Reportage nostalgique , l'heureuse époque ou l'on roulait sans ces règlements stricts , ces contraintes de respect d'heures de conduite , ces tachygraphes rigoureux , ces contrôles omniprésents , ou l'on se permettait de faire de petits crochets pour manger dans tel ou tel resto routier , ou l'on pouvait gérer son voyage sans être fliqué par son employeur tout en respectant les délais de livraison et le code de la route .Cette route à l' époque , ce n'était que du bonheur ,même si on était bien loin du confort actuel des camions modernes .Vous ne connaitrez jamais cette époque , hélas pour vous jeunes routiers .gardez l'amour de ce métier et vous pourrez faire la comparaison quand vous bénéficierez d'une retraite bien méritée . Un ancien !!!!!
Le glr existe encore ( en Afrique notamment ! ) Aujourd'hui pour rouler dans toute la France ce système de transport n'existe plus ou pas ( 🤔) les routiers roule et roule au lieux de charger le camion sur un wagon ! . Magnifique vidéo
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Bernard, Willème, Berliet et autres Renault Fainéant : tous les beaux camtars de ma jeunesse ! ! ! Remarquons les généreuses portions de "rouge" que s'octroient les chauffeurs... Le vin donne de la force disait-on en ces temps-là ! En tous cas merci pour cette vidéo qui me propulse cinquante piges (au moins) en arrière ! Raymond.
@@fredericpare2994 les routiers bourrés sur la route, c'est la liberté. Tu doit être heureux avec tout ceux d'Europe de l'Est qui traversent la France pour l'Espagne.
Si c'est dans l'espoir de retrouver la demoiselle qui sert dans le restaurant de la vidéo, je doute qu'elle soit encore aussi mignonne... :p Haha je plaisante... et malheureusement je ne peux pas vous aider pour retrouver le lieu en question, car il y a aucuns éléments distinctifs, et tout au plus je dirai que ca doit être peut être du coté de la région de Toulouse... mais aucune certitudes. Le mieux serait de trouver une version "longue" du film avec le générique de fin, peut être qu'il y aura l'indication du lieu de tournage !
le problème reste que tout les constructeurs de camion vont pleurer, si un camion fait 20.000 km par an au lieu de 200.000 km il durera 10 ans de plus, allez hop les ouvriers dans les usines dehors, sans compter les pétroliers qui vont pleurer aussi elf total avec quoi ils vont s'enrichir ????????s'ils veulent continuer de nous exploiter ils leur faut de la tune c'est tout simple
+Michel CART La sncf a perdu une très grande partie de son fret ferroviaire pour une seule raison:l'incompétence.La mission n°1 de tout transporteur (ferroviaire,routier,aérien,fluvial),c'est de livrer en temps et en heure la marchandise que l'on vous a confiée.Avec la sncf,on sait quand ça part,on ne sait pas quand ça arrive!Même les filliales sncf,comme novatrans,qui faisait du ferroutage ,ont déposé le bilan,suite a une gestion calamiteuse,aggravée par le fait qu'en temps que filiale,ils étaient dans l'obligation de faire tirer leurs trains par la sncf,avec tout ce que ça engendre en terme d'irrégularité,de dictature syndicale,et de grèves.Novatrans a été repris par un groupement de transporteurs routiers,peut désormais faire appel a une société privée pour tirer les trains,et depuis ça va beaucoup mieux(sauf quand la sncf ne joue pas le jeu de la libre concurrence,en ne leur accordant pas les sillons nécessaires afin de privilégier ses propres trains,d'ou la condamnation en 2012 par l'autorité de la concurrence a 61millions d'euros d'amende suite a la plainte d'ECR !www.lefigaro.fr/societes/2012/12/18/20005-20121218ARTFIG00480-fret-la-sncf-condamnee-pour-abus-de-position-dominante.php
Le ferroutage existe chez nous (La Suisse) grâce aux impôts encaissés par la Berne fédérale et copieusement reversée aux CFF. Un camion chez nous rapporte par année en taxe et impôts divers à l'état, deux fois son prix neuf, soit environ un demi million d'euros de chez vous. Enfin tout cela est possible parce que nous ne faisons pas partie de l'Europe et nous pouvons donc subventionner comme bon nous semble les CFF.
Très bien ! Le gros problème en France, c'est l'incompétence des grands patrons et des politiques ! On préfère nommer des diplômés des grandes écoles (ENA par ex ; des gens pleins de théorie mais inexpérimentés et donc qui ne connaissent rien au monde de l'entreprise d'où ces gestions désastreuses plutôt que des gens issus du terrain ! Autres exemples : EDF, Air France). Gros problème également à la SNCF (encore aujourd'hui), on se demande qui dirige : le patron ou les syndicats ?
Tout ça est très juste, traverser la Suisse coûte très cher vu la RPLP. Quand à faire Bâle Chiasso par ferroutage, c'est cher et prend bien plus de temps que par la route. Il faut effectivement de très longues distances pour que ce soit intéressant, au USA par exemple ça l'est. BNSF de mémoire est la plus grosse compagnie ferroviaire de fret au monde. Il sont les champions de l'intemodal comme ils disent là-bas. En clair l'Europe est beaucoup trop petite pour que le train présente le moindre intérêt.
Mdr sur les illusions du ferroutage , la SNCF étant pendant des années le plus gros transporteur routier par ses filiale s tentaculaire ( SERNAM, GEODIS,CALBERSON...) exemple ( parmi d autres) typique de ces nombreuses aberrations . Lorsque je roulais pour le SERNAM pendant 11 ans, on livrait le matériel ferroviaire ( rail,éclisses,poteaux,boulons,gravier etc....) par......... Oui, CAMIONS !!!!
..."ainsi leur chargement terminé, traversant les verdoyantes campagnes, les riches vignobles emplis des promesses de la future récolte, ou les rues encombrées de la ville, les semi-remorques Kangourou, se dirigent vers le centre d'embarquement de la STEMA le plus proche..."
Jean Patrick Hourlier Ja ö nem tették tönkre a jármügyártást ömint az antal kormány.vagy bot péter ákos.igen kis betüvel,mert ők jelrntették ki,Nem hitelezünk az orposzoknak.holott ők hiteleztek,mert fojamatosan küldték az olajat meg a gázt.És ha mi nem szálitottuk idöben nem fenyegetőztek,olyan árut is átvettek amit amagyar piacra srm mertünk ki vinniérdekesa csehek,meg a németek cdak az után mentek be mikor a magyar buszo keztek már lerohyni.nakedves Both Péter Ákos most is jó megoldás volt.bár az ikarusz mais világ márkának számizt miértnem tesznek valamit érte hisz aszékesfehérvári üzem még ma i mükődik.és keresik a gyártmányait.de ugye tarlos úr is inkább a drágább kinaival mint az olcsóbb kényelmesebb magyar busszal tölti rel budapestet.
La France qui n'existe plus depuis long temps, hélas! Les Bernards, la 203, les Berliets TLM, les Saviems à moteur Henschel... Et avant tout le calme pour savourer la vie et gagner les sous quand même.
Ambiance fin des années 50, où on ne se prenait pas la tête avec le « politiquement correct » et la « dictature de l’hygiénisme » ! Le carafon de rouquin est sur la table, et le clope se fume sans complexe… Bon, en 1958, je n’étais guère concerné, j’avais huit ans !
