Schumann - Sonata in F# minor // Liszt - Sonata in B minor (Century's recording : Lazar Berman) 

Perfect recorded sound in a hall with just the right amount of reverb. He has a very unique take on the Schuman, a work with many beautiful ideas (and full of his crazy dotted rhythms), but which stops of short of being a masterpiece.

Simply incredible! I have never heard anything like it before!🌹🌹🌹

It's pure delight. Thank you.

Very thankful !! Is a good example of the perfect combination Piano Schumann - Liszt , i like the contrast between the two composers . Formidable L. Berman , a a great recording sound 👏❤

This is serious grown up music....sounds like its connected to God.

Quite different from Richter and Horowitz. Extremely convincing performance. Most expressive. Bravo!

Welcome back! We looked forward to you! Thanks!

He is the best pianist of this century. Especially unsurpassed in Liszt who is so difficult to play in the repertoire of Annual Pilgrim. His performance is music itself and composer itself and LB ego is not detectable. Pick a century of pianists no matter who. This art of authenticity and discipline and innate high genius is totally unmatched. Thus his performance is Immortal. Think on Glen Gould then you know what this means.

❤️ If you like CM//RR content, please consider membership at our Patreon page. Thank you :) www.patreon.com/cmrr Robert Schumann (1810-1856) - Sonata N°1 in F# minor Op.11 *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-01:45) 1.Introduzione : Un poco adagio - Allegro vivace, Più lento (00:20) 2.Aria (12:11) 3.Scherzo - Allegrissimo e Intremezzo (15:45) 4.Finale : Allegro un poco maestoso - Più allegro (21:03) Ferenc Liszt (1811-1886) - Sonata in B minor *Click to activate the English subtitles for the presentation* (34:01-36:19) 1.Lento asai - Allegro energico (34:01) 2.Grandioso - Recitativo (37:25) 3.Andante sostenuto - Quasi adagio (46:42) 4.Allegro energico - Più mosso - Stretta quasi Presto - Presto - Prestissimo - Andante sostenuto - Allegro moderato - Lento assai (53:16) Les Funérailles - Harmonies poétiques et religieuses (1:04:32) Piano : Lazar Berman Live recording in 1990, at Montreal Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr *SCHUMANN.* Publiée en 1836, cette première Sonate date de 1833. Il y en aura quatre, la quatrième étant devenue, toute réflexion faite, le « Carnaval de Vienne» en 1839, et peu s'en est fallu qu'une cinquième sorte de la «Fantaisie Op. 17». Primitivement Hommage à Beethoven, conçue dans l'atmosphère d'Ernestine, la Sonate sera écrite pour Clara encore à peine-sortie de l'enfance, mais dont il n'a cessé de pressentir qu'elle sera la femme de sa vie. Et en 1837 c'est Clara qui la jouera à Leipzig. Elle a 18 ans. « N’as-tu.pas compris que si j'ai joué ta Sonate, c'était parce que je n'avais pas d'autre moyen de te dévoiler mon cœur? Je n'osais le faire en secret, je le fis publiquement». On connaît le mot fameux de Schumann à Clara: «ton père me dit mou et flegmatique. Le «Carnaval», et «flegmatique», la Sonate en fa dièse mineur, et «flegmatique!» Liszt s'est exprimé longuement sur la Sonate, qu'il sent «voilée de mystère». commencement est solennel, pareil aux «pronaos» que les premiers architectes chrétiens construisaient devant leurs basiliques pour préparer les fidèles à l'entrée dans le temple, comme la méditation prépare à la prière... L'Aria est l'une des pages les plus parfaites que nous connaissions, et quoi que l'auteur ait écrit en marge «senza passione», il est caractérisé par le plus passionné des abandons... L'effet de rythme du Scherzo est remarquable, la mélodie ravissante. L'intermède nous émerveille». Cette oeuvre, que Clara appelait « ma Sonate », traduit les plus secrètes pensées du génie romantique de Schumann, en un langage de feu. *LISZT.* Sous la forme de la Sonate, c'est d'abord la découverte de la quasi-sonate Fantasia qui se fait : un thème au ralenti devient partie intégrante du premier groupe thématique et revient au cours de l'Allegro viggico. Ce premier groupe thématique est contrasté par l'Allegro energico et un thème au ralenti, qui n'apparaît qu'à mi-chemin de la composition et juste avant la fin. À l'exception du troisième thème, toute la composition est constituée de transformations, parfois très profondes, d'éléments des deux groupes thématiques : des transformations qui démontrent à quel point Liszt avait créé une nouvelle technique de variation basée sur l'étude des Variations dites Goldberg de Bach et des Variations sur une valse de Diabelli de Beethoven. Le squelette formel, bien qu'énormément élargi, est le classique : exposition, développement, réexposition, avec une tendance tonale qui ne s'écarte pas du traditionnel. Ce motif est toutefois "ouvert" après le développement, et le troisième thème est inséré dans la fracture, qui a la fonction d'"adagio". Liszt réussit ainsi à synthétiser la structure de la sonate classique en plusieurs étapes, en accentuant encore la synthèse par l'insertion, après l'Adagio, d'une fugue sur le premier thème qui remplit la fonction de "Scherzo". En trente minutes de musique, nous avons donc un Allegro di sonata, un Adagio et un Scherzo dans un bloc très articulé et sans couture, et nous avons le domaine de la science architecturale, la science de la variation et la science contrapuntique. Une telle synthèse n'appartient plus à un seul musicien, mais à une génération, à une époque : c'est l'accomplissement de la révolution faite par les artistes nés vers 1810, accomplissement auquel arrive Liszt, le seul survivant. « Il y a des silences qui précèdent la musique. Par exemple, il faut sentir combien de temps d'attente pour que le public puisse avoir une atmosphère collective dans la salle. Maintenant le silence pendant les morceaux, qui font partie du morceau... Les silences dépendent de ce qui s'est passé avant. Il y a la Sonate de Liszt, par exemple, qui commence avec une note, silence, la même note répétée, sol... et puis ça commence à se développer. On peut jouer les deux notes comme ça, comme l'accordeur qui a essayé le piano. Il y a une note et puis rien et puis une note et un rien. On peut jouer comme ça : la première note dit déja l'histoire de tout le morceau. C'est la naissance du morceau. Ce n'est pas une goutte qui tombe par hasard. » G. Sebok, 1997. Franz Liszt PLAYLIST (reference recordings) : ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-bO3xM__qNTA.html Robert Schumann PLAYLIST (reference recordings) ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-U6sKjMbFGlY.html

Dude looks exactly like Slavoj Zizek. Incredible recording, btw. I was never into piano works before I subscribed to this channel.

IMPRESIONANTE LAZAR BERMAN, ESCUCHE EN BUENOS AIRES EN 1990 Y 1993. DE LOS MEJORES DEL SIGLO XX

非常に素晴らしい。言葉もでない。なみはずれたテクニックと深い芸術性。

Amazing performance especially the Liszt Sonata. I’m curious is this the entire performance for the Montreal concert? If so, what a fascinating selection of pieces. It’s as if Berman is conveying something of the state of the sonata form.

Starts at 0:20

T'as deja ecoute Cziffra dans la sonate de Schumann , c'est a pleurer je trouve ...

The sonatas of Schumann (op. 11) and of Liszt are quite diufficult to interpret in a convincing way. The sonata of Liszt requires an extreme virtuosity, of course, but this is not the issue. The interpret need to render all the details of the works, while keeing aware of the global, overarching structure and build up his interpretation to make it perceptible. Tje two sides of theis quality of rendering must be present. We can find such a quality in the interpretation of Lazar Berman. So, he ranks among the great interprets of these two works.

The touch of Lazar Berman was pretty persuasive. It's hard to find others with the same kind of piano playing.

Funérailles, tempo very very slow, perhaps too much, this play seems to me static. Heard the Cziffra interpretation

That's not the best version of this Sonata of Lazar Berman... Sorry

only listen.....nur hören