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Merci pour ce moment d'intelligence ! En vieillissant il m'arrive souvent de désespérer de la jeunesse et de sa dite "culture". Cette vidéo me rassure un peu : il y a encore des "jeunes" capables de porter un regard d'intelligence critique et cultivé sur leur présent Il faut continuer !
En fait, cette vidéo à travers le genre de la SF pose le problème plus large de la dystopie. Les visions si ce n'est apocalyptique au moins pessimistes du futur est né dans la littérature. Tu te référes avec justesse à Ray Bradbury et Marie Shelley. Tu aurais pu parler aussi Isaac Asimov ainsi que Huxley et Orwell. En cinéma il me semble qu'il te manque aussi une référence à "soleil vert": situé justement en 2022, sa "vision du futur" paraît cruellement actuelle.
Merci a toutes et tous pour votre enthousiasme, on va continuer la série dans cet esprit, avec des rencontres, analyses et découvertes en tous genre. Keep in touch !
Super !!!! Merci BLAST pour ce format original et décalé pour traiter les maux de notre société à travers la science fiction !!!! Vraiment excellent !!!!
Merci, pour cette emission ( évidement non exhaustive). Jeune j'ai lu "le troupeau aveugle" de John Brunner. 40 ans plus tard j'ai vu "idiocracy" de Mike Judge. Aujourd'hui, finalement, nous sommes devenus la synthèse des deux œuvres (selon moi). Il y avait une blague : " connaissez le...Viazac ? Mélange de Prozac et de Viagra. J'bande plus, mais j'm'en fous..." . Sommes-nous sous traitement ? Bah....du moment qu'on ne touche pas au foot ou aux vacances. Comprenne qui pourra. Bonne continuation.
Merci, nous avions besoin d'une pensée clairement expliquée sur ce sujet. C'est un sacré paquet de nœuds à extirper du ressenti pour le dire avec des mots. Je suis impatient de voir les épisodes suivants !
J'adooore ! Voilà qui me propulse des Années en arrière lorsque mon prof de français préféré nous expliquait l'utilité de la SF. Merci Blast, je ne regrette pas ma modeste contribution mensuelle.
super émission que je suivrai attentivement :p ! Quelques suggestions littéraires : - Neuromancer de W. Gibson (le cyberespace) - Snowcrash (le métaverse, la religion etc) -Toute l'oeuvre d'Asimov -Damasio évidement Merci pour votre travail :D
Superbe, un angle de vue assez inédit sur Blast qui fait beaucoup de bien ! J'ai hâte de voir la suite et je file me mettre à jour sur les œuvres présentées que je n'ai pas vu !
La présentation est propre, claire et ludique. Le journaliste a une super dynamique et diction. Franchement ça ne promet que du bon pour les prochains numéros.
Merci ! Enfin on se penche sur ce genre fondateur qu'est la science-fiction. Nourris par elle depuis tout petit, je n'ai pas honte de dire qu'elle a fortement forgé ma personnalité et la capacité à m'inscrire dans le temps long, à anticiper des futurs possibles et des scénario différents. C'est précieux à cette époque charnière et tellement incertaine. Merci beaucoup, vivement la suite !
Mon rêve est d'écrire de la SF pour ado qui fasse passer des valeurs et idées politiques. Donc non seulement je suivrai votre série avec attention, mais en plus je prendrai des notes. Vos analyses forgent mon imaginaire, qui influera à son tour sur d'autres, du moins je l'espère, et vous ré-analyserez cela. La boucle est bouclée. Merci d'avance pour ce que vous allez m'apporter
@@antoinedaer4767 Laurent avait fait l'éloge de votre livre a sa sortie. Étant une fan de damasio, j'étais curieuse de voir une analyse. C'était intéressant. J'attends de voir vos vidéos sur la culture SF maintenant. 👍
Je suis totalement en accord avec ces propos. Auteur d'une série de S-F de 5 volumes : les trafiquants des étoiles, j'ai tenté de me faire éditer, sans y croire. En envoyant aux éditeurs du genre mon "manuscrit" (en fait un fichier Word) du tome 1, je ne me faisais aucune illusion et la suite me donna raison. C'était comme envoyer une "candidature spontanée" à une boîte où règne le népotisme. Mais il faut les comprendre ces pauvres éditeurs : ils sont trop occupés à corriger les fautes dans le dernier bouquin d'Olivier Véran, de les envoyer en "office" à toutes les "maisons de la presse" et puis récupérer plus tard les 99,5 % d'invendus pour les envoyer au pilon. Donc ma série n'a eu qu'une petite diffusion via Amazon et c'est tout. Idem pour mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" qui était vilainement complotiste. J'ai aussi écrit une nouvelle de fantastique : "Nous irons tous au paradis (même moi)" qui est un genre difficile surtout en nouvelles. Toutefois on ne peut plus écrire de la S-F à la façon d'Asimov sur la robotique et les déplacements dans "l'hyper espace", il faut mentir (ce qui est la définition même de l'écrivain) mais que ce mensonge soit vraisemblable. Me suis-je cassé la tête moi qui ne suis qu'un biologiste-biochimiste avec l'astrophysique. Certes le diagramme de Hertzsprung-Russell des étoiles n'eut plus de secret pour moi et je fis des acrobaties dialectiques pour dépasser, sans la dépasser vraiment, la vitesse de la lumière. Mais j'ai lu qu'un théoricien de l'astrophysique avait émis une idée qui se rapprochait de la mienne. Quant aux fameux "trous de vers" que les astrophysiciens "sérieux" dédaignaient, j'ai lu qu'on en avait détecté un récemment. Sur le plan humain : les "trafiquants" de ma série sont, en fait, des caboteurs de l'espace et ils livrent des marchandises à des planètes que les grands transporteurs ne peuvent livrer. De la même façon qu'un porte containers ne va pas en livrer un seul à une petite île. Mais ces personnes ne peuvent plus vivre sur le plancher des vaches car le paradoxe de Langevin leur donne, par rapport aux autochtones une jeunesse presque perpétuelle et rend impossible une liaison avec une famille autochtone. "Terrien, t'es rien !" est l'expression favorite des trafiquants qui ne savent plus qu'elle est d'un certain Thiéfaine. Au final, comme j'écris, quand même, pour être lu, j'ai renoncé à poursuivre malgré les idées qui me galopent dans la tête (j'avais écrit la moitié du tome 6). Abonné aux actualités de Babelio, je constate que ce qui se publie actuellement sont essentiellement des histoires de femmes, écrites par des femmes et pour des femmes. Donc je peux me ramasser avec mes histoires...
Non. Les Blancs sont exposes a present aux meme conditions que les noirs, les Africains, les exclus ont toujours été affliges. Sauf que Trump, Macron, Biden ne vous a pas prévenus.
As-tu des exemples de romans/nouvelles fondateurs du genre ? En lisant la page Wikipedia j'ai l'impression que c'est un genre d'avance condamné à n'être qu'une esthétique, comme le steampunk.
@@kimil-sungsoleileterneldel8023 Bonne question. Pour l'instant dans ce que j'ai lu rien ne sort vraiment du lot. C'est surtout des recueils de nouvelles. Glass and gardens me parait pas mal pour démarrer. C'est principalement l'idée générale d'avoir une utopie en opposition au cyberpunk qui me plait pour la partie fiction du mouvement. Même si le genre ne s'impose pas, mais qu'il infuse certaines idées dans la SF ce sera déjà bien. A voir comment ça va évoluer. Pour l'estethique il y a "Dear Alice", une vidéo d'une minute qui donne bien le ton.
L'humanité fabrique des récits depuis son origine. Même ce qui semble rationnel est récit donc éminemment politique. Merci beaucoup Blast pour cette nouvelle chronique !
Mon voisin Totoro c'est feel good/reconfortant ? C'est un film super triste, je conseille pas de le voir un jour de déprime ! Sinon hâte de voir la suite de ce programme, j'adore l'idée !
Euh... l'analyse est pleine d'approximation. Oui la Science Fiction nous prépare à des scénarios qui font parti des possibles (supplantation des IA, fin du monde, etc...) MAIS nous apporte des éléments de questionnement sur notre présent et les conséquences de nos actes si nous ne changeons rien ou si nous prenons de mauvaises décisions (post apo par exemple). On aurait une tendance au complotisme à cause de la science fiction ? Les faits réels s'en chargent très bien eux même (guerre en Irak pour ne citer qu'un exemple) et la SF nous prépare justement au fait qu'il peut y avoir des choses qui s'organisent contre l'intérêt général. Et dire qu'on ne se pose pas la question du milliardaire qui fait sa justice lui même en se construisant des armes hi-tech ? Sérieusement ? La trilogie de The Dark Knight fait justement cette critique du héro qui crée le vilain, du "héro" qui serait en fait un "justicier" et qu'il pourrait mettre ses milliards à disposition de la police plutôt que voler des preuves à la police pour faire sa propre enquête... Bref, comme souvent sur Blast, si on est pas un peu critique sur ce qu'on regarde, on ne se rend pas compte que l'analyse est un survol parfois orienté.
Sympa comme émission, tellement d'accord avec le propos de fin, combien de fois je me suis réfugié dans un Miyazaki un jour de déprime....L'ambiance apaisante d'un monde fantastique rempli de personnage et créature jamais vraiment mauvais voir purement bon est tellement réconfortant.
Je suis tellement curieux vis-à-vis de ce nouveau format. Il y a tellement de monde qui voit la SF comme un moyen de simplement raconter des histoires et qui passe à côté de ce que les œuvres racontent vraiment. J'ai hâte de voir ce que ça va donner.
Super sympa comme concept de chronique, ça me fait penser à Infernet de Pacôme Thiellement mais dans un autre genre. De quoi nous faire réfléchir sans miroir 😊 🙏
