Une sublime chanson 😍Pour un Duo exceptionnel... Merveilleux texte. Bravo à ces 2 artistes.. Respect 🙏Talent et remerciements. Merci !! Chanson qui donne le frisson
Alice donna et déjà une grande chanteuse rare comme un diamant !! mettait en duo le grand Serge Lama avec Alice dona et vous obtenez une pépites inoubliable !!! deux grand chanteur qui ont ^porter cette chanson avec tout l'amour et la tendresse merci a vous deux D
Aie aie aie aie Vous êtes Tous les 2 Ma-gni-fi-ques ! Je Vous Adore . Je vous veux à mes obsèques. Oui, c'est comme çà que je veux partir , partir en votre compagnie ( sommes de la même génération). Merci.
Whaoo ! Che brividi ! Quels frissons ! En écoutant les chanter ensemble ! ;-) Alice et Serge réunis en ce morceau qui leur va comme un gant ! Spectacle formidable, grandiose et grandement riche en émotions ! Merci à vous deux ! Deux très grands Artistes exceptionnels ! Je ne m"en lasse jamais ;-)
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Une chanson magnifique sublimée par ce duo de chanteurs qui se connaît si bien et qui ont fait de cet instant un moment magique,à l'image de leurs immenses talents.
"" Elle arrive à huit heures, personne n'est encore là Elle ferme à double tour sa loge, et la voilà Qui d'un air attendri, sourit à son miroir Ça fait bientôt trente ans qu'elle fait ça tous les soirs Puis elle prend son visage à deux mains Le caresse comme si ça n'était plus le sien Puis elle prend les fards et les crayons Se dessine un sourire avec application Les faux cils, la longue robe noire Les souliers de satin, la perruque d'argent Maintenant, la chanteuse a vingt ans Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la première fois Puis elle chante avec cette voix-là Comme disent les journaux qu'on ne remplace pas Elle sourit avec ce sourire-là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimons tant Maintenant, la chanteuse a vingt ans Puis elle sort, épuisée, son maquillage fond Elle répond d'un air triste à deux ou trois questions Elle s'habille en civil, elle rentre dans l'auto Puis s'endort sur l'épaule de son imprésario Elle revoit l'Alcazar et Deauville A l'époque où les hommes étaient encore dociles Elle revoit même ce petit chanteur Sacrifiant son cachet pour lui offrir des fleurs Elle revoit ces amoureux transis Qui jetaient dans son lit des colliers de diamant Maintenant, la chanteuse a vingt ans Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la première fois Puis elle chante avec cette voix-là Comme disent les journaux qu'on ne remplace pas Elle sourit avec ce sourire-là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimons tant Maintenant, la chanteuse a vingt ans Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la dernière fois Elle se plaint avec cette voix-là Comme diront les journaux qu'on ne remplacera pas Puis elle pleure avec ce sourire-là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimions tant Maintenant, la chanteuse a vingt ans "" Quel extraordinaire talent ces deux monstres de la chanson française ! Merci !! ;-)
Vous êtes géniaux tous les deux !!!! Bon je préfères Alice donna parce que je suis ses conseils il faut se méfier des poètes !!! Mdr !!! Vous êtes deux superbes artistes :))) merci !!!!!
La chanteuse "a" vingt ans, du verbe avoir !! Paroles Serge Lama, musique Alice Donadel dite Dona Elle arrive à huit heures, personne n'est encore là, Elle ferme à double tour sa loge, et la voilà Qui d'un air attendri sourit à son miroir, Ça fait bientôt trente ans qu'elle fait ça tout les soirs. Puis elle prend son visage à deux mains, Le caresse comme si ça n'était plus le sien, Puis elle prends les fards et les crayons, Se dessine un sourire avec application, Les faux cils, la longue robe noire, Les souliers de satin, la perruque d'argent, Maintenant LA CHANTEUSE A VINGT ANS Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la première fois, Puis elle chante avec cette voix-là Comme disent les journeaux qu'on ne remplace pas, Elle sourit avec ce sourire-là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimons tant Maintenant LA CHANTEUSE A VINGT ANS Puis elle sort épuisée, son maquillage fond, Elle répond d'un air triste à deux ou trois questions, Elle s'habille en civil, elle rentre dans l'auto, Puis s'endort sur l'épaule de son impresario. Elle revoit l'Alcazar et Deauville A l'époque où les hommes étaient encores dociles, Elle revoit mêm' ce petit chanteur Sacrifiant son cachet pour lui offrir des fleurs, Elle revoit ces amoureux transis Qui jetaient dans son lit des colliers de diamant, Maintenant LA CHANTEUSE A VINGT ANS Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la première fois, Puis elle chante avec cette voix-là Comme disent les journeaux qu'on ne remplace pas, Elle sourit avec ce sourire-là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimons tant Maintenant LA CHANTEUSE A VINGT ANS Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la dernière fois, Elle se plaint avec cette voix-là Comme disent les journeaux qu'on ne remplacera pas, Puis elle pleure avec ce sourire-là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimions tant Maintenant LA CHANTEUSE A VINGT ANS
Elle arrive à huit heures, personne n'est encore là Elle ferme à double tour sa loge, et la voilà Qui d'un air attendri sourit à son miroir Ça fait bientôt trente ans qu'elle fait ça tout les soirs Puis elle prend son visage à deux mains Le caresse comme si ça n'était plus le sien Puis elle prends les fards et les crayons Se dessine un sourire avec application Les faux cils, la longue robe noire Les souliers de satin, la perruque d'argent Maintenant la chanteuse à vingt ans Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la première fois Puis elle chante avec cette voix là Comme disent les journaux, qu'on ne remplace pas Elle sourit avec ce sourire là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimons tant Maintenant la chanteuse à vingt ans Puis elle sort épuisée, son maquillage fond Elle répond d'un air triste à deux ou trois questions Elle s'habille en civil, elle rentre dans l'auto Puis s'endort sur l'épaule de son impresario Elle revoit l'Alcazar et Deauville À l'époque où les hommes étaient encores dociles Elle revoit même ce petit chanteur Sacrifiant son cachet pour lui offrir des fleurs Elle revoit ces amoureux transis Qui jetaient dans son lit des colliers de diamant Maintenant la chanteuse à vingt ans Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la première fois Puis elle chante avec cette voix-là Comme disent les journaux, qu'on ne remplace pas Elle sourit avec ce sourire là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimons tant Maintenant la chanteuse à vingt ans Puis elle rentre en écartant les bras Comme si elle rentrait pour la dernière fois, Elle se plaint avec cette voix là Comme diront les journaux, qu'on ne remplacera pas Puis elle pleure avec ce sourire là Qui n'appartient qu'à elle et que nous aimions tant Maintenant la chanteuse à vingt ans
