Sur l'Un-dividualisme moderne - Marie-Hélène Brousse 

Toutes les harmoniques sonores de marie Helene brousse sorties du sens des mots employés dans son discours me semblent dissonants, ils induisent une suspension de l'attention de l'auditeur et fonctionne comme le fait l'hypnose désormais, jadis ce n'était pas le cas ...

lapsus a 25 :00 il ya la un-untauritarisme qui n'est plus compatible .. je crois que la métonymie l'emporte, autour du nain

Tout l'monde ne peut pas devenir autiste. cette phrase qui renvoie bien sur à "n'est pas fou qui veux". Le choix d'être autiste, la dessus porte son admiration ?? c'est à entendre en seconde main comme un brin d'humour, un trait d'humour entre ceux qui comprenne (je suppose). Evidemment juste après cela elle parle du NLS .. pour se soutenir des autres. ce Nous à eux n'est pas à exclure des registres du pouvoir. Si la psychanalyse est née c'est sûrement du fait de l'humiliation gratuite, celle du père de Freud peut-être, dont l'école n'est pas exsangue.

Les sons, ces notes, dans sa langue, qui font le fils conducteurs du sens dans ce qui se dit, se jouis dans ce qu'elle dit. bin ça n'a rien de Lacan, c'est ici la jouissance des parents. Mais alors pourquoi à mes oreilles ces harmoniques sont si dissonantes, voire disharmonies du sens ? En avançant ces sons sont injuste, ou "un juste". c'est une belle bascule . Miller / pas Miller. qu'est-ce que c'est bête un analyste qui diagnostique pour éviter la bêtise.,. ce son le cri des parents qui s'entende pas

Néanmoins, elle a du charme avec sa voix dure à entendre.