C'est un peu plus qu'un mètre ou deux là Gusta Ve et le monde... Matin difficile (migraine et rétention de Médoc, perte de repaire et de briquet (zeugma) de survie (bis : 2 en 5 jours) alors Mad(l)am(d)e "flippante" (celle qui m'appelle Roselyne : je lui est rappelé, elle non mais a rit à gorge et dents (qu'elle n'a plus) déployées !) m'a fait un câlin... : "Tu as besoin de quelqu'un qui t'aime" : voilà, je n'ai presque plus peur : "La vie qui nous arrête On s'éloigne, on sépare La distance nous guette De déroutes en défaites Et de craintes en déboires On avance, on regrette On refera l'histoire On nous fait croire Que le temps nous égare Alors on se répare En gardant toujours ce mètre ou deux Qui nous séparent De peurs en découvertes Sans queue ni tête Dans ces heures printanières On a peur de se perdre Comment ça va, ça vient C'est presque trois fois rien On ira mieux demain On est en deux mille vingt - Au détour des images On a le cœur en miettes En dépit des sondages On danse, on se projette On garde espoir Au détour d'un regard Alors on se répare En priant pour que ce mètre ou deux Un jour se barre"