C'est musique de la rue !!!! Fumer Marihuana !!!!!! HASOKAIN HIP Hop beat oldschol comme 2pac biggie smalls booba hugo tsr gangsta street mafia la familia digggeeers
J'aime les gens qui doutent, les gens qui trop écoutent leur cœur se balancer J'aime les gens qui disent et qui se contredisent et sans se dénoncer J'aime les gens qui tremblent, que parfois ils ne semblent capables de juger J'aime les gens qui passent moitié dans leurs godasses et moitié à côté J'aime leur petite chanson Même s'ils passent pour des cons J'aime ceux qui paniquent, ceux qui sont pas logiques, enfin, pas "comme il faut" Ceux qui, avec leurs chaînes pour pas que ça nous gêne font un bruit de grelot Ceux qui n'auront pas honte de n'être au bout du compte que des ratés du cœur Pour n'avoir pas su dire "délivrez-nous du pire et gardez le meilleur" J'aime leur petite chanson Même s'ils passent pour des cons J'aime les gens qui n'osent s'approprier les choses, encore moins les gens Ceux qui veulent bien n'être, qu'une simple fenêtre pour les yeux des enfants Ceux qui sans oriflamme et daltoniens de l'âme ignorent les couleurs Ceux qui sont assez poires pour que jamais l'histoire leur rende les honneurs J'aime leur petite chanson Même s'ils passent pour des cons J'aime les gens qui doutent mais voudraient qu'on leur foute la paix de temps en temps Et qu'on ne les malmène jamais quand ils promènent leurs automnes au printemps Qu'on leur dise que l'âme fait de plus belles flammes que tous ces tristes culs Et qu'on les remercie qu'on leur dise, on leur crie "merci d'avoir vécu!" Merci pour la tendresse Et tant pis pour vos fesses Qui ont fait ce qu'elles ont pu
Rap On a tous vécu des choses difficiles, Proche du déficit, Alors j'crois qu'il faut qu'on se félicite, Et surtout pas qu'on baisse les bras, Mais qu'on garde la foie, Car la 'magie apparaît quand on y croit. Il est fini le temps des hirondelles, Mais où iront elles ? C'est ici qu'on s' réveille. Pile à l'heure. La ou les fleurs s'épanouissent sous la pluie. Tandis qu'nos peur s'évanouissent, Lorsqu'on s'assoupis, À croire que ça suffit, hé, Le nez dans la blanche, comme si la vie n'était pas assez speed ? Assez p'tit, Mon cœur balance dans mon esprit, J'ai du mal quand je m'exprime, Et pour que ça cesse, J'prie sans cesse, J'paresse et eux m'paraisse, Apparaître apeuré, J'ai du mal à apprivoisé, Mes voisins, Mes voix hein, Et mon destin. Née sur une branche, Respire, Tombe ou expire, Le temps s'assombrit et tu soupire, On brise les codes comme les brise d'odeur, Et ça c'est une odes à la chaleur, Humaine, qu'sa revienne au même ou que cela n'tienne, Au final on s'aime malgré la haine qui nous Ken. Alors j'la ramene Et j'veux qu'cette chaleur soit tienne, À l'heur de ce nouveau thème, Faut qu'on se retienne, Surtout pas de tourner comme des toupis, Bien sur qu' la vie nous aura tout pris, Mais rien ne s'oubliera, Même mes peurs dans s'pera, Quoi qu'on fera, on aura faut s'qu'on pourra. On a tous vécu des choses difficiles, Proche du déficit, Alors j'crois qu'il faut qu'on se félicite, Et surtout pas qu'on baisse les bras, Mais qu'on garde la foie, Car la 'magie apparaît quand on y croit
C’est rien c’est la rue C’est c’qu’on m’a dit Mais moi j’ai pas grandi ici Certains s’invente des vie Dans leur récit Mais rien n’est vérité J’te parle en toute sincérité Dans leur son que des vulgarités Moi dans les miens y’a mon passé J’te parle de tout c’que j’ai vécu J’éloigne tout les faux cul C’est à cause d’eux qu’j’etais perdu Je trace ma route Et j’oublie tout Plonge dans l’flou Au fond du trou J’trouve le chemin Pour m’en sortir j’ai qu’mes deux mains J’pense a demain J’pense a après Laisse moi du temps j’fais des progrès J’fais des prouesses J’souris devant l’appareil A l’intérieur c’est pas pareil Askip Le rap sa paye Moi j’attend la rentrée d’oseille Comme esteban j’cours après l’or J’fais du son j’en perd pas l’nord Je viens peter le score Donc je viens battre tout les records J’veux être en tête d’affiche C’est pour la miff Et c’que tu pense moi je m’en fiche T’es juste un chien reste à ta niche
Ce soir je perds mon foie, Alors je fais appelle à mon créateur. En soi, une ligne ou deux, le temps d'éclater un Ter J'ai parcouru des kilomètres et appris tout les ficelles Je bois à ma santé, en espérant ne pas vivre sans ciel Sans aide, c'est le monde qui part EN dérive, Et j'ai compris que pour vivre sans ailes, C'est mieux que vivre sans essentiel. LES COUILLONS s'attendent toujours au pire à force d'aller droit dans le mur, De ce tromper d'direction et d'en oublier l'armure, C'est un crié d'guerre lancé dans un trou noir, La jeunesse moi j' lenterre, J'fais un sauvetage dans ce foutoir. Je perd mon temps entre dépendance et depebse J'espère qu'ma descendance aura une meilleur défenses, En avant, J'suis partie, J'ai pas envie d'faire du surplace, Impensable d'être toujours le même, Et dans le pire Faut Qu'jme surpasse. J'ai une arme dans la tête, Faut que tout ce vide sur mes textes Puis, Jrecharge des idées libres et sans gêne, C'est comme une maladie Seine, Ou, Paris sans Seine, C'est impossible, Bientôt il sanctionneron nos pensées J*leur ferai comprendre que je n'suis pas si docile, J'suis comme Florent pagny, Toujours ma liberté de pensée X2-------------------- Contre l'état, j'ai lpoing levé, J'rentre pas dans la norme, demande à mes référés, Souvent fonce-dé pour m'évader J'plane comme ci j'savais voler X2------------------- J'ai fais des choses donc jsuis pas fier tu sais, Aujourd'hui j'ai grandis et d'ma famille j'veux être la fierté J'ai pris conscience qu'il faut faire attention à c'que tu sème, J'ai trop souvent été déçu de ce que j'ai récolté, Y a t'il une leçon à tirer de ce périple ? Pourquoi lorsqu'on demande à la vie une caresse on reçois une gifle ? Trop habitué à tout avoir J'me servais quand j'AVAIS pas, Toujours envie de tout savoir, L'ignorance moi j'CONNAIS pas, Homme philososantrope, J'met des baffes à la vie, Jfile dans les tropiques pour m'éloigner des autres J'prend plus d'air pure que de drogue, tu l'sais, c'est pas saint l'ami, Y a ceux qui vendent pour survivre et ceux qui en prennent pour c'faire jouir. C'est c'que je vois lorsqu'il parlent d'équilibre, Dans ce monde les billet font le pouvoir, Moi j'veux le pouvoir de donner les billets Pour percer faut l'vouloir, faut pas avoir peur de tomber, J'rap pas pour faire plaisir à l'entourage, J'rap pour faire sortir mon esprit de sa cage, L'hypocrisie ambiante donne parfois l'envie d'gerber Mais Malgrés ça la vie est belle, Même si elle est Traitre parfois, Jcompte plus les fois ou elle m'a mis des coups dans l'dos, Faut pas écouter les grands, Faut juste avoir des couilles en gros, Plein de question en tête après un lendemain d'soiree J'me demande qui tu es, Qui tu haies mais pas qui Tué J'sais même plus quoi penser, On vie dans un mensonge ou l'humain est matricé, Des la naissance tes classé Comme le CV qu'ta donné pour aller trimer à faire un taf qui tdonne envie de tsuicider, Jleve mon verre, jbois bois cul sec et jfais un gros fuck à la société. On sais c'que tu veux, mais très vite J'comprend pas ce que tu vaux Si tu cours très vite, Genre Attaque en Pivot Analyse, passe.. Et frappe La paralyse parle quand j'part, Et quand J'rap, c'est cauchemard J'fou trop l'démons pour mes clochard. Et pour mes couches tard, petite demo kickage sous accompagné d'pochtard. La weed est agressive, faut la confiner hors des crevards,, J'roule a toutes vitesses, sur les doigts regarde les crevasses, Melodieu est c'tarpé angelique Quand j'me véhicule avec des gros Niak's J'consommes des litrons d'alchimistes Après avoir bu tout mon Jack. Ça tourne pas rond dans la tête depuis Qu'je place mes verres, quand J'ai Le Regard sévère, C'est vrai que je scrute ces verbes, J'voudrais qu'ons persévère, Là ou l'savoir prend part a la perte du Rap mon savoir a travers des êtres sur Sur les langues de vipers j'depose des perles Rare, Pas des cettes-su.. Mon marécage ce crible de censure, Depuis qu'letat libere ces sangsue. Un jour, Un pote m'a dis t'en es capable Donc, vas y perce pour voir Le succès j'men bat les rein J'suis Comme ce type sur un Trottoir, Qu'attend sa teil avant le suicide. Hein, J'suis comme ce type qui prend son Pet, Pour voir sombrer ces idées noires, J'suis comme ce type qu'emplie son vide de peine, Remplissant son livres de haine chaque fois qu'son pti manques l'appel Mauvais sentiments, j'ai du perdres, Pour devenir ce père, j'étais comme c'type qui au début étais vite Du-per, Mais jamais vide de cœur, J'pourrais violer l'adultère À battre des records J'suis pas d'ces types faisant l'amour, J'prefere partir dans l'hard-core histoire de tailler mes remords J'suis comme un hybride Un vrai terminator, J'manie la multi lignes, Sous une Herbe de Tyranosaure Les balles sont nos lettres car elle seulent tir à nos ordres J'cree ma propre route pour m'éloigner des autres quand ça Crain içi, Le suicide social nous passe la corde au cou C'est gravissime J'gravie les Cimes en réunissant mes vautours, Parmis leur signes, le piaf détourna leur faux tours. Mes pieds sont assez solitaires, Quad j'cours sans savoir ou aller Miser c'est ça l'idée ? Chaque jours est à vivre, Mais chaques matin tu t'leve, Aucune trique, juste une envie Aride, Un goût à merde, Le réveil sonne Mais ça va finir en arrêt..... Une clope un café, À jeun, merde, envie d'ger-ber Sobre de la veille, Mais la caboche est V'la cabossé, Regard sur la sacoche, y a plein d'outils Y a plus qu'à bosser. P'tite fatigue reste coucher, J'part au champs pour Cultiver mon Blé, il s'écoule tellement vite que ma grainé c'est vite écoulé. Écoute et goûte la cure de thé, Le frigo vide c'était cool. Ceux qui t'remplissez les couilles On fini par kiffer l'écoute. A plein pot J'met les gaz, BLC tu connais le Blaze Different, mais de même Empreintes. Éclaté sont vos "MC à plein temps" Les MC carambar qui C'MEPRISE.......... Dites leur d'aller REMBALLE !............. EN 6mois j'ai pris Une pépite de 10 ans d*âge J'le sirote La vérité lance ces Dès non loin des sondages, pour voir céder ces idées malhonnête À l'idée malhonnête, Allité tel une marionette Son nez grandis Avec des fusées d'grands-dire, Je n'ai jamais refuser de Grandir A l'écrit des masterclass Doué d'naissance, j'fais grandir mon talent comme un Peuplum Tu connais l'peuple, mais tu connais pas l'homme. Déçu par les apostrophes, j'aime polluer l'atmosphère Appel moi MC Master prose Le regard court dans la longue vue, Tu t'egare, Courant vite après la vie, Tu comprends qu'tes gars sont tous des putes, Donc tu ravise devant la vitre. Frangin j'te jure, on ne m'arrête plus quand J'vois le sourire des cons qui nous ravissent. Aucunes concurrences, toujours vide est ma liste, Chez d'moi tu sort, s'il y a des sous qui rentre, Tu l'prend mal, Revien a 10 histoire de niquer l'soupirant
Salut mec, ta prod est hyper lourde et excellent ! J'ai comme projet de sortir une mixtape dans les mois qui viennent et ton instru m'intéresse beaucoup, est ce que tu pourrais me recontacter pour que l'on parle de tout ça ? Merci, force à toi !
Paraît que ta de la bouteille , Je te bois cul au sec au goulot Faut que tu noie ta peine ? Moi je la balance au micro Ouais la c’est sissokho Je parle pas trop Mais quand il s’agit de poser Tu peux me voir greestyler Dis moi pourquoi tu fais l’oméga Entourer de mes gars Je m’evade de monde marginal J’en deviens paranoïaque Obligé de se vider le crâne En vidant mon captain morgan Ouais j’ai connu la noyade Mais c’était avec de la polia À force de fréquenter la police On en devient impoli Ambassadeur a la tsr crew Mais je représente lauga zoo Y’a pas que quand j’effrite Que l’argent par en fumé Oui je fume trop de shit Mais c’est pour mieux vous apprécier À part moi qui peux me stopper ? Personne, donc je sors un autre freestyle Grand père dieu s’écarquille Mais qui va l’arrêter ? Personne à part moi même Frérot observe mon ascension Tu peux préparer l’ovation Mais je sais que je malmène Mais peu importe où cela me mène Tant que je kiffe, je reste le même (ouais) peu importe où cela me mène Tant que je kiffe, je reste le même
