connaître de répit, exactement comme tous les suppliciées des mythes... qui ne voient jamais de fin à leur calvaire. Après on est des humains aussi... je veux pas choquer par ce mot de damnation, peut-être préfèrera-t-on le mot : souillure. Oui il y a souillure quand on arrive plus à savoir ce qui est dedans ou dehors, et qu'on se perd dans le grand Tout archaïque. C'est une errance sans fin, personne peut le nier. C'est l'exact opposé de l'extase mystique. Tiens, vous êtes pas convaincu maintenant. oui je provoque, mais je m'en fous, je suis anéantie.
Oui tu as raison, la voix n est pas un soucis il faut communiquer avec ,si c est objectif. Si c est le contraire ,résister et l envoyer chier. Ces maladies sont très étroitement liée à la sensibilité de la personne...en général les personnes n'arrivent pas ou ne connaissent pas me processus d échange...car en fin de compte c est bien du parasitage et un viol mental. Il faut tout le temps affirmer son non consentement à ces ingérence ❤
De quel droit posez-vous la question de la gestion appropriée des anomalies du comportement et des manifestations psychiques ? De quel droit nommez-vous ces anomalies des "dysfonctionnements" ? N'importe quelle personne que vous appelleriez arbitrairement "schizophrène" et voudriez traiter contre son gré aurait toute légitimité éthique de délibérer de VOTRE sort, principe de réciprocité. Moi, par exemple, je vous prescrirais d'être dépecé vivant et laissé vous décomposer jusqu'à ce que mort s'ensuive, et en cela je serais infiniment indulgent car l'infini, c'est précisément ce que j'aurais pu vouloir vous voir subir de plus que ce que j'aurais choisi. Sans rancune bien sûr ; il est après tout de bonne guerre d'être un nazi comme vous si on en tire quelque argent et quelque notoriété. Je viens simplement rappeller, puisque c'est de cela que vous vous revendiquer implicitement, dans quel camp se trouve la raison.
Faut pas tomber dans leur piège attention il faut pas voir un psychiatre Car si vous êtes rentrer dans leur jeu et l'hôpital etc ne sortez plus eux ils veulent gagner des fric grage aux gens faible
Vous avouez que l'hyper dopaminergie cervicale et l'hypo dopaminergie frontale sont aggravés par l'instauration d'un traitement... enfin modifiés, et vous avez dit aggravés lorsque les récepteurs dopaminergiques du cyp3a4 et du cyp2d9 ont soif de dopamine pour les neuroleptiques typiques et domamino-serotoninergiques pour les atypiques, avouez que vous utilisez à des fins de recherche d'intérêt pour les sujets sains davantage que pour vos malades mentaux !
@hello hi à vrai dire je ne me souvenais pas avoir répondu à votre commentaire, du coup je ne sais plus! Bref, de la bienveillance j'ai dû en avoir beaucoup pendant 6ans auprès de mon compagnon schizophrène paranoïaque, c'est le corps médical qui m'a détruite psychologiquement, aucun soutien, aucun accompagnement, je n'avais aucun droit à la parole, bref...j'essaie de passer à autre chose, ça m'a usé tout ça.
